Marketing de crise : être proactif et non réactif Cet article fait partie d’un dossier de 7 articles sur le Marketing en temps de crise : Etre proactif et non réactif face à la crise. Revoir ses projets d’investissements ne signifie pas obligatoirement sacrifier l’expérience client. En effet, l’expérience client est ce qui va permettre de fidéliser des clients existants. Les changements à envisager pour les responsables Marketing. Des budgets resserrés ou remis aux calendres grècques Bien que l’expérience client soit stratégique et importante en période de crise, il n’empêche que les Directeurs Marketing seniors risquent de s’opposer à l’attribution d’un budget, réagissant de ce fait à l’ancienne. Se focaliser sur les coûts Les projets avec un ROI à long-terme seront plus difficiles à « vendre » à la Direction, quelque soit leur intérêt. Le mécontentement des clients La crise économique n’affectant pas uniquement les ventes, elle touche également les clients. A suivre…
Le crowdsourcing, une réelle innovation Le crowdsourcing a révolutionné nos façons d’innover et le rapport des marques avec leurs consommateurs. Cette pratique collaborative s’intègre aujourd’hui de plus en plus dans notre quotidien. Quelle est sa réelle ambition ? Domino’s qui propose d’inventer sa propre pizza et d’en faire la promotion, Oxylane qui permet à n’importe quel internaute d’inventer les accessoires sportifs de demain, Open Meteo Data, une plateforme alimentée par les observations terrain en temps réel des membres… Ce ne sont que quelques exemples parmi les milliers d’opérations de crowdsourcing auquel nous pouvons désormais prendre part sur la toile, pour tenter d’inventer les produits et services de demain. Crowdsourcing… et crowdsourcing A l’image de ces exemples, on peut distinguer deux types de crowdsourcing. Mais ces derniers visent souvent l’innovation de forme : un nouveau gadget, une nouvelle recette, une décoration de produit… Finalement de l’innovation anecdotique, et non de l’innovation de concept.
Pourquoi mixer marketing proactif et marketing réactif ? [1191] | Commercial & marketing En matière de marketing direct, il est aujourd’hui particulièrement important de mixer savamment deux notions complémentaires : le marketing proactif et le marketing réactif . Pendant longtemps, le marketing a été plutôt proactif. Beaucoup d'argent a été consacré aux campagnes créatives, testées dans des « focus groups » , mais sans autre réactivité que celle liée à l'évolution du chiffre d'affaires - assez longtemps après une campagne. Le marketing proactif Sur Internet, le marketing proactif est utilisé de manière traditionnelle pour aiguiller le client sur un chemin donné. Il s'agit d'envois de newsletters, d'e-mailings ou encore de promotions contextuelles sur des sites . Cette dernière permet, tout d'abord, de distinguer un client actif d'un non actif et de définir des critères fondamentaux de ciblage en utilisant l'historique du comportement des clients. Le marketing réactif Les actions réalisées par le client prennent donc le dessus et guident les campagnes réactives.
«Crowdsourcing», le retour de la tarte à la crème L'année 2010 s'annonce comme celle de tous les débats, même des vrais-faux débats… Le dernier en date a été lancé par le blog/site jesuisunclown.com autour du «crowdsourcing», cette forme de mise à contribution de la créativité et de l'intelligence d'une grande masse d'internautes. Les esprits s'échauffent, la polémique enfle et l'on y entend tout et son contraire. Cette année va être effectivement déterminante. Quel impact sur la communication ? Pour revenir au «crowdsourcing», la question n'est donc pas de savoir s'il s'agit de démagogie ou de manipulation des consommateurs. Le «crowdsourcing», quand il est employé à bon escient, n'est qu'un moyen et pas un but en soi. L'utilité du «crowdsourcing», pour une marque, une institution ou une association, est multiple, à partir du moment où il ne se réduit pas à un «coup» pour briller lors du prochain séminaire marketing. L'année 2009 a vu l'émergence de nombreux phénomènes reposant sur le «crowdsourcing».
La nécessaire combinaison du e-marketing proactif et réactif En matière de marketing direct, il est aujourd’hui particulièrement important de mixer savamment deux notions complémentaires : le marketing proactif et le marketing réactif. Pendant longtemps, le marketing a été plutôt proactif. Beaucoup d'argent a été consacré aux campagnes créatives, testées dans des « focus groups », mais sans autre réactivité que celle liée à l'évolution du chiffre d'affaires - assez longtemps après une campagne. Sur Internet, le marketing proactif est utilisé de manière traditionnelle pour aiguiller le client sur un chemin donné. Il s'agit d'envois de newsletters, d'e-mailings ou encore de promotions contextuelles sur des sites. Le marketing réactif, pour sa part, ne demande pas de travail de segmentation en amont, il s'adresse à un client individuel et réagit à ce que le client veut à l'instant. Les actions réalisées par le client prennent donc le dessus et guident les campagnes réactives.
