Les plantes communiqueraient par des clics sonores
Publiant leurs travaux dans la revue Trends in Plant Science, des chercheurs britanniques et australiens suggèrent, à partir de données expérimentales, que les plantes pourraient communiquer entre elles non seulement chimiquement, mais aussi à l’aide de cliquetis inaudibles pour l’oreille humaine. Si les scientifiques de l’Université d’Exeter avaient déjà montré, récemment, que des choux 's’avertissent' entre eux de la présence de chenilles en émettant un gaz perceptible par les plants voisins, ceux de l’Université de Bristol pensent avoir mis en évidence un autre système de communication entre les plantes. Sonore, celui-là. Utilisant de puissants amplificateurs, ils ont en effet ‘écouté’ des pousses de maïs... et entendu des cliquetis, inaudibles tels quels à l’oreille humaine, provenant de leurs racines. Émettant ensuite artificiellement un bruit continu à une fréquence similaire à ces clics, les chercheurs ont constaté que les plantes poussaient en direction de cette source sonore.
Les arbres sentent-ils et communiquent-ils ?
Avertissement : l’article qui suit ne procède nullement d’une vision spiritualiste, idéaliste ni mystique de la nature ou de l’arbre. Il n’est nullement question d’attribuer un esprit aux arbres ou de les transformer en modes d’expression d’un quelconque "esprit supérieur"... Pas question ici d’"esprit" de l’arbre, d’"aura" de l’arbre, de volonté de l’arbre, d’âme de l’arbre, etc. Cependant, sans l’ombre d’un animisme, d’un point de vue scientifique, la question se pose : Comment les arbres sentent-ils et communiquent-ils ? Il faut connaitre le langage des VOC ! Nous sommes d’autant plus intéressés à comprendre les arbres que nous, humains, sommes aussi des arborescences qui, avant d’être capables de penser par notre liaison corps/cerveau, sommes en communication avec le monde par notre arborescence qui échange avec le monde des molécules. "Arbres" – de Jacques Prévert N’oubliez pas votre petite amie arbres de ma forêt. Comme on le dit couramment, les forêts ne parlent qu’aux poètes.
Comment les arbres communiquent.
Rien de plus agréable préparer une salade avec de jeunes feuilles d'arbres caducs : notamment les chênes et les tilleuls. Il suffit d'arracher les feuilles les plus jeunes et de les ranger dans la besace. Si vous goûter toutes les dix secondes les feuilles cueillies, vous vous rendrez compte qu'au bout de deux minutes elles deviennent de plus en plus amères jusqu'à être quasi immangeables. Que s'est-il passé ? (c) Illustration de Serge Elissalde L'arbre s'est rendu compte que l'on déchiquetait ses feuilles et à envoyé dans chacune d'elles une substance chimique amère appelée "tanin". Mais ce n'est pas tout...Faites de même avec l'arbre voisin et commencez par goûter une feuille. Que s'est-il passé (n°2) ? Les arbres non seulement se défendent mais communiquent entre eux. Compliquons la situation pour nous rapprocher de la réalité : il y a souvent du vent. Dès lors l'éthylène ne sera perçu que par les arbres en aval (par rapport au vent) de l'arbre attaqué. Partager l'article ! inShare
rapport chlorophyle des plantes et sang humain
Figuier étrangleur
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Figuier étrangleur est le nom vernaculaire donné à certains arbres tropicaux de mode semi-épiphyte, notamment des ficus, dont les racines aériennes ont des propriétés « étrangleuses » favorