Les plantes communiqueraient par des clics sonores Publiant leurs travaux dans la revue Trends in Plant Science, des chercheurs britanniques et australiens suggèrent, à partir de données expérimentales, que les plantes pourraient communiquer entre elles non seulement chimiquement, mais aussi à l’aide de cliquetis inaudibles pour l’oreille humaine. Si les scientifiques de l’Université d’Exeter avaient déjà montré, récemment, que des choux 's’avertissent' entre eux de la présence de chenilles en émettant un gaz perceptible par les plants voisins, ceux de l’Université de Bristol pensent avoir mis en évidence un autre système de communication entre les plantes. Sonore, celui-là. Utilisant de puissants amplificateurs, ils ont en effet ‘écouté’ des pousses de maïs... et entendu des cliquetis, inaudibles tels quels à l’oreille humaine, provenant de leurs racines. Émettant ensuite artificiellement un bruit continu à une fréquence similaire à ces clics, les chercheurs ont constaté que les plantes poussaient en direction de cette source sonore.
Les arbres communiquent entre eux. - Relations et Connaissance de soi par Paul Pujol Il a été démontré récemment que des arbres peuvent communiquer entre eux, du moins quand leur survie est en jeu. Un scientifique a fait cette découverte, lors d'une étude sur les cas de mortalité importante constatée dans des élevages en Afrique du sud. Dans ce pays existent des élevages d'antilopes, appelées koudous, et plusieurs d'entre elles ont été retrouvées mortes de manière inexpliquée dans leur enclos. En cette période de grande sécheresse, l'herbe est rare, et pratiquement la seule nourriture qui reste, ce sont les feuilles d'acacias dont se nourrissent volontiers ces antilopes. Devant le peu de pistes concernant ces morts incompréhensibles, le scientifique a l'idée d'observer l'estomac d'un koudou mort; or il constate la présence de feuilles d'acacias non digérées, comme si la fermentation normale n'avait pas eu lieu. Ce fait de défense des arbres, est déjà assez frappant et en un sens extraordinaire, mais ce n'est pas tout.
Les plantes entendent-elles ? Ceux qui, comme moi, aiment Franquin, ont probablement le souvenir de cette planche savoureuse où Gaston Lagaffe, pensant que les plantes sont sensibles à la musique et désireux d’accroître le bien-être d’un pied de lierre, veut lui jouer un petit air. Mais aux premières notes affreuses émises par le tristement célèbre gaffophone, la plante tente de s’échapper par la fenêtre ouverte… Ce que dit le gag, c’est que le son de cet instrument générateur de catastrophes doit vraiment être horrible si « même un végétal » ne le supporte pas. Encore faut-il que les plantes ne soient pas sourdes comme leurs pots et qu’elles puissent percevoir les vibrations sonores. La notion de communication dans le monde végétal a longtemps été tenue pour marginale (voire inexistante) quand elle n’a pas été raillée. Dans une nouvelle étude publiée le 22 mai par PLoS ONE, une équipe italo-australienne a voulu explorer tous les modes de communication possibles entre deux plantes, le piment et le fenouil.
Comment les arbres communiquent. Rien de plus agréable préparer une salade avec de jeunes feuilles d'arbres caducs : notamment les chênes et les tilleuls. Il suffit d'arracher les feuilles les plus jeunes et de les ranger dans la besace. Si vous goûter toutes les dix secondes les feuilles cueillies, vous vous rendrez compte qu'au bout de deux minutes elles deviennent de plus en plus amères jusqu'à être quasi immangeables. Que s'est-il passé ? (c) Illustration de Serge Elissalde L'arbre s'est rendu compte que l'on déchiquetait ses feuilles et à envoyé dans chacune d'elles une substance chimique amère appelée "tanin". Mais ce n'est pas tout...Faites de même avec l'arbre voisin et commencez par goûter une feuille. Que s'est-il passé (n°2) ? Les arbres non seulement se défendent mais communiquent entre eux. Compliquons la situation pour nous rapprocher de la réalité : il y a souvent du vent. Dès lors l'éthylène ne sera perçu que par les arbres en aval (par rapport au vent) de l'arbre attaqué. Partager l'article ! inShare
Les plantes peuvent apprendre et mémoriser Array. Array. Les plantes peuvent apprendre et mémoriser - LMOUS Une étude australo-italienne révèle qu'une variété de Mimosa peut apprendre et mémoriser certaines informations, aussi vite et aussi longtemps que le font certains animaux. Une équipe australo-italienne (Gagliano, Renton , Depczynski et Mancuso) s'est amusée à mettre au point un protocole d'apprentissage pour végétaux, en tous points calqué sur les modèles d'expérimentation animale. Les plantes ont la mémoire de l'eau Armés d'un automate fait maison, ils ont soumis des végétaux à un lâcher répétitif de gouttes d'eau. [Sources : link.springer.com, sci-news.com, sciencealert.com.au, passeurdesciences.blog.lemonde.fr] (Article publié sur le site "Les mots ont un sens")
rapport chlorophyle des plantes et sang humain Découverte d’une calculatrice intégrée aux plantes Longtemps les plantes n’ont été appréciées que pour ce qu’elles produisaient (graines, fleurs, fruits, racines, tubercules, bois, oxygène…). Aujourd’hui, on s’intéresse de plus en plus à ce qu’elles sont, à la manière dont elles fonctionnent et réagissent à leur environnement. Effacée l’image caricaturale du sous-être vivant, passif parce que privé de la possibilité de se mouvoir, insensible parce que n’exprimant rien face aux agressions. On sait aujourd’hui que, à l’instar des animaux, les plantes sont douées de capacités sensorielles variées et qu’elles communiquent aussi entre elles, notamment dans le but de se défendre. Les plantes ressentent, les plantes s’expriment et maintenant… elles comptent ! Publiée le 25 juin dans la revue eLife, cette dernière découverte est à mettre au crédit d’une équipe du John Innes Centre, un organisme de recherche installé en Grande-Bretagne, spécialisé dans la botanique et la microbiologie.