Le « crowdsourcing » entre-t-il dans l'âge de raison ? À peine quatre ans d'âge et déjà une notoriété qui n'est plus à démontrer. Voilà résumée la jeune et grande histoire du « crowdsourcing », un néologisme inventé en 2006 par Jeff Howe et Mark Robinson, rédacteurs au Wired Magazine. Depuis, derrière ce mot, chacun est venu ajouter ce qu'il voulait : marketing participatif ou collaboratif, cocréation, etc. Les appellations diffèrent pour illustrer ce littéral « approvisionnement par la foule » de plus en plus utilisé par les annonceurs. Sur le papier, la technique paraît idéale, celle-ci jouant à plein sur l'idée collaborative du Web 2.0. « En quelques années, la recommandation d'un consommateur à un autre consommateur est devenue la forme ultime de la confiance », souligne Corentin Monot, planneur stratégique chez TBWA Paris. Certains ne vont pas au bout de leur démarche collaborative. Nouvelles formes de conversation marques-consommateurs Eyeka n'a toutefois pas que des amis parmi les agences de publicité.
La consommation collaborative gagne progressivement les Français Le consommateur français se positionne désormais comme un acteur économique à part entière, qui participe à la fois à la co-conception, à la co-production mais aussi à la co-distribution des biens et services. La consommation collaborative permet aux consommateurs d’avoir accès à des biens de meilleure qualité et qu’ils ne pourraient pas forcément acheter. Face à la baisse du pouvoir d’achat, Edouard Dumortier, co-fondateur d’ILokYou, réseau social de location d’objets et services entre particuliers, affirme dans son livre blanc intitulé «L’avènement de la consommation collaborative, quel modèle économique en France en 2030 ?» que ce mode de consommation pourrait être une solution. En effet, la consommation collaborative, en étant locale et impliquant l’usage durable des objets, va dans le sens des conditions écologiques actuelles. Mais surtout, elle permettrait de recréer du lien social, en rassemblant des consommateurs ayant le même sens du partage.
Comment Heineken utilise le crowdsourcing pour l’innovation et le marketing J’ai récemment lu une interview de Ellen Bark, responsable innovation chez Heineken, parlant de la stratégie d’innovation ouverte au sein de l’entreprise. Cette interview est publiée sur PSFK, en anglais, et je trouvais intéressant de la traduire en français pour la rendre accessible à davantage de personnes. Ce qu’elle dit est intéressant dans le sens où Heineken utilise le crowdsourcing via divers plateformes, comme je soulignais déjà en septembre 2011. Parlez-nous de vous et de votre rôle chez Heineken. Je suis arrivé chez Heineken en 2009, et j’exerce le rôle de chef de projet innovation (Innovation Program Manager) au sein de la division Global Commerce Innovation. Ceci comprend à la fois des initiatives internes, comme la communauté en ligne Innovators Community ou les Heineken Innovation Challenges, et des initiatives ouvertes à l’extérieur, comme la plateforme IdeasBrewery.com ou notre platforme d’innovation ouverte. Pompe à bière Heineken (image via saveur-biere.com) Like this:
Le crowdsourcing dans la communication: portrait de l’agence parisienne Creads Image via lesfrancaisvusdutrain.com Cette semaine, la SNCF a lancé une grande opération de crowdsourcing: avec le concours Les Français Vus Du Train, elle vise à faire participer les consommateurs, en leur faisant connaître l’exposition SNCF qui se tient actuellement aux Jardins du Luxembourg à Paris. L’agence qui se cache derrière cette action de communication site web s’appelle Creads, et se positionne comme la première et l’unique agence de communication participative en France. Aujourd’hui présente à Paris, Tokyo et à Barcelone, Creads compte des grandes marques parmi ses références: Areva, Bouygues Telecom, Decathlon ou Société Générale. En 2008, les deux fondateurs de Creads partaient d’un constat assez simple : l’appel à la créativité collective est une pratique courante dans le monde de la communication et du design. Le crowdsourcing c’est quelque chose de très puissant, qui doit être cadré pour être bien utilisé Actuellement, Creads lance une dizaine de concours par semaine.