Conception du monde des Amérindiens et liens avec l'organisation de la société En raison de l'absence de traces écrites, nos connaissances actuelles sur les croyances des Amérindiens de l'époque précoloniale sont basées principalement sur des suppositions et sur des reconstructions culturelles faites très souvent au 19e siècle et pendant les siècles suivants.Ce qui suit constitue donc des exemples possibles de certaines croyances amérindiennes, mais ne s'applique sans doute pas à toutes les nations amérindiennes. Cercle de vie Chez certains Amérindiens, tout est vu et décrit comme un cercle. Les étapes de la vie, le monde et les objets sont perçus de cette façon. Les objets sacrés de certains peuples amérindiens représentent le cercle et les lignes de force du monde. Le sud représente l'enfance, l'innocence, la confiance et est lié à la souris.L'ouest, point cardinal de la jeunesse, est lié à l'introspection. Tradition orale Chez les Amérindiens, l'écriture ne fait pas partie de la culture traditionnelle. Spiritualité La spiritualité guide la vie des Amérindiens.
TOUTE UNE AVENTURE… | La Grande Paix de Montréal Les Premières nations au Canada Introduction Les Premières Nations au Canada consiste en une ressource éducationnelle conçue à l'intention des jeunes Canadiens, des éducateurs et des élèves du secondaire, des collectivités autochtones ainsi que de tous ceux qui s'intéressent à l'histoire des Premières Nations. Grâce à ce document, les lecteurs auront une meilleure compréhension des grands événements qui ont touché les collectivités autochtones depuis la période précédant l'arrivée des Européens jusqu'à nos jours. La première partie de ce texte, intitulée « Les Premières Nations d'antan », présente un aperçu des diverses cultures des Premières Nations d'origine, groupées selon les six principales régions géographiques au Canada. Dans la partie deux à six du texte, on fait état des relations entre les Autochtones et les nouveaux arrivants au Canada, depuis la première rencontre jusqu'aux excuses historiques présentées par le gouvernement en juin 2008 à tous les anciens élèves des pensionnats autochtones. Habitations
Les HURONS Première description des Amérindiens Au printemps de l'an de grâce 1632, le Père Jésuite Paul Le Jeune, arrivant à Tadoussac, voit des Amérindiens pour la première fois. Il les décrit ainsi: «II y en avait qui avaient le nez peint en bleu, les yeux, les sourcils, les joues peintes en noir et le reste du visage en rouge, et ces couleurs sont vives et luisantes comme celles de nos masques. D'autres avaient des raies noires, rouges et bleues, tirées des oreilles à la bouche. D'autres étaient tous noirs hormis le haut du front et les parties voisines des oreilles et le bout du menton, si bien qu'on eut vraiment dit qu'ils étaient masqués. Il y en avait qui n'avaient qu'une raie noire, large d'un ruban, tirée d'une oreille à l'autre, au travers des yeux, et trois petites raies sur les joues. Leur couleur naturelle est comme celle de ces gueux de France qui sont demi rôtis au soleil, et je ne doute point que les Sauvages ne fussent très blancs s'ils étaient bien couverts. Alliance Français-Hurons
Légendes Amérindiennes Origine des sucres Bien avant l'arrivée des colons européens en Amérique du Nord, les tribus amérindiennes de l'est du Canada et du nord-est des États-Unis auraient découvert comment recueillir la sève des érables et la transformer en sirop. Certains racontent que les chiens des Amérindiens, par leur comportement, auraient mis la puce à l'oreille de leurs maîtres: une branche s'était cassée et les chiens se bousculaient tout autour pour lécher la sève qui coulait, et c'est ainsi que les Amérindiens eurent l'idée d'y goûter. Une autre version indique qu'un petit écureuil grimpa le long d'un tronc d'arbre et mordit une branche... et se mit à boire. Marie-Victorin, grand naturaliste et savant québécois, auteur illustre de la Flore laurentienne, affirme carrément que les Amérindiens apprirent de l'écureuil roux l'existence du sirop et de la tire d'érable. Les Indiens Shippawa du Michigan. Autant de tribus, autant de légendes amérindiennes expliquent comment cela a pu se passer... Micmac
Histoire du Québec Histoire du Québec L'histoire du Québec est beaucoup plus courte que celle des pays d'Asie, d'Afrique ou d’Europe. Et pourtant, c’est une histoire émouvante, pleine de passions et de tragédies. Bref, c’est une histoire comme toutes les autres… Pour bien connaître cette immense province canadienne, nous devons avant tout nous renseigner sur ses racines et sur les étapes qui ont formé le Québec, afin de mieux comprendre sa population et son territoire. Vous trouverez des articles sur divers épisodes de l'histoire du Québec. Voici la liste des articles sur l'histoire du Québec disponibles le 10 octobre 2008 (sans compter les sections La guerre et le Québec, Ligne du temps: XXe siècle, Québec: 400e anniversaire (volet historique), Histoire de Montréal, etc Hommage aux fondateurs de la ville de Montréal, station de métro Berri-UQAM, vitrail dessiné par Gaboriau et exécuté par Osterrath. Temps très anciens : Découverte du Canada : Temps anciens, naissance de la Nouvelle-France : XVIIIe siècle :
Le Kiosque Histoire Les grandes dates de l'histoire du Québec 16e, 17e et 18e siècles mais avant... -350 millions d'années Un météorite devant mesurer environ deux kilomètres de diamètre et d'un poids estimé à 14 milliards de tonnes tombe sur la région de Charlevoix. Il entaille et fragilise irrémédiablement l'écorce terrestre. -11 000 à -8000 av. -8000 à -3000 av. L'exploitation générale des ressources se traduit par la diversification des outils, de leurs méthodes de fabrication, de leurs formes et de leurs fonctions. -3000 av. C'est le début de la fabrication de la poterie, principalement dans la partie sud du Québec. C'est à cette époque que certaines populations amérindiennes provenant des Grands Lacs étendent leur réseau d'échanges à la région laurentienne. -2000 av. -1500 à -400 av. -1000 av. 856 Venant du Nord, les Toltèques fondent Tula, au nord de Mexico. Vers l'an 1000 Le coeur de ce qui allait devenir les États-Unis abrite une métropole indienne: Cahokia. 1615 Arrivée des Récolets.
Confédération des 6 nations iroquoises Les sauvages américains, des peuples démocratiques Les immigrants venus en Amérique à l’époque coloniale cherchaient la liberté. Ils en ont trouvé l’exemple dans la confédération des Iroquois, comme chez d’autres nations indiennes du continent. Des rapports égalitaires régissent les relations entre membres d’une même tribu, car les Amérindiens éprouvent une aversion pour la subordination. Un rôle clé dans la diplomatie avec les européens Dans tout l’est de l’Amérique du Nord, les nations indiennes avaient formé des confédérations avant l’arrivée des immigrants européens : les Séminoles dans ce qui est aujourd’hui la Floride, les Cherokees et les Choctaws dans les Carolines, et les Iroquois et leurs alliés les Hurons dans le nord de l’État de New York et dans la vallée du Saint-Laurent. Des sociétés confédérales matrilinéaires La famille iroquoienne est constituée de six confédérations, chacune regroupant de nombreuses nations amérindiennes. Une société idéale Un modèle à suivre pour s’unir
Matriarcat Iroquois Les Iroquois (ou Haudenosaunee) connus aussi par l’expression Cinq-Nations comprennent effectivement cinq et puis plus tard six nationsamérindiennes de langues iroquoises vivant historiquement dans le nord de l’État de New York aux États-Unis au sud du lac Ontario et du fleuve Saint-Laurent. La plupart des quelques 125 000 Iroquois vivent aujourd’hui en Ontario au Canada et dans l’État de New York. D’autres vivent au Wisconsin, au Québec et en Oklahoma. Seule une petite minorité des Iroquois parle aujourd’hui une des langues iroquoises dont notamment près de 1 500 locuteurs du mohawk dans le village Kahnawake, au sud de Montréal. Un état matriarcal Les Iroquois sont ceux qui se rapprochent probablement le plus de l’état matriarcal. La position sociale de la femme iroquoise Les Iroquois vivaient dans des villages de 2000 habitants et plus et étaient jardiniers ou chasseurs. La mère possède la terre, le foyer, et les enfants Gestion des terres par le conseil des mères Divorce à l’iroquoise
Chamanisme Amérindien L’animal totem est un guide choisi pour nous aider, dont les qualités correspondent à nos besoins en matière d’initiation chamanique. Nous pouvons avoir comme totem un animal mythique, une licorne ou un griffon... Il ne faut pas oublier que tout est possible. Par conséquent, nous ne devons pas nous limiter en choisissant d’avance un animal sans savoir s’il vous convient. - Il est conseillé de laisser l’Univers choisir pour nous ! Le mieux est de chercher notre animal totem et de converser avec lui. Ce guide est un allié , pas un serviteur ; nous devons conserver une attitude respectueuse envers lui. Voici un bref résumé des pouvoirs et des capacités des animaux totems AIGLE : représente le Pouvoir de l'Esprit, la grande sagesse, l'autorité et le pouvoir, le courage. ARAIGNÉE : C’est la tisserande des rêves de l’humanité . BALEINE : considérée comme le maître de l'océan. BÉLIER : signifie la percée, la réussite. BICHE : Elle représente la douceur. FOURMI : symbolise la Patience.