L'utilisation des réseaux sociaux est encouragée aux Jeux, mais... | Maryse Tessier
Les Jeux olympiques de Londres se distinguent avant même que la flamme olympique ne soit allumée: ces Jeux d'été seront les premiers vraiment ouverts à des discussions sur les réseaux sociaux. Toutefois, certaines règles s'appliquent, tant aux bénévoles qu'aux athlètes. C'est fou comme les temps changent: lors des Jeux olympiques de Pékin, en 2008, 100 millions de personnes utilisaient Facebook, six millions avaient un compte Twitter et l'utilisation de l'internet par les athlètes était très surveillée. Aujourd'hui, le nombre d'utilisateurs de Facebook frise le milliard. Twitter a atteint le nombre magique de 500 millions. Et on ne compte plus le nombre de téléphones intelligents et de tablettes en circulation. Le Comité international olympique a dû s'adapter. Tout participant pourra rédiger des tweets, des billets de blogues ou des articles de forum, mais il devra le faire à la première personne, en suivant le modèle d'un journal personnel, sans tenir le rôle de journaliste.
Réseaux sociaux - Rumeur planétaire : l’effet Twitter
Connexion Serge Genest - Québec 13 juillet 2012 Société / MédiasRéseaux sociaux - Rumeur planétaire : l’effet Twitter Encore maintenant, dans les villages ou les quartiers des villes, diverses informations peuvent surgir sans qu’on puisse témoigner de leur véracité ou qu’on se soucie de leur véritable fondement. Aujourd’hui toutefois, des moyens technologiques de plus en plus sophistiqués permettent de diffuser des informations de tous ordres à l’échelle planétaire avec un minimum de discrimination. Outil d’endormissement Le fait divers, le divertissement sont diffusés avec autant, sinon davantage d’intensité que l’information substantielle sur des questions de fond. Le problème ne vient pas du commérage ; un comportement et un phénomène qui remontent sans doute au début de l’humanité. L’éphémère plutôt que l’analyse La prolifération d’« amis » sur les réseaux Internet atteste d’abord paradoxalement la solitude et l’isolement dans nos sociétés. Site complet
Facebook ne rend pas nécessairement dépressif | Santé
Le fait de passer des heures sur Facebook ou d'autres réseaux sociaux ne rend pas nécessairement dépressif, montre une étude réalisée par des chercheurs américains de l'Université du Wisconsin. Cette recherche visait notamment à vérifier la validité d'un rapport publié en 2011 par une organisation de pédiatres américains (AAP), qui affirmait que les réseaux sociaux peuvent plonger, en cas d'utilisation intensive, les adolescents dans la dépression. « Notre étude est la première à présenter des preuves scientifiques concernant les liens supposés entre l'utilisation des réseaux sociaux et le risque de dépression. » — Lauren Jelenchick, École de médecine et de santé publique de l'Université du Wisconsin Les auteurs de ces travaux ont étudié le comportement de 190 étudiants âgés de 18 à 23 ans qui consacraient à Facebook la moitié de leur temps passé sur Internet. Le détail de ces travaux est publié dans le Journal of Adolescent Health. Le saviez-vous?
CUTV, l’effet larsen des médias sociaux
Arrivé au 100e jour du conflit étudiant, c’est devenu un rituel chaque soir. On se branche sur CUTVmontreal.ca pour voir en direct la #manifencours. Équipés de caméra et de cellulaires, des membres de la station communautaire des étudiants de l’Université de Concordia diffusent chaque soir, en direct de la rue, au coeur de l’action, ce qui se passe sur le terrain. On ne parle pas d’un topo de 10 secondes, mais bien des heures de direct, à l’intérieur de la foule qui manifeste. Si vous voulez voir ce qu’on ne voit pas sur les grandes chaînes, c’est en ligne qu’il faut aller. Les nouvelles en temps irréel Il y a probablement plusieurs raisons qui expliquent la (relative) absence des grandes chaînes de télévision de ce côté. le manque d’équipement léger. Résultat : quand la télé parle de débordements, CUTV ne montre que des foules festives, quand la télé doit passer à une autre nouvelle (« désolé, c’est tout le temps qu’on a »), CUTV nous montre la police charger les manifestants.
Les morts de Twitter | Anabelle Nicoud
Qu'ont en commun Margaret Thatcher, Fidel Castro, Benoît XVI, James Blunt, Céline Dion et Jon Bon Jovi? Tous ont été déclarés morts - à tort, évidemment - sur le réseau social Twitter. Chaque jour, la mort de personnalités publiques est erronément annoncée sur le réseau. Ces rumeurs passent parfois inaperçues, mais à d'autres moments, elles sont reprises par des utilisateurs d'influence. «Des morts, il y en a tous les jours sur Twitter», relève Sébastien Provencher, observateur des médias sociaux. Ainsi, au cours des derniers jours, c'est l'ancienne première ministre britannique Margaret Thatcher et le chanteur James Blunt qui sont passés de vie à trépas sur le réseau social seulement. Ce faux compte de la première dame française s'était déjà fait remarquer pour avoir annoncé, à tort, la mort d'Alain Delon. «Il y a un effet viral [sur Twitter], croit Sébastien Provencher. «Je ne pense pas qu'il y en aura plus, mais on aura plus cette perception, dit-il.
L’utilisation de balles de plastique par la SQ fait débat sur les réseaux sociaux
Quel recours à la force pour la police lors de manifestations? La question fait débat aujourd’hui sur les réseaux sociaux après que Moïse Marcoux-Chabot, un internaute, a publié sur Facebook une note sur ses recherches concernant différents projectiles trouvés par des manifestants. Cette note, qui montre l’utilisation de balles de plastique par la police, a été partagée plus de 2000 fois au moment d’écrire ces lignes. La Sûreté du Québec (SQ) confirme avoir tiré 206 « irritants » (des gaz lacrymogènes) et 30 « projectiles d’armes d’impact » (des « bâtons cinétiques » ou balles de plastique) lors des manifestations du week-end dernier à Victoriaville. « L’usage de balles de plastique de cette force était-il nécessaire? Des balles adaptées à la situation Robert Poëti, ancien policier de la SQ et expert en mesures d’urgences, explique que chaque corps policier dispose d’équipements différents, y compris pour les balles. « Jamais dans des zones vitales » En complément Pour me joindre :