L'euro, ou la haine de la démocratie Forcément, ça leur a coupé la chique. Qu’on puisse jouer la carte de la démocratie, c’est la chose qui est maintenant tellement hors de leur entendement qu’elle les laisse toujours sidérés, pantois et démunis. Vraiment, à cet instant, on aurait voulu voir leurs têtes, mâchoires décrochées comme des tiroirs de commodes fraîchement cambriolées : Sapin, Hollande, Moscovici, leurs experts organiques, leurs journalistes de propagande, tous ceux qui n’ayant que la « modernité » à la bouche se sont si constamment efforcés d’en finir avec le peuple, pénible démos, et pénible démocratie quand il lui vient à l’idée de ne pas se contenter de valider ce qui a été décidé pour elle. Le référendum, ou le retour du refoulé Et c’est vraiment le retour du refoulé sous tous les rapports : celui de la mauvaise conscience notamment. Les institutions de la haine politique Le droit de rediscuter se paye cher en Union européenne. Le moment du chaos Le vrai visage des « amis de l’Europe » Et nous ?
In a Land of Plenty - Film Skip to content Register Registering with NZ On Screen means you can: save favourites comment on and discuss titles receive updates via email about what's happening in the site – if you want to Register now We won't share your data with anyone (see our Privacy Policy) and we won't spam you. Close Main navigation You are here: Home › Watch › Film › In a Land of Plenty In a Land of Plenty Film, 2002 (Documentary) In this section <div class='widget_title_videoplayer'><div class='form_messages'><div><div><h2 class='h2'> Video Player </h2><p class='error'> Please enable javascript </p><p> NZ On Screen makes use of JavaScript to present video. Share this by email High Low Clips (9) In A Land of Plenty (clip 1) Part one of eight from this full length documentary. Synopsis Background The Director's Perspective by Alister Barry 07.05.2009 Read more › Credits (5) Alister Barry Writer, Director Shane Loader Editor, Camera Ian Johnstone Narrator See all credits › Post a comment Comments (7) Bertrand Feuvray tt Thomas
De grandes banques organisent massivement l’évasion fiscale à l’échelle internationale « Environ 120 chargés d’affaires suisses seraient présents clandestinement en France pour démarcher les grosses fortunes hexagonales, ce qui est rigoureusement interdit par la loi mais réalisé, d’après Antoine Peillon, en toute connaissance de cause par la maison mère en Suisse. Chaque commercial est muni d’un document, le manuel du Private Banking, ’ véritable guide en évasion fiscale ’ » |3|. Le témoignage d’un ancien employé d’UBS, publié en janvier 2014, vient renforcer les accusations lancées par Antoine Peillon. « Le témoignage d’un ancien employé suisse de la banque, déposé auprès de la justice et recueilli par Le Parisien-Aujourd’hui en France (édition du mardi 21 janvier), montre que la plus grande des banques helvètes, qui fait depuis 2012 l’objet d’une enquête judiciaire en France, aurait institué un système bien rodé pour inciter les Français à frauder le fisc. Ce qui s’est passé aux États-Unis avec UBS confirme la doctrine « Too Big to Jail ». Conclusion
« Jusqu'à quand ? » (Frédéric Lordon) Face à cette réalité, Frédéric Lordon nous livre ses trois thèses qui apparaissent fondamentales. Tout d'abord, il démontre que la concurrence, alliée à la cupidité, est la force par excellence de l'aveuglement du risque et de l'emballement collectif. Les acteurs des marchés financiers recherchent le profit à tout prix quel que soit le niveau de risque. Pour ne pas se faire distancer et atteindre le même niveau de rentabilité que la concurrence, les institutions financières prennent les mêmes risques les concurrents ayant atteint la meilleure rentabilité. En réalité, la concurrence tend à produire de l'homogénéité au détriment de la diversité. Le problème est que ce phénomène de panurgisme provoque une montée globale du risque qui destabilise notre système économique. Dans la même veine, l'auteur montre que « l'innovation » financière, bien loin d'apporter un quelconque progrès, correspond en réalité à un déni des risques qui favorise leur accumulation.
