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Qu'est-ce que la mondialisation ? - Sylvie Brunel, article Géographie Depuis le début des années 1990, la « mondialisation » désigne une nouvelle phase dans l’intégration planétaire des phénomènes économiques, financiers, écologiques et culturels. Un examen attentif montre que ce phénomène n’est ni linéaire ni irréversible. « Avant, les évènements qui se déroulaient dans le monde n’étaient pas liés entre eux. Depuis, ils sont tous dépendants les uns des autres. » La constatation est banale, hormis le fait que celui qui la formule, Polybe, vivait au IIe siècle avant J. Dès l’Empire romain, une première mondialisation s’est organisée autour de la Méditerranée. Mais le processus n’est pas linéaire : la Première Guerre mondiale puis la grande dépression des années 1930 suscitent la montée des nationalismes étatiques, une fragmentation des marchés, le grand retour du protectionnisme. • L’internationalisation, c'est-à-dire le développement des flux d’exportation ; D’abord et avant tout une globalisation financière L'avènement des doctrines libérales Notes (1) F.

Les territoires dans la mondialisation | Historicophiles Mots-clefs Antarctique, Arctique, BRICS, Canal, Cap, conteneurs, Croquis, Détroit, espaces maritmes, façade maritime, flux, Géographie, gentrification, littoralisation, Londres, Marbellisation, Marina, mégalopole, métropole, mondialisation, multimodalité, New-York, Pays émergents, pôles, PMA, révision, Schéma, Shanghai, territoires, territoires dans la mondialisation, Triade, ville mondiale, ZEE, ZIP, zone franche Les activités préparatoires Ces activités visent à vous accompagner dans l’acquisition des connaissances de base afin de vous permettre d’être plus efficaces en classe. Cliquez sur l’image ci-dessous et laissez-vous guider… Plan de travail (TL-ES) Ce plan de travail a pour objectif de vous accompagner dans l’avancement du chapitre en vous rappelant les objectifs en termes d’acquisition des connaissances et des compétences. Les fiches de révision

Océan Un océan est souvent défini, en géographie, comme une vaste étendue d'eau salée comprise entre deux continents. En fait, il s'agit plutôt d'un volume dont l'eau est en permanence brassée par des courants marins. Approximativement 70,8 % de la surface de la Terre est recouverte par l'océan mondial. Celui-ci est historiquement divisé en quatre océans — Pacifique, Atlantique, Arctique et Indien — ou en cinq pour les gouvernements ou organismes reconnaissant l'existence de l'océan Austral[1]. L'océan mondial, qui abrite la majorité des espèces vivantes sur Terre (50 à 80 % selon les estimations)[4],[5], génère plus de 60 % des services écosystémiques qui nous permettent de vivre, à commencer par la production de la majeure partie de l'oxygène que nous respirons[6]. L'océan mondial régule à plus de 80 % le climat de la Terre. Cet article traite principalement de l'océan terrestre actuel mais aussi des océans disparus et des océans extraterrestres.

Six moments de l'invention du monde Pour déterminer si la mondialisation est un phénomène nouveau ou ancien, il est indispensable de dégager les dynamiques issues des grandes phases, géographiques et historiques, qui ont vu les mises en relations des différents lieux de la planète. Six moments-clés peuvent être dégagés… La mondialisation est-elle récente ou ancienne, émergente ou déjà obsolète ? A-t-elle commencé en 1989, en 1492, ou encore plus tôt ? Une analyse géohistorique, conçue pour les longues et très longues durées, permet d’identifier six grands moments d’un même processus de mondialisation – qui aurait pu même remonter jusqu’à la sortie d’Afrique et la diffusion d’Homo sapiens sur l’ensemble de la planète .Ces phases ne doivent pas être vues dans une perspective déterministe ou linéaire : elles se recoupent en partie et relèvent de logiques souvent contradictoires. 1 La mise en relation des sociétés de la planète (de - 10000 à 1400) 2 L’incorporation forcée dans des empires d’échelle mondiale (1492-1885) (1) C.

Les hyper-lieux : une nouvelle espèce d’espace dans la mondialisation A l’encontre des analyses qui voient le monde comme de plus uniforme et indifférencié, le géographe et anthropologue Michel Lussault oppose les “hyper-lieux”. Des espaces intenses et divers où s’exprime la créativité et la volonté d’engagement social et politique de ceux qui les occupent. Aux “non-lieux“, autrefois théorisés par Marc Augé, le géographe et anthropologue Michel Lussault oppose aujourd’hui les “hyper-lieux“, comme régime spatial dominant à l’heure de l’urbanisation généralisée des espaces. D’où vous est venue l’intuition de définir les espaces urbains dominants d’aujourd’hui comme des “hyper-lieux” ? Michel Lussault – Cette question des hyper-lieux, par opposition à ce que Marc Augé appelle les non-lieux, je l’avais en tête depuis le début de mon travail au début des années 1990. (Flickr) Comment comprenez-vous le succès de ce concept de non-lieu ? Deux raisons au moins l’expliquent. Owen Byrne, The Mall, Toronto (Flickr/CC) Mais quel est ce rapport à la vérité des lieux ?

