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L'histoire globale pour tous

L'histoire globale pour tous
L'histoire globale pour tous [dimanche 03 février 2013 - 11:00] Histoire Inventer le monde. Éditeur : La Documentation Française 64 pages Combien de temps faut-il à une innovation pour se diffuser dans la société ? À défaut d'apporter une réponse, le dernier livre de Patrick Boucheron contribue à l'accélération de ce processus. Synthétiser le foisonnement Difficile de résumer en quelques pages la richesse des évolutions de l'histoire du monde. Ces mondialisations auraient pu être chinoise ou turque, puisqu'à cette époque, l'islam est l'un des principaux facteurs de décloisonnement du monde via le commerce. L'introduction en forme de récit se double d'une mise au point très claire dans le domaine de l'historiographie. Mettre en avant la diversité Les documents accompagnés de mises au point de l'auteur font la part belle aux peintures, aux photographies d'objets et aux cartes. Finalement, c'est un support pédagogique luxueux qu'a édité La Documentation Française. Related:  Lectures

Dossier – Histoire mondiale, histoire globale, histoire connectée… DOSSIER – Histoire mondiale, histoire globale, histoire connectée… [vendredi 05 octobre 2012] "Histoire globale", "histoire connectée", "world history"… Quel que soit le nom qu’on préfère lui donner, un important mouvement scientifique et éditorial semble ébranler, en France comme à l’étranger, les représentations communément admises de la coexistence et de la mise en relation des peuples. Derrière une cette variété d’étiquettes au demeurant énigmatiques s’esquisse en somme une nouvelle histoire des Grandes découvertes prises comme événements organisateurs du "grand désenclavement" ou de "l’invention du monde" . En écho à la mondialisation et dans un échange renouvelé avec l’anthropologie émerge un nouveau discours historique sur la planète des hommes, une vision décentrée qui entend écorner une certaine domination symbolique (et culturelle) de l’Occident établie au moyen d’un "vol de l’histoire" . Critiques : - Romain Bertrand, L'Histoire à parts égales. Entretiens :

Aventuriers des mers | Institut du monde arabe Guidés par Sindbad le marin de légende, al-Idrîsî le géographe, Ibn Battûta l’explorateur et bien d’autres encore, embarquez au côté des Arabes, maîtres des mers, et des grands navigateurs européens qui empruntèrent leurs routes, pour un fabuleux périple en Méditerranée et jusqu’aux confins de l’océan Indien. Des débuts de l’islam à l’aube du XVIIe siècle, une aventure en mer à voir et à vivre, au fil d’un parcours immersif exceptionnel mêlant son, images et procédés optiques. D’extraordinaires récits de voyages ont conté la richesse des échanges maritimes entre les mers de l’Ancien Monde. Les plus fameux des témoins-voyageurs partagent avec vous ces fabuleux récits, fils d’Ariane de l’exposition. Ils vous emmènent à la croisée de l’or d’Afrique et de l’argent d’Occident, des monnaies grecques et des diamants de Golconde, des verreries d’Alexandrie, de Venise ou de Bohême et des porcelaines, des soieries et des épices venues de Chine et des Moluques.

Le territoire selon Guy Di Méo Qu’est-ce que le territoire ? Nous proposons ici une définition provisoire du terme. Elle tient compte des enseignements tirés de nos premiers constats quant à la nature de l’espace géographique, considéré sous ses différentes facettes, de l’espace produit à l’ espace vécu. Elle avance quelques hypothèses plus générales que nous nous efforcerons de vérifier par la suite.Pour ce qui a trait aux enseignements que l’on peut tirer de ce premier chapitre, nous retiendrons deux éléments constitutifs majeurs du concept territorial, sa composante espace social et sa composante « espace vécu ».Nous avons vu que l’espace social qualifie des lieux de la biosphère tissés par l’entrelacs des rapports sociaux et spatiaux. 1. 2. 3. 4. Guy Di Méo. Voir aussi : territoire, identité territoriale

L’empirisme : ses voies et ses méthodes - La vie des idées Recensé : André Charrak, Empirisme et théorie de la connaissance, Paris, Vrin, Bibliothèque d’histoire de la Philosophie, Novembre 2009, 176 p. , 18 euros. L’ouvrage qu’André Charrak fait paraître aux éditions Vrin constitue le troisième volet d’un triptyque, le volet central et conclusif, encadré d’un côté par une étude monographique, Empirisme et métaphysique, de l’autre par le traitement comparatif d’un problème exemplaire, Contingence et nécessité des lois de la nature [1]. S’il ne s’agissait que d’exercices de style, André Charrak aurait démontré là qu’il excelle dans l’application de trois méthodes : le commentaire structural, l’histoire des idées, l’histoire des systèmes de pensée. Définir l’empirisme : trois écueils Qu’est-ce que l’empirisme ? La seconde manière est plus un héritage du positivisme comtien que l’expression formelle de l’empirisme lui-même. La troisième manière de décrire l’empirisme enfin, le recentre sur des questions de méthode. Empirisme et métaphysique [4] F.

