Byod : les apps zombies hantent les terminaux mobiles 5,2 % des apps sur les terminaux iOS et 3,9 % sur Android sont « mortes ». (Crédit D.R.) Après les VM inutilisées sur les serveurs, les apps zombies encombrent les terminaux mobiles utilisés dans un cadre professionnel selon une étude de la société Appthority. Appthority, une entreprise spécialisée dans la sécurité des apps mobiles, a analysé trois millions d’apps présentes sur les smartphones des salariés de plusieurs entreprises. Selon Domingo Guerra, président et fondateur de Appthority, ces logiciels zombies peuvent être nuisibles à différent titre. « Si ces apps ont été retirées des boutiques d’application, c’est qu’elles n’étaient peut-être pas suffisamment fiables ou parce qu’elles hébergeaient des logiciels malveillants », a-t-il déclaré. Les apps obsolètes se multiplient Mais, selon Appthority, à part cette fonction, ni Google, ni Apple ne proposent de solutions pour protéger les entreprises de ce risque. Un nouveau risque pour les entreprises
Paul Hebert (Cnil) : "Les chartes informatiques spécifiques aux réseaux sociaux se développent" Réseaux sociaux, tendance du BYOD, mobilité... La porosité entre vies professionnelle et personnelle s'exprime de plus en plus dans les outils informatiques. Que recommande la CNIL sur ces sujets ? JDN Solutions. Paul Hebert. Du point de vue de l'employeur, l'utilisation des réseaux sociaux présente des risques notamment en matière de sécurité informatique, de divulgation d'informations confidentielles ou personnelles, ou encore d'atteinte à son image, par exemple du fait de propos injurieux émanant d'un salarié. Du point de vue de l'employé, ces derniers ont des droits : liberté d'expression, protection des correspondances privées et de leurs données à caractère personnel... Depuis quelques années, on constate que les tribunaux sont de plus en plus saisis de contentieux sur des questions liées à l'utilisation des réseaux sociaux par les salariés. De nombreux autres exemples existent en France comme à l'étranger. Comment encadrer l'utilisation des réseaux sociaux dans une charte ?
12 bonnes raisons d'être un administrateur systèmes fainéant On l’appelle sysadmin, adminsys ou plus correctement administrateur systèmes. Il a la lourde charge de s’occuper des serveurs d’une organisation. Si vous avez l’impression qu’il bulle toute la journée, ne le critiquez pas ! Vous êtes en réalité en face d’un excellent administrateur systèmes :) 12 raisons pour lesquelles tous les administrateurs système devraient être paresseux 12 Reasons Why Every Linux System Administrator Should be Lazy Ramesh Natarajan - 12 juillet 2011 - GeekStuff.com(Traduction : Husi10, Ag3m, Gatitac, Kathryl, Thur, M0tty, Ag3m, Dominique, minimoy) Un administrateur systèmes fainéant est un bon administrateur systèmes— Anonyme Le travail d’un administrateur systèmes n’est généralement pas visible des autres services informatiques ou par les utilisateurs finaux. Voici 12 raisons qui font d’un administrateur systèmes paresseux le meilleur des administrateurs systèmes : 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. Voilà. Crédit photo : Anita Hart (Creative Commons By-Sa)
Protection des données personnelles au travail : les bonnes pratiques La protection des données à caractère personnel est devenue un sujet majeur dans les relations sociales sur les lieux de travail. Des outils comme la vidéosurveillance ou la géolocalisation sont largement mis en place. En effet, dans le cadre du recrutement ou de la gestion des carrières, les employeurs utilisent de plus en plus d'applications informatiques. En outre, les dispositifs de contrôle de l'activité des employés liés aux nouvelles technologies se multiplient : contrôle de l'usage d'internet, de la messagerie, géolocalisation, biométrie, vidéosurveillance, etc. Ces dispositifs enregistrent quantité de données personnelles sur les salariés et peuvent parfois porter atteinte à leurs droits ou à leur vie privée. A l'heure du développement de l'utilisation des smartphones, du télétravail et du bring your own device, il est nécessaire de maintenir de maintenir un équilibre entre le contrôle de l'activité des salariés et la protection de la vie privée.