Fiche-notion - Les façades maritimes Afin d’accompagner les professeurs dans l’enseignement de la géographie, en collège comme en lycée, les professeurs du groupe de travail académique "géographie" produisent des fiches. Synthétiques, elles ne prétendent pas remplacer la lecture d’ouvrages universitaires, mais elles permettent en quelques minutes d’actualiser ses connaissances sur différents concepts, récurrents dans nos programmes.Elles sont donc destinées aux professeurs et n’ont pas vocation à être transposées telles quelles en classe. Vous trouverez en document joint la fiche-notion qui traite des façades maritimes, en deux formats. Vous pouvez aussi utilement consulter la fiche suivante, en relation avec les façades maritimes (problématique de la mondialisation), en cliquant sur le lien : fiche sur la métropole

Réseaux et frontières: Internet aux marges C’était il y a vingt ans. Les Cahiers du CREPIF rendaient compte d’un colloque sur la communication électronique [1] Cahiers du CREPIF, n° 8, novembre 1984. [1] . Dans l’introduction Jean Bastié s’interrogeait : «…le progrès technique se précipite… Comment tirer le maximum de parti de cette avalanche d’informations et chacun sera-t-il capable de les sélectionner?». Mais la parole était plutôt aux praticiens des réseaux de télécommunications. Un seul géographe universitaire, Bernard Marchand, intervenait sur le fond, traitant des enjeux de la communication électronique. Malgré des remarques prospectives perspicaces sur l’interaction dans les télécommunications, il n’était pas encore question d’Internet. Dix ans de plus ont passé. Que s’est-il passé pendant ces dix dernières années ? Dix ans : la période est à la fois courte et longue. On mesure donc bien le changement intervenu au cours de ces dix ans. On ne trouve guère de voix pour défendre des thèses contraires.

Hyper-lieux, les nouvelles géographies de la mondialisation Les Cafés Géo de Lyon accueillent le 5 avril 2017 Michel Lussault, professeur de géographie et d’études urbaines à l’ENS de Lyon, chercheur à l’UMR 5600 Environnement Ville Société, directeur de l’Institut français de l’Éducation. Les quatre livres L’homme spatial, De la lutte des classes à la lutte des places, L’avènement du monde et Hyper-lieux doivent être lus ensemble. Hyper-lieux clôt ce cycle. Ces livres s’inscrivent dans la continuité d’un colloque co-organisé avec J. Deux fils directeurs irriguent ces travaux : La volonté de comprendre la mondialisation sans la réduire à la globalisation économique. Comprendre un individu passe par la manière d’organiser son espace de vie au quotidien, qui se heurte à trois types d’épreuves. La première épreuve est la distance. Pour un migrant, ces trois épreuves, dans les espaces publics et privés, peuvent permettre d’assurer la survie. Hyper-lieux prend naissance dans une perplexité, ressentie à différentes lectures.

INA - Jalons - Fiche Média Les échanges de marchandises dans le monde n'ont cessé d'augmenter avec la mondialisation. C'est le transport maritime qui assure l'essentiel de ces échanges, principalement entre les trois grands pôles de la Triade : l'Asie de l'Est, l'Amérique du Nord et l'Europe. Certains points de passage constituent ainsi des lieux stratégiques du trafic maritime : il s'agit des canaux (ceux de Suez et Panama) et des détroits (ceux de Gibraltar, Malacca ou Ormuz). Le canal de Panama est l'un de ces points de passage stratégiques. Le canal de Panama continue aujourd'hui d'occuper une place centrale au sein du commerce maritime mondial. Toutefois, les capacités du canal de Panama ne permettent plus de répondre à la croissance du trafic maritime mondial et à l'agrandissement de la taille des bateaux. Les plus grands bateaux qui peuvent actuellement franchir le canal sont des porte-conteneurs d'une capacité de 6 000 équivalent vingt pieds (EVP) et des vraquiers de 80 000 à 85 000 tonnes.

La carte des pays qui n'utilisent pas Facebook Des cartes qui montrent la pénétration et les usages de Facebook et des réseaux sociaux dans le monde, il y en a des dizaines, dont certaines sont presque artistiques. D’où l’idée de proposer une vision quelque peu différente: celle des endroits sur la planète où Facebook n’a pas encore réussi à conquérir les foules. Des cartes qui montrent la pénétration et les usages de Facebook et des réseaux sociaux dans le monde, il y en a des dizaines, dont certaines sont presque artistiques. D’où l’idée de proposer une vision quelque peu différente: celle des endroits sur la planète où Facebook n’a pas encore réussi à conquérir les foules. C’est ce que propose FlowingData, reprenant une carte réalisée par Ian Wojtowicz, la « UnFacebook Map », un étudiant en arts graphiques, qui a utilisé pour cela une carte de la NASA montrant la Terre de nuit. (source)

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