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Études-coloniales

L’histoire coloniale du Congo racontée et chantée par «Congo Jazz Band» C’est le spectacle phare de cette 37e édition du Festival des Francophonies à Limoges. Rythmé par la rumba congolaise et des histoires terrifiantes racontées comme à un ami, « Congo Jazz Band », écrit par Mohamed Kacimi et mis en scène par Hassane Kouyaté, fait surgir en deux heures un siècle de l’histoire coloniale du Congo. D’une simplicité étonnante, d’un rythme entrainant, la pièce dépasse toutes les attentes. « Ils ont partagé le monde / plus rien ne m’étonne ». C’est loin d’être la première pièce de théâtre sur l'époque coloniale terrifiante du Congo. Le rythme de la rumba congolaise et l’histoire coloniale Hassane Kouyaté avoue de n’avoir rien vu de tout cela. Mohamed Kacimi a écrit le texte permettant de raconter sur scène en deux heures un siècle de colonisation au Congo. Léopold II, roi des Belges, adore les poireaux et « déteste les Africains » Après avoir vu la pièce, plus personne ne pourra dire de ne pas avoir compris l’histoire coloniale du Congo.

VIDEO : « Colonisation, une histoire française », lundi 4 octobre sur France (...) - 4ACG (Anciens Appelés en Algérie et leurs Ami(e)s Contre la Guerre) Pour la première fois à la télévision, France 3 proposera lundi 4 octobre à partir de 21:05, l’histoire de la colonisation française, d’Alger à Madagascar et de Dakar à Saigon. En trois épisodes de 60 minutes, la série documentaire exceptionnelle « Colonisation, une histoire française » revient pour la première fois à la télévision sur l’histoire de la colonisation française, d’Alger à Madagascar et de Dakar à Saigon. De cette confrontation violente entre des peuples va naître une irréversible communauté de destin. Une histoire qui nous raconte aussi la France d’aujourd’hui. À l’aide d’archives exceptionnelles et souvent inédites, les films nous montrent comment la France a édifié, par la force et dans le sang, un empire colonial de 11 millions de kilomètres carrés. Épisode 1 : Conquérir à tout prix, 1830-1914 Avec la conquête de l’Algérie en 1830, c’est un siècle d’expansion sans précédent qui s’ouvre sur les territoires africains puis en Asie. Colonisation, une histoire française

CRDP-LR : Le fran ais dans tous ses tats, n 38 La démarche est pourtant lente et prudente : Montesquieu reste extrêmement timoré ; Voltaire lui-même ne prend pas position sur le fond ; il faut attendre Rousseau, dans le Contrat social, l’Encyclopédie (article " traite ") et surtout Condorcet (Réflexions sur l’esclavage des nègres), pour qu’une dénonciation formelle et théoriquement argumentée apparaisse. Enfin, l’évolution de la sensibilité collective au XVIIIe siècle favorise la remise en cause du système : les témoignages de voyageurs sur le traitement infligé aux esclaves émeuvent un public européen cultivé de plus en plus épris de " sensible " ; le goût de l’exotisme, le mythe du " bon sauvage " (voir Rousseau, Bernardin de Saint-Pierre) entraînent une révision de l’image du Noir, qui devient positive, donnant lieu à une série d’œuvres littéraires célébrant les esclaves (Zimeo de Saint-Lambert dont le héros est chef de " nègres marrons " ; L’Esclavage des nègres ou l’Heureux Naufrage d’Olympe de Gouges, joué en 1781).

Histoire du Sénégal Historiographie[modifier | modifier le code] Comme pour bien d'autres pays du continent africain, l'écriture de cette histoire se heurte à de multiples difficultés[2], tant méthodologiques qu'idéologiques. Les commentaires attribués à certains explorateurs antiques[3], les manuscrits des voyageurs arabes constituent les premiers témoignages connus[4]. C'est à partir du XVe siècle que l'on dispose de sources européennes[5] – narrations, compilations ou documents d'archives –, dont la finalité n'était généralement pas historique au départ : le chevalier de Boufflers décrit son exil à madame de Sabran, le naturaliste Adanson détaille la flore et la faune du pays, le directeur de la Compagnie du Sénégal Durand relate les péripéties de son expédition et l'abbé Boilat, dans ses Esquisses sénégalaises, pense surtout à l'évangélisation de la contrée. Préhistoire et protohistoire[modifier | modifier le code] Le Paléolithique[modifier | modifier le code] Néolithique[modifier | modifier le code]

WIKI : Cecil Rhodes British mining magnate and politician (1853–1902) Cecil John Rhodes (5 July 1853 – 26 March 1902) was a British mining magnate and politician in southern Africa who served as Prime Minister of the Cape Colony from 1890 to 1896. The son of a vicar, Rhodes was born at Netteswell House, Bishop's Stortford, Hertfordshire. A sickly child, he was sent to South Africa by his family when he was 17 years old in the hope that the climate might improve his health. He entered the diamond trade at Kimberley in 1871, when he was 18, and, thanks to funding from Rothschild & Co, began to systematically buy out and consolidate diamond mines. Rhodes entered the Cape Parliament at the age of 27 in 1881, and in 1890, he became prime minister. Rhodes' racial views are a subject of scrutiny and debate. In his last will, he provided for the establishment of the prestigious international Rhodes Scholarship at Oxford University, the oldest graduate scholarship in the world. Origins[edit] Childhood[edit]

