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Les Espaces publics numériques peuvent-ils devenir des tiers-lieux ? (2/3)

Les Espaces publics numériques peuvent-ils devenir des tiers-lieux ? (2/3)
Illustration : Jacques Goldstein (IDRC) Dans l'article précédent « A la rencontre du 3ème type … de lieu », nous sommes repartis aux sources du concept de « 3ème lieu » pour découvrir qu'il était préférable d'utiliser le terme de « tiers-lieu » plus porteur de sens. Ces tiers-lieux peuvent se décliner sous la forme d'une trilogie : espaces de co-working, tiers-lieux culturels, fablabs et leurs dérivés. Dans ce second article de la série, nous nous interrogeons sur les conditions nécessaires pour qu'un EPN puisse proposer un espace de co-working au sein de ses locaux, ainsi que la pertinence et la faisabilité de cette évolution. Nous pointons les risques que quelques projets d'Espaces de co-working siphonnent l'argent public disponible au détriment d'un financement plus large des réseaux d'EPN ou que les médiateurs-trices numériques soient réduits au rôle de concierge. Un choix nécessitant des aménagements et investissements spécifiques Le portage par une association semble préférable

L'"empowerment", nouvel horizon de la politique de la ville Le ministre François Lamy s'est emparé de ce concept venu des Etats-Unis qui vise à redonner aux habitants des cités populaires une capacité à agir. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Sylvia Zappi C'est le nouveau mot à la mode dans les cercles de la politique de la ville. Conscient que sa concertation sur la réforme de la géographie prioritaire ou l'installation de nouveaux contrats de ville ne suffiraient pas à redonner du souffle à une politique de la ville en bout de course, le ministre a décidé d'intégrer ce nouvel outil et ainsi d'afficher une politique de gauche qui ne coûte pas très cher. L'empowerment semble devenu le nouvel horizon de la politique dans les quartiers. L' empowerment n'a pas de traduction adéquate - sinon le néologisme québécois "capacitation". Quant aux associations, voilà des années qu'elles travaillent chacune dans leur coin et aspirent à faire entendre autrement la voix des habitants. Les expériences hexagonales sont encore peu nombreuses.

Coworking et médiation numérique La semaine mondiale du coworking vient de se terminer (elle s’est déroulée du 14 au 20 janvier) et j’ai eu la chance de participer à une rencontre de porteurs de projets à Annecy. Fin décembre Internet Actu et la Délégation aux Usages de l’Internet se sont penchés sur le devenir des Espaces Publics Numériques. De mon point de vue le coworking est une des transformations possibles de l’EPN, voir son présent. Qu’est ce que le coworking ? Nous avons tous une expérience du coworking, rappelez-vous de vos années bac. Vous alliez à la cafet’ pour réviser plutôt qu’au CDI parce qu’à la cafet’ l’ambiance est plus sympa. Coworking et EPN ? D’un point de vue très pragmatique, un espace de coworking ce sont de locaux, des ordinateurs connectés à Internet et surtout une animation des lieux.

The Very Hungry City - Troy, Austin Austin Troy Won Honorable Mention in the 2012 New York Book Festival General Non-Fiction category, sponsored by the New York Book Festival Designated as the Baltimore Ecosystem Study Book of the Year for 2013. As global demand for energy grows and prices rise, a city's energy consumption becomes increasingly tied to its economic viability, warns the author of The Very Hungry City. Austin Troy, a seasoned expert in urban environmental management, explains for general readers how a city with a high "urban energy metabolism"—that is, a city that needs large amounts of energy in order to function—will be at a competitive disadvantage in the future. He explores why cities have different energy metabolisms and discusses an array of innovative approaches to the problems of expensive energy consumption. Austin Troy is associate professor in the Rubenstein School of Environment and Natural Resources at the University of Vermont, and principal and cofounder of Spatial Informatics Group, LLC.

Pôle Emploi, le coworking et les Tiers-Lieux Pôle-Emploi s’intéresse à la thématique du coworking dans son focus du dossier du mois, un article daté du 30 mai 2012 : Le coworking, késako ? Un intérêt qui est à rapprocher des expérimentations sociales et professionnelles menées par l’association Zoomacom au Comptoir Numérique (St-Étienne) et par Grand Roanne Agglomération au Fil Numérique (Roanne). Des expériences sociales et professionnelles qui visent à associer, au sein d’un même (tiers-) lieu, médiation numérique, via un Espace Public Numérique (EPN) et espace de coworking. Tiers-Lieu « EPN + Coworking » quel intérêt pour l’emploi ? Par médiation numérique on entend ici, au sens large, l’accompagnement donné à des individus pour leur permettre de s’approprier les usages des technologie de l’information et de la communication (TIC). De tels tiers-lieux sont également des pôles ressources pour les collectivités, les associations, les structures de l’état, les entreprises, dont certaines ont pour objectif l’insertion. Partagez !

Why Denser Cities Are Smarter and More Productive - Jobs & Economy Density is one of the most important, and at times contentious, topics in urban development. We cover it a lot here at Cities. It's clear that density plays an important role in economic growth. Density brings people and firms closer together which makes it easier to share and exchange information, invent new technologies, and launch new firms. But the question remains: How exactly — in what ways and through which channels — does density make our cities more productive? That’s where a recent study published in the Journal of Regional Science breaks new ground. In doing so, the study overcomes a couple of nagging problems that have confounded previous research. The graph above, from the study, shows the wide variation in productivity across U.S. metros. "[These maps] really show the difference (especially for places like Denver) between the 'standard' density measure (population per square mile) and the weighted density measure," writes Gabe in an email.