Figuier étrangleur Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Figuier étrangleur est le nom vernaculaire donné à certains arbres tropicaux de mode semi-épiphyte, notamment des ficus, dont les racines aériennes ont des propriétés « étrangleuses » favorisant leur compétition avec d'autres arbres. Systématique[modifier | modifier le code] On trouve ces arbres principalement dans la famille des Moracées, parmi le genre Ficus [1] : Mais aussi une espèce de la famille des Myrtacées : Metrosideros robusta ou Pohutukawa, présente dans la forêt pluviale tempérée de Nouvelle-Zélande. Biologie[modifier | modifier le code] Ce mode de développement est une adaptation aux forêts tropicales où la compétition à la recherche de la lumière est intense. Les graines de ces arbres, souvent transportées par des oiseaux, germent dans les branches supérieures d'un arbre hôte et se développent dans un mode épiphyte. Références[modifier | modifier le code] ↑ Zhekun, Zhou & Michael G. Liens externes[modifier | modifier le code]
L'actu en patates | Les dessins d'actualité et d'humeur de Martin Vidberg Acacia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Branche d'acacia Graine d'acacia On compte plus de 1 500 espèces d'acacias à travers le monde dont près de 1 000 uniquement en Australie. Les fleurs sont régulières, généralement petites, groupées en têtes globuleuses ou en épis cylindriques. Les fruits sont des gousses. Symbiose[modifier | modifier le code] Plusieurs genres de fourmis, des Tetraponera[1], les Crematogaster mimosae[2] et Crematogaster nigriceps[3], vivent en symbiose avec l’Acacia drepanolobium dans des structures appelées domaties. L’acacia produit des cavités dans de grandes épines, qui sont utilisées par les fourmis comme nid et source de nourriture. Importance[modifier | modifier le code] Dans les régions semi-arides, les Acacia sont très importants autant d’un point de vue économique qu’écologique. De plus, ce genre a aussi une grande importance écologique en étant un foyer pour plusieurs espèces d’oiseaux. Flore australienne
Cette découverte va révolutionner l’écologie : ce champignon digère totalement le plastique Des étudiants américains ont découvert un incroyable champignon jusqu’alors inconnu qui est capable de digérer le plastique. Le domaine de l’écologie va peut-être faire un bond en avant grâce à cette trouvaille sensationnelle. DGS vous fait découvrir cet intéressant spécimen. Un groupe d’étudiants de l’université de Yale se sont rendus dans la forêt amazonienne, en Equateur, dans le but de rapporter des plantes et des champignons. Ils ont participé à la Rainforest Expedition and Laboratory avec leur professeur afin d’améliorer leurs connaissances dans le domaine de la botanique. Ils sont revenus chargés de nombreux spécimens végétaux qu’ils ont étudiés pour découvrir une nouvelle espèce de fungus très intéressante qu’ils ont nommée Pestalotiopsis microspora. Nous avons été très enthousiasmés par l’annonce de cette découverte et nous espérons que ce champignon dévoreur de plastique sera bientôt utilisé pour faire disparaître rapidement les innombrables déchets qui jonchent notre planète.
Palétuvier Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les palétuviers sont des arbres ou arbustes tropicaux appartenant à diverses espèces d'angiospermes, capables de prospérer le long des rivages marins dans la zone de balancement des marées. Ils supportent l'ennoiement régulier de leur base dans l'eau salée, vivent en colonies et forment de véritables forêts amphibies souvent très denses appelées mangroves. Les palétuviers ne peuvent néanmoins pas pousser sur les milieux sursalés (dit « Tannes », ou le sel concentré par l'évaporation s'est accumulé en excès), sauf après lessivage du sel excédentaire qui s'est accumulé dans ces poches[1]. Pour s'adapter à la forte salinité et à la faible oxygénation du substrat marin, la plupart ont développé des systèmes de racines aériennes. Avec le recul des mangroves, plusieurs espèces de palétuviers sont depuis peu considérées comme menacées. Fonctions écologiques[modifier | modifier le code] Place dans la mangrove[modifier | modifier le code]