Comment les marathoniens africains sont-ils devenus les meilleurs ? Kényans et Éthiopiens en tête de course au Marathon de Paris 2013 (Eric Vargiolu) Les victoires de Peter Some et de Boru Feyese Tadese au Marathon de Paris dimanche dernier s’ajoutent aux succès kényans et éthiopiens accumulés depuis plus d’une décennie sur les macadams du monde entier. En 2011, les coureurs éthiopiens ou kényans ont remporté 90% des cent-vingt marathons internationaux organisés dans le monde. Domination sans partage Mais ce n’a pas toujours été le cas au marathon. Ce graphique montre l’évolution du nombre de coureurs kényans et éthiopiens hommes (courbe verte) et femmes (courbe orange) dans le top 50 mondial annuel depuis 1960, l’année de l’avènement du premier marathonien Éthiopien, Abebe Bikila. Évolution du nombre de marathoniens et marathoniennes éthiopiens + kényans dans le top 50 mondial annuel La science tente d’expliquer le phénomène et une étude parue l’an dernier récapitule les différentes pistes de réflexion. Arsi et Kalenjin Thé Chai et Ugali

Pascal Blanchard (historien) Pascal Blanchard à Grenoble en 2013. Pascal Blanchard, né le 2 juillet 1964, est un historien (docteur en histoire de l’université Panthéon-Sorbonne), documentariste, essayiste et co-directeur d'agence française de communication-muséographique. Il est spécialisé dans l'Empire colonial français, les études postcoloniales et l'histoire de l'immigration. Auteur de nombreux ouvrages, il a notamment contribué à une meilleure connaissance du phénomène des zoos humains. Ses ouvrages ou son approche du passé colonial ont fait l'objet de nombreuses réactions médiatique, mais aussi de critiques et déclenché des débats avec des historiens et des journalistes lui reprochant d'être un intellectuel engagé et de donner une image réductrice, voire militante du passé colonial. Après des études en génie civil à l'École du bâtiment et des travaux publics (EBTP) de Vincennes, il décide de suivre des études d'histoire. Auteur d'une thèse sur le « Nationalisme et colonialisme.

Polémiques sur l'histoire coloniale (Le Monde diplomatique, juillet 2001) Numéro coordonné par Ignacio Ramonet, Dominique Vidal & Alain Gresh Introduction Cinq siècles de colonialisme (inédit) Ignacio Ramonet I. La guerre d’indépendance fut un moment traumatique, pour l’Algérie bien sûr, et ses centaines de milliers de victimes, mais aussi pour la France. La France se penche sur son passéPhilippe Videlier Auto-aliénation Maurice Pons 17 octobre 1961 : rendez-vous avec la barbarie Philippe Videlier Une certaine idée de la justice Dominique Vidal Nuit de cristal « à la française » Maurice Pons Cela nous a prémunis contre la haine Ahmed Ben Bella Le droit à l’insoumission Manifeste des 121 La mémoire expurgée des manuels scolaires Maurice T. Imaginaire de guerre Akram Ellyas II. On a bien du mal à évoquer le vrai visage de la colonisation. Quand Tocqueville légitimait les boucheries Olivier Le Cour Grandmaison Du sectarisme, et comment le surmonter Ibrahim Warde La dimension africaine de la traite des Noirs Elikia M’Bokolo 1931 ! III. IV. La défaite du Sud Serge Halimi

La propagande coloniale dans les années 1930 Contexte historique 1931, l’aboutissement d’un projet grandiose La tradition des expositions coloniales s’enracine dans la première moitié du XIXe siècle. Inclus dans les expositions universelles depuis 1855, les produits et les richesses des colonies ont également fait l’objet de manifestations particulières de nature propagandiste. Paris entretint sur ce point une rivalité avec Marseille, pionnière dans ce type d’expositions à partir de 1906. Analyse des images La Plus grande France « Le but essentiel de l’exposition est de donner aux Français conscience de leur empire. » Les propos du ministre des Colonies, Paul Reynaud, révélaient clairement le but propagandiste de l’Exposition coloniale de 1931. Le premier document, qui s’apparente à une peinture de propagande coloniale, illustre parfaitement cette volonté de séduire les métropolitains et de les rassurer sur les vertus supposées du colonialisme. Interprétation La portée du message colonial Bibliographie Pour citer cet article

