La performance globale et ses déterminants Pour Nicole Notat [1], « la question de la performance économique au service de quoi, de qui, et dans quelles conditions est centrale. […] La responsabilité sociale des entreprises signifie que la performance ne saurait se mesurer uniquement à l’aune du résultat financier et de la maximisation de la valeur pour l’actionnaire. La durabilité de la performance de l’entreprise suppose la considération de l’intérêt des salariés, des territoires, des clients, de l’environnement naturel, et désormais des générations futures. Rééquilibrer le poids de chaque performance et établir entre elles une articulation correcte, c’est finalement le sens de l’analyse de la performance en responsabilité sociale. » [2] Par exemple, en tant qu’utilisatrice de ressources sociales (le système de santé, d’éducation français...) l’entreprise se doit en retour de l’enrichir d’une manière ou d’une autre (plan de formation... 1.La performance organisationnelle 2. 3.
Notions, définitions Gestion de la Performance Commerciale et de la Rémunération Variable avec Primis Consulting; incentives bonus, rémunérations variables qualitatives et quantitatives, stock options, révisions salariales; Attentifs à la stratégie et la rentabilité de votre société, nous vous aidons à mieux piloter et motiver vos forces de vente. Pour cela, nous intégrons des processus organisationnels évolutifs via des solutions progicielles souples, tout en veillant à la maîtrise de vos données chiffrées et au respect des réglementations en vigueur : aligner les actions des commerciaux avec la stratégie de l’entreprise (plan de rémunération, répartition des objectifs)gérer votre équipe commerciale au quotidien (partage des territoires, changements d’organisation, gestion des différents canaux de distribution)réduire les coûts IT grâce à un progiciel facilitant l’intégration des données (import/export) entre les différents Systèmes d’Information : Gestion Commerciale, SIRH, Paiediminuer les erreurs et le temps passé par les utilisateurs (Vente, ADV, RH, IT, Direction)
Les performances financières comparées d’Apple, Microsoft, Google La saison de la publication des résultats arrive à son terme, et le site américain The Verge en profite pour proposer une comparaison des performances d’Apple, Google et Microsoft, en termes de CA, de résultat net et de marges opérationnelles. En synthèse, si ces 3 acteurs ont plutôt "déçu" Wall Street, il faut quand même constater qu’ils constituent toujours des machines à engranger des dollars, avec des profits nets trimestriels qui s’échelonnent de 2,7 à 6,9 MILLIARDS de dollars, et des marges opérationnelles nettes (profts/CA) oscillant autour de 20% témoignant du caractère très profitable de leur business. The Verge note aussi que le second trimestre de l’année dernière avait vu Microsoft enregistrer dans ses comptes une charge négative de 6,19 milliards de dollars de dépréciation de ses actifs liée à l’acquisition de la société eQuantive en 2007.
L'évaluation de la performance commerciale La performance commerciale de l’entreprise (et des organisations plus largement, associations et administrations publiques notamment), est une notion qui semble faire relativement peu débat. Ainsi, une entreprise performante sur le plan commercial doit-elle enregistrer un niveau de ventes et de marges élevés, une augmentation du nombre de clients recrutés et fidélisés, une diminution de son volume de stock.... Pourtant, à l’instar des autres performances de l’entreprise (sociale, sociétale, écologique, comptable, financière...) celle-ci est nécessairement le fruit d’un consensus entre les différentes parties prenantes (clients, usagers, actionnaires, salariés, pouvoirs publics, concurrents...), qui chacune va essayer d’imposer la définition qu’elle considère la plus pertinente, utile. Comment la performance de l’entreprise, et notamment sa performance commerciale, peut-elle se définir ? I- L’Efficacité : l’atteinte d’un niveau de performance défini ex-ante Extrait de Lorino, 2003
Création de valeur, Lexique financier Observatoire de la Communication Financière : Cadre et Pratiques de Communication Financière Au-delà des contraintes réglementaires détaillées dans les chapitres précédents, la politique de communication financière d’une société cotée reflète la volonté des dirigeants de l’entreprise de communiquer régulièrement, en toute transparence, avec professionnalisme et réactivité, avec les différents acteurs des marchés financiers. Pour ce faire, la Direction générale s’appuie le plus souvent sur l’Investor Relations, responsable des Relations Investisseurs, qui va s’adresser au nom de l’entreprise à la communauté financière – principalement analystes financiers, gérants de portefeuille, investisseurs institutionnels et individuels, régulateurs – et mettre en place une politique de communication financière ciblée, dans le respect des principes d’égalité et d’homogénéité de traitement de l’information. Ce volet du Guide de l’Observatoire de la Communication Financière traite de la gestion de la communication financière au travers de ses pratiques. Calendrier et organisation