Comment le marché se renouvelle Comment faire du neuf avec du vieux ? Méthode marketing vieille comme le monde, les laboratoires pharmaceutiques n’échappent pas non plus à la règle. Un marché qui rappelle que les laboratoires sont finalement des entreprises comme les autres… « Parce que tous les jours, partout, nous nous battons pour ce qui compte vraiment : votre santé. » C’est avec cette annonce rassurante qu’une voix douce vous accueille sur le numéro de Sanofi-Aventis. Des mots qui donnent le sentiment qu’un laboratoire pharmaceutique, parce qu’il aide à préserver la santé ou à la recouvrer, n’est pas une entreprise comme les autres. « Pourtant, c’est le cas", lâche le cardiologue Jean-Marie Vailloud, esprit libre qui tient le blog médical Grange Blanche. Comment Mopral est devenu Inexium... L’existence des « me too » est d’ailleurs l’un des exemples qui désacralisent le rôle des laboratoires pharmaceutiques. Il était même devenu plus qu’un médicament : une marque à lui tout seul. La deuxième vie des molécules
Mort sans ordonnance pour les mineures La pilule contraceptive devient gratuite à partir de ce dimanche pour les jeunes filles âgées de 15 à 18 ans, qui pourront l’obtenir auprès des pharmacies sur ordonnance et en présentant la carte Vitale de leurs parents, selon le ministère de la Santé. Cette mesure, appliquée aux pilules de première et deuxième génération et promise par la ministre de la Santé, Marisol Touraine, vise à faciliter l’accès à la contraception aux mineures et à réduire le nombre d’interruptions volontaires de grossesses (IVG), environ 12 000 par an. Elle était inscrite dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) voté à l’automne 2012. Elle s’applique également aux stérilets ou aux implants contraceptifs. Jusqu’à présent, la pilule, principale méthode de contraception en France, était remboursée à 65%. Les jeunes filles âgées de 15 à 18 ans pourront désormais se la procurer gratuitement dans les pharmacies. «Anonymat»
Silence on vaccine (vidéo reportage) Un documentaire choc qui dérange. Ajout de la rédaction : Face aux lobbies pharmaceutiques et aux croyances communes, une réalisatrice, Lina B Moreco, qui décide de briser le silence et mettre en lumière des malades post-vaccinales. Pour étayer sa thèse, plusieurs spécialistes reconnus remettent en question la sécurité de la vaccination à grande échelle. A l’origine, l’histoire de cette famille québécoise qui a vu leur petite fille de quatre mois vivre un choc neurologique grave à la suite d’une vaccination avec le DTaP. Malheureusement, difficile d’établir un lien de causalité entre certaines maladies et certains vaccins, mais c’est le combat de ces malades de l’ombre, dont les médias du système ne veulent pas parler.
Institut pour la Protection de la Santé Naturelle La maladie de Lyme est sous-diagnostiquée en France. L’Allemagne compte 900 000 cas officiels mais il y en a 5 000 en France par an ! Aux Etats-Unis, au Canada au Royaume Uni, les pouvoirs publics se mobilisent pour répondre à l’inquiétude grandissante causée par maladie. En France, le sujet a été enterré par une conférence de consensus datant de 2006. Depuis, c’est le vide absolu. Et les quelques réactions du corps médical pour lutter contre la maladie ont été farouchement combattues par l’administration. 1/ d’agir auprès des agences régionales pour que cessent les poursuites à l’encontre de ceux qui développent des solutions contre la maladie de Lyme autorisées dans d’autres pays de l’Union européenne et notamment en Allemagne. 2/ d’agir auprès du Ministère de la Recherche pour que soient alloués des fonds destinés à la veille épidémiologique en France. Ces mesures pourront améliorer grandement, voire sauver des millions de vie.