Les espaces publics numériques ont dix ans “Les Régions ont accompli d’importants efforts, en créant ou en soutenant des milliers d’espaces numériques, portés par les communes et les associations. Mais aujourd’hui, il s’agit moins d’agir sur la pénétration et le taux d’accès à l’internet que de travailler sur un objectif général d’autonomie des personnes dans la société de l’information et d’inclusion sociale à l’heure du numérique. Il ne suffit pas d’être “connecté” pour être un citoyen libre de ses choix”. In Le défi numérique des territoires.- Éditions Autrement, mars 2007 À l’occasion de la sortie du “Guide pratique” à destination des responsables et animateurs d’espaces publics numériques (EPN), l’Artesi [1] a organisé récemment une demi-journée d’information au Conseil régional d’Île-de-France qui avait pour intitulé : “Sensibiliser élus et agents au rôle de l’EPN sur le territoire”. L’EPN n’est pas seulement un Ovni (outil voué au numérique et à l’informatique)... Comment en est-on arrivé à cette situation paradoxale ?

Ces villes qui expérimentent les services publics gratuits - Innovation Monter dans un bus sans composter un ticket, et sans risquer de passer pour fraudeur, tel est le quotidien des Aubagnais. Depuis trois ans, l’agglomération du Pays d’Aubagne – 104 000 habitants – en périphérie de Marseille, a fait le choix de la gratuité totale dans les transports en commun. Cette gratuité était auparavant réservée aux demandeurs d’emplois, aux allocataires du RMI et aux personnes âgées et handicapées. S’inspirant de l’esprit du « droit au transport pour tous » énoncé par la loi d’orientation des transports intérieurs votés par la gauche en 1982, le maire communiste d’Aubagne, Daniel Fontaine, et son équipe proposent cette mesure à leurs administrés lors des élections municipales de 2008. Réélue, la municipalité entame alors un bras de fer avec la société des Autobus Aubagnais, propriété du groupe Veolia, qui exploite le réseau depuis 2007 dans le cadre d’une délégation de service public. A qui profite la gratuité ? Qui finance les transports gratuits ? Anthony Laurent

Quel avenir pour les EPN ? (2/3) : devenir des structures de développement de projets « Les EPN doivent être pensés non pas pour ce qu’ils sont, mais pour ce qu’ils pourraient apporter dans un écosystème, un territoire. Nous avons besoin de contextualiser les services proposés », explique Didier Paquelin directeur du programme de Recherche Aquitain sur usages et le développement des dispositifs numériques. « Les EPN doivent quitter leur posture d’acculturation du numérique pour devenir les accompagnateurs des dynamiques territoriales. » Mais cela suppose d’adapter leurs missions, de trouver de nouveaux modèles économiques aux EPN et de réinventer leurs métiers… comme commencent à le faire certains. Sortir des EPN ? Les choses changent autour de la médiation numérique, comme le montrait le bilan des assises de la médiation numérique qui se tenaient en septembre 2011 à Ajaccio, souligne Elisabeth Le Faucheur Joncour, responsable de projets au service internet et expression multimédia de la ville de Brest. L’une des solutions est de développer des projets. Hubert Guillaud

"La ville de demain doit permettre de recréer du lien social" Plus proche des usages et des besoins des citoyens, la ville du futur devrait être enrichie, plus interactive et collaborative. Interview de Stéphane Cagnot, fondateur de dedale, une agence dédiée à la culture, aux nouvelles technologies et à l'innovation sociale en Europe. L'agence faisait partie des acteurs innovants qu'il était possible de rencontrer lors de Demain dans ma vie, organisé par la ville de Paris. L'Atelier : A quoi va ressembler la ville du futur? Stéphane Cagnot : Je dirais que l'un des enjeux futurs, c'est de penser et imaginer les services qui vont changer la ville. Par contre, en termes de conception et de design, on est encore à l'âge de pierre. La ville sera-t-elle plus orientée vers l'humain ou vers la technologie à l'avenir ? Côte technologie, la question est comment faire en sorte que les technologies contribuent à recréer du lien social dans la ville de demain? Côté humain, la ville enrichie est encore à organiser et mettre en place.

The Human Smart Cities Manifesto | Periphéria The Human Smart Cities Manifesto builds a network of cities committed to facilitating the development of effective Smart City strategies and its uptake across a range of cultural, geographical, and infrastructural contexts. The Manifesto will be signed in Rome, on the 29th of May of 2013 by cities from all over the world. Networking Citizen-driven Innovation Preamble We, the signatories of this Manifesto, come together to address the three main challenges facing the our cities today: The devastating effects of the financial crisis undermining the European social model. These challenges call for a transformational change in the way we all work, live, play, and build our future, which in turn places a special burden on those of us holding the responsibility to govern such processes with an optimum usage of the public resources available. Vision Partnership We will promote institutional innovation within and across our city administration as an integral part of our role in service co-design.

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