« Dans le ventre du Congo », Blaise Ndala expose l’histoire coloniale de la RDC Dans son dernier roman, « Dans le ventre du Congo », l’auteur de « J’irai danser sur la tombe de Senghor » ausculte la relation post-coloniale entre la Belgique et la RDC. On reconnaît les romans de Blaise Ndala à ses titres coup de poing. Après J’irai danser sur la tombe de Senghor, qui racontait le combat de boxe du siècle opposant Mohamed Ali et George Foreman en 1974, et Sans capote ni kalachnikov, cet auteur canadien d’origine congolaise né en 1972 relève à nouveau le gant avec Dans le ventre du Congo. Il frappe là où ça fait mal, au cœur de la relation coloniale et post-coloniale de la RDC, et de la Belgique, où il a fait ses études de droit avant d’émigrer au Canada. Le romancier croise deux voix. Tshala, princesse kuba, s’adresse par la pensée à sa nièce, Nyota. En mettant en scène cette histoire familiale tourmentée, Blaise Ndala illustre ainsi l’amnésie de la Belgique à propos de pans enfouis, refoulés de son Histoire. Des Congolais exhibés Sortir de l’amnésie Un peu d’histoire…

Histoire coloniale de l'Amérique du Nord L’histoire coloniale de l'Amérique du Nord commence peu après la découverte du Nouveau Monde par les Européens (Christophe Colomb en 1492). L’actuel territoire américain devient rapidement un enjeu international : les grandes puissances coloniales occidentales se lancent dans l’exploration et la conquête du Nouveau Monde puis bâtissent de vastes empires coloniaux qui finissent le plus souvent par être absorbés militairement et politiquement par d'autres empires ou par devenir indépendants vis-à-vis de leur métropole après plusieurs siècles de domination de celle-ci sur ses colonies. L'exemple le plus célèbre de ce cas est l'indépendance des Treize colonies britanniques qui devinrent les États-Unis. En tout état de cause, la colonisation de l'Amérique du Nord a plus ou moins profondément marqué, sinon influencé[évasif] l'histoire des temps modernes (voir quelques exemples en conclusion). XVIe siècle : exploration et premières tentatives de colonisation[modifier | modifier le code]

Afrique - La parenthèse coloniale (1880-1960) Dès la fin du Moyen Âge, des commerçants et des aventurieurs européens explorent le littoral africain et fondent quelques modestes comptoirs. Il faut attendre quatre siècles pour qu'ils s'aventurent à l'intérieur du continent. À partir des années 1870, les grandes puissances européennes prennent le relais des explorateurs, des commerçants... et des négriers. Mues par des ambitions politiques et des considérations idéologiques, elles s'engagent dans la « course au clocher » (dico). C'est ainsi que l'Afrique noire fait l'objet d'un partage au cordeau au congrès de Berlin en 1885. Il s'ensuit ce qu'il est convenu d'appeler la colonisation de l'Afrique, en référence à un concept gréco-romain (dico). Un continent convoité L'intérêt pour l'Afrique est inspiré par la curiosité des géographes et du roi des Belges Léopold II. Puis il engage sa fortune dans la constitution d'un État au cœur de l'Afrique dont il sera pleinement le souverain. Ses prétentions agacent les puissances établies.

Empire colonial français L'Empire colonial français est l'ensemble des colonies, protectorats, territoires sous mandat et territoires ayant été sous tutelle, gouvernés ou administrés par la France. Inauguré au XVIe siècle, il a connu une évolution très contrastée selon les époques, aussi bien par son étendue que par sa population ou sa richesse. Les possessions coloniales ont connu différents statuts et modes d'exploitation ; des colonies antillaises esclavagistes du XVIIe et du XVIIIe siècle à l'Algérie française, partie intégrante de la France à certaines périodes, en passant par les protectorats de Tunisie et du Maroc et les territoires sous mandat de Syrie et du Liban. On distingue généralement deux grandes périodes, le pivot étant la guerre de Sept Ans, puis la Révolution et l'époque napoléonienne, épisodes au cours desquels la France perdit pratiquement l'ensemble de sa première entreprise coloniale. Premier empire colonial : l'Amérique[modifier | modifier le code] Démographie[modifier | modifier le code]

La colonisation française De 1534 à 1960, la France a imposé sa souveraineté sur tout ou partie du territoire de 42 nations extra-européennes aujourd’hui indépendantes (dont les États-Unis, le Brésil, le Canada, l’Inde et la Chine). La colonisation française s’est officiellement appuyée, dans la majorité des cas, et de manière systématique depuis le XVIIIe siècle, sur l’affirmation de l’existence de races humaines et d’une supériorité d’une prétendue « race blanche ». Dans ce cadre, les Africains sub-sahariens ont payé le plus lourd tribut. L’esclavage, fondé sur la suprématie raciale du maître « blanc » par rapport à l’esclave « noir » a été légal et officiellement encouragé dans les colonies françaises de 1642 à 1848. À l’exception des anciennes colonies esclavagistes, le travail forcé a été officialisé dans les colonies françaises, de 1900 à 1946. La colonisation, dans la quasi-totalité des cas, s’est de fait imposée par la force armée et sans le consentement des populations. 1 Canada 1534-1763 Guyane depuis 1604

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