Le tour du monde avec la BNF Comment les grands navigateurs, au XIV ème siècle, se représentaient ils la planète? Avec quels instruments se lançaient ils sur les océans? Comment transcrivaient ils leurs découvertes? L'exposition de la BNF, "L'âge d'or des cartes marines, quand l'Europe découvrait le monde", répond à toutes ces questions et à bien d'autres. Une vision "européocentrée" du monde Sous un angle inédit, l'exposition interroge la manière dont les Européens ont découvert, conquis, dominé, mais aussi étudié et représenté territoires et peuples, entre le XIV ème et le XVIII ème siècle. Les portulans, des oeuvres d'art La Bibliothèque Nationale de France s'enorgueillit de posséder la plus grande collection de "portulans"au monde. Un parcours en 4 étapes La première partie de l'exposition s'ouvre sur l'apparition des portulans, leurs techniques de fabrication, leurs usages et leurs utilisateurs. L'invitation au voyage Grandes découvertes et partages du Monde La représentation de l'Océan Indien La visite en famille

Marc Bloch Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Bloch. Biographie[modifier | modifier le code] Premiers pas d'historien[modifier | modifier le code] Marc Bloch publie en 1924 son œuvre magistrale, Les Rois thaumaturges. L'aventure des Annales[modifier | modifier le code] Bloch participe en 1929, avec le « groupe strasbourgeois » dont Lucien Febvre, à la fondation des Annales d'histoire économique et sociale dont le titre est déjà en lui-même une rupture avec « l’histoire historisante », triomphante en France depuis l'école positiviste. Succédant à Henri Hauser à la Sorbonne en 1936 (chaire d'histoire économique)[5], la guerre le surprend dans la plénitude de sa carrière et de ses recherches. Un historien dans la guerre[modifier | modifier le code] Malgré son âge (53 ans), une polyarthrite invalidante et une famille nombreuse, il a demandé à combattre. Le monument des Roussilles érigé sur le lieu de l’exécution de Marc Bloch. Correspondance

L'histoire des femmes et l'histoire des genres aujourd'hui Notes Il serait impossible de les citer tous ici et l’on renverra le lecteur à l’ouvrage de Françoise Thébaud cité ci-dessous. Notons, parmi les plus récents : Leora Auslander, « Le genre de la nation : la recherche aux États-Unis », CLIO. Françoise Thébaud, Écrire l’histoire des femmes, Fontenay/Saint-Cloud, ENS Éditions, 1998. Renate Bridenthal et Claudia Koonz, Becoming visible, Women in European History, Boston, Houghton Mifflin, 1977. Georges Duby et Michelle Perrot, L’Histoire des femmes en Occident, Paris, Plon, 1991-1992. Lucie Varga, « Genèse du national socialisme », dans Les Annales d’histoire économique et sociale, 6, 1937, p. 529-546. Thérèse Sclafert, Le Haut-Dauphiné au Moyen-Âge, Paris, Société anonyme du recueil Sirey, 1926. Pierre Grimal (dir.), Histoire mondiale de la femme, Paris, Nouvelle librairie de France, 1965-1967. André Chervel, Histoire de l’agrégation. Cécile Dauphin et Arlette Farge (dir.), De la violence et des femmes, Paris, Albin Michel, 1997.

L’islam dans les manuels scolaires Le chapitre se présente en deux parties. La première fait la synthèse de divers travaux plus ou moins récents sur la représentation des musulmans et/ou des Arabes dans les manuels scolaires (parfois avec une amplitude historique large, assez mal rendue). Les conclusions sont sans appel : le musulman est identifié à l’Arabe, l’islam est essentialisé, opposé à la civilisation européenne, considéré comme violent et incapable d’adaptation. La seconde partie s’interroge pour savoir « si les manuels contemporains utilisés à la rentrée 2015 confirment ce diagnostic » (p. 43), en analysant les manuels de lycée destinés aux élèves et aux professeurs. Islam, islamisme, arabité, orient, immigration… pourquoi tant de mots ? « L’islam dans les manuels scolaires ». Or, la synthèse proposée en première partie utilise des ouvrages qui traitent de concepts proches, mais pas équivalents. Des sources partielles et étrangement lues Penchons-nous maintenant sur les sources de cette première partie.

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