Faille de sécurité : avertissement public de la Cnil Faille de sécurité. La société DHL Express France vient de faire l’objet d’un avertissement public prononcé par la formation restreinte de la Cnil, le 12 juin dernier, sur deux manquements importants à la loi Informatique, fichiers et libertés. D’une part, un manquement à l’obligation d’assurer la confidentialité et la sécurité des données (art. 34 de la loi informatique et libertés) et d’autre part, un manquement à l’obligation de définir une durée de conservation des données traitées, proportionnée à la finalité du traitement (art. 6-5° de la loi informatique et libertés). Dans cette affaire, la Cnil avait été alertée suite à une faille affectant directement la sécurité des données collectées par DHL et comportant les demandes de « relivraison » des colis. Laure Landes-Gronowski Pauline Binelli-WaintropLexing Droit Informatique et libertés
Une charte de l'administrateur de système et de réseau Complexité en expansion, risques multipliés La multiplication de questions de plus en plus complexes liées à la sécurité des systèmes et des réseaux, l’imbrication de plus en plus intime des aspects techniques et juridiques de ces questions et le risque accru de conséquences judiciaires en cas d’erreur incitent à la rédaction, au sein de chaque entreprise ou organisation, d’une charte de l’administrateur de système et de réseau qui rappelle les devoirs, les pouvoirs et les droits des ingénieurs et des techniciens qui administrent la sécurité des réseaux, des ordinateurs et en fin de compte du système d’information. Cette activité d’administration de la passerelle de messagerie de l’entreprise lui permet de détecter les usages contraires à la loi qui pourraient en être faits par des employés indélicats, dont les exemples les plus courants sont, non limitativement : Règles de conduite Secret professionnel Mots de passe « - Non ! Proposition de charte Préambule Définitions Surveillance et audit
La protection des données personnelles, un atout pour la France et l'Europe ! Car la ressource première de l'économie du numérique ce sont les données produites par des centaines de millions de citoyens et de consommateurs. De ce point de vue l'Europe est une mine, un gisement majeur puisque 10 pays européens figurent au top 20 du Web Index des pays les plus avancés dans leurs usages d'internet. Un gisement de ressources rares, avec un PIB par habitant de l'Union européenne parmi les plus hauts de la planète. Avec 500 millions de consommateurs européens éduqués, disposant des infrastructures et du pouvoir d'achat, l'Europe des données est un eldorado. Ce constat va au-delà de l'internet. Or le client s'inquiète. Cette conviction doit être partagée au moment où s'engage la révision de la directive de 1995 sur les données personnelles. La protection des données personnelles est entrée dans le débat public aujourd'hui ; elle concerne chacun d'entre nous.
Etude : Les salariés trop confiants quant à la cybersécurité dans leur entreprise Le groupe Capgemini dévoile le 16 juin l'étude "Cybersécurité, Objets connectés et Systèmes industriels" réalisée par Opinion Way. Elle porte sur la cybersécurité vue par les collaborateurs. Il en ressort un écart significatif entre la perception de la cybersécurité dans l'entreprise par les salariés et la réalité effective des cyberattaques qu'elle subit. Ainsi, 85% des collaborateurs estiment que leur société est bien protégée, un chiffre qui monte à 90% pour les grandes entreprises et 93% pour les ETI. Paradoxalement, 36% d'entre eux affirment qu'elle a déjà fait l'objet d'une attaque informatique, et cela va jusqu'à 47% dans les grandes entreprises. Bernard Barbier, responsable de la sécurité des systèmes d’Information (RSSI) du groupe Capgemini et directeur technique sur la business unit cybersécurité du groupe, explique ces chiffres par l'asymétrie du risque posé par la cybersécurité. Une évolution des menaces L'humain au coeur de l'équation L'enjeu des infrastructures critiques
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Protection des données personnelles au travail : les bonnes pratiques La protection des données à caractère personnel est devenue un sujet majeur dans les relations sociales sur les lieux de travail. Des outils comme la vidéosurveillance ou la géolocalisation sont largement mis en place. En effet, dans le cadre du recrutement ou de la gestion des carrières, les employeurs utilisent de plus en plus d'applications informatiques. En outre, les dispositifs de contrôle de l'activité des employés liés aux nouvelles technologies se multiplient : contrôle de l'usage d'internet, de la messagerie, géolocalisation, biométrie, vidéosurveillance, etc. Ces dispositifs enregistrent quantité de données personnelles sur les salariés et peuvent parfois porter atteinte à leurs droits ou à leur vie privée. A l'heure du développement de l'utilisation des smartphones, du télétravail et du bring your own device, il est nécessaire de maintenir de maintenir un équilibre entre le contrôle de l'activité des salariés et la protection de la vie privée.