DN! This is a rush transcript. Copy may not be in its final form. JUAN GONZÁLEZ: One part of President Obama’s new budget that has received little attention is the war on drugs. The White House is seeking $27.6 billion for federal drug control programs, nearly $1 billion more than last year. More than half the money will be allocated for drug law enforcement by the Pentagon, Department of Homeland Security, Department of Justice and the drug czar’s office. Hundreds of millions of dollars have also been requested to be spent fighting the war on drugs in Colombia, Mexico and Central America. AMY GOODMAN: Well, today we spend the rest of the hour looking at the U.S. drug war with British journalist Johann Hari, author of the new book, Chasing the Scream: The First and Last Days of the War of Drugs. Johann, welcome to Democracy Now! JOHANN HARI: Well, it’s fascinating. The first thing that—I had a really personal reason to want to look into this: We had a lot of addiction in my family. [break]
Vidéo sur le TTIP/TAFTA et l’ISDS (Règlement des Différends entre Investisseurs et États) L'humain avant le profit TTIP/TAFTA et ses investisseurs tout-puissants expliqués en moins de 4 minutes Vous avez déjà partagé cette vidéo? Alors merci de signer cette pétition pour arrêter le TTIP/TAFTA. Avec l'ISDS (Règlement des Différends entre Investisseurs et États), le TTIP/TAFTA met en place un système injuste qui avantage les entreprises. L'ISDS permet aux entreprises de traîner les gouvernements devant des tribunaux secrets privés. Vous avez déjà partagé cette vidéo? Follow @sumofus SumOfUs, 2014, Creative Commons, Attribution 3.0 non transposé. Ecrivez un message Merci d'avoir signé! Cliquez sur le bouton ci-dessous pour revenir à la page
01/ FRÉDÉRIC LORDON, « VIVE LA LOI EL KHOMRI ! » Cette loi on s’en fout, dit LORDON, dans une très chaude ambiance, « mais il nous manquait réellement quelque chose pour faire précipiter à grande échelle tout ce qui est en suspension depuis si longtemps. » Nous ne revendiquons rien, « revendiquer c’est déjà s’être soumis, revendiquer c’est s’adresser à une puissance tutélaire aimable, un débonnaire bienfaiteur. Les enfants réclament, grandis, ils revendiquent. » « Qui a besoin de qui ? Un reportage radio d’Anaëlle Verzaux [15’28]. Télécharger le MP3- Écouter dans une nouvelle fenêtre - Marie GALL attend vos messages sur le répondeur de Là-bas si j’y suis au 01 85 08 37 37 reportage : Anaëlle VERZAUX réalisation : Jérôme CHELIUS préparation : Jonathan DUONG (Vous pouvez podcaster ce reportage en vous rendant dans la rubrique "Mon compte", en haut à droite de cette page.)
Wake Up Call: End the Nightmare of Consumption Hidden beneath sleek, space-age screens and shining metal, the true cost of our gadgets lurks unseen… Have you ever felt like we're living through a nightmare of consumption? That you wish you could un-hook yourself and reconnect with a life that is somehow more real and vivid? Then perhaps you're ready to heed Earth's Wake Up Call. Today we live in a time when there is little to no understanding of how the goods we consume and take for granted came into being. Wake Up Call takes us on a fast-paced, animated glimpse of the true costs behind some of our most prized possessions - our electronic gadgets. This new short film for the Gaia Foundation was made by Steve Cutts, the animator who produced this great film.
M. Draghi admet que sa politique présente des risques Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Marie Charrel Quoi qu’en disent ses détracteurs, son plan fonctionne. À l’occasion d’une conférence au Fonds Monétaire International (FMI), à Washington, Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne (BCE) a défendu le bilan de l’assouplissement quantitatif (quantitative easing en anglais, ou QE). Entamé en mars, ce programme, qui consiste en un rachat massif de dettes privées et surtout publiques en zone euro, a « montré son efficacité jusqu’ici, davantage que bien des observateurs ne l’avaient anticipé », a insisté l’Italien. Faut-il stopper le QE ? L’objectif de ce plan est, rappelons-le, de déjouer les tensions déflationnistes pesant sur la zone euro et de raviver l’économie. Sur ce point, M. Au total, la BCE a prévu de racheter pour plus de 1 040 milliards d’euros de dettes privées et publiques jusqu’en septembre 2016, au rythme de 60 milliards d’euros par mois. À première vue, l’analyse de M.
Le complotiste de l’Élysée, par Frédéric Lordon (Les blogs du Diplo, 2 février 2019) On peut tenir pour l’un des symptômes les plus caractéristiques des crises organiques l’emballement des événements, et la survenue à haute fréquence de faits ou de déclarations parfaitement renversants. En moins de vingt-quatre heures, nous aurons eu les enregistrements Benalla, aussitôt enchaînés avec une rafale de propos à demi-« off » signés Macron, et la mesure du dérèglement général est donnée à ceci que, dans la compétition des deux, c’est Benalla qui fait figure de gnome. En fait, on n’arrive plus à suivre. Lire aussi Mathias Reymond, « Ils l’ont tant aimé », Le Monde diplomatique, février 2019. Il le faut pourtant, car tout est magnifique. Avec « Jojo » déjà, il y avait de quoi faire — un hashtag #JeSuisJojo par exemple ? C’est tellement ahurissant qu’on est presque obligé de se demander s’il n’y a pas quelque part de malignité chez les scribes du Point. Lire aussi Michel Pinçon & Monique Pinçon-Charlot, « La caste au pouvoir », Le Monde diplomatique, février 2019.
Vie et mort du capitalisme - Ép. 1/4 - Capitalisme, d'où viens-tu ? Le capitalisme produit des zombies ou, plus précisément, le progrès technique et la consommation de masse produisent des zombies d’un genre nouveau, différents de ceux qui sont apparus il y a plusieurs siècles à Haiti. Nous les voyons tous les jours dans les rues de nos villes, dans les couloirs du métropolitain, sur les passages piétons. Ils avancent la tête basse, le regard perdu, le pas lent. Ces zombies-là, ceux de notre siècle, ont greffé entre les mains un téléphone portatif dont l’écran les hypnotise. Des éthiques et des pratiques capitalistes ont-elles toujours existé ? Cette hypothèse d’origine industrielle du capitalisme a le mérite du bon sens. Souvent annoncée, la fin du capitalisme n’en finit plus d’arriver. Archives : « Les portes de l'abondance », source : Ministère Agriculture et Pêche, 1953Emission Le sens de l'histoire de Jean Aurel et Jacques Laurent, TF1, 07/09/1976 Lectures par Nathalie Kanoui : Musique : Extrait de film : La nuit des morts-vivants de George A.
En 2016, les 1% les plus riches possèderont plus que les 99% du reste de la population ECONOMIE - Selon l'ONG Oxfam, la part du patrimoine mondial détenu par les 1% les plus riches est passée de 44% en 2009 à 48% en 2014, et dépassera les 50% en 2016... Les inégalités continuent de se creuser. Le patrimoine cumulé des 1% les plus riches du monde dépassera en 2016 celui des 99% restants, affirme Oxfam à l'approche du forum économique mondial de Davos (Suisse), en appelant à «réécrire les règles» pour corriger ces inégalités «vertigineuses». Etude à l'appui, l'organisation non-gouvernementale signale que «la part du patrimoine mondial détenu par les 1% les plus riches est passée de 44% en 2009 à 48% en 2014, et dépassera les 50 % en 2016». «En 2014, les membres de cette élite internationale possédaient en moyenne 2,7 millions de dollars par adulte. «Obstacle à un monde plus juste et plus prospère» «L'ampleur des inégalités mondiales est tout simplement vertigineuse», selon Winnie Byanyima. Retrouvez cet article sur 20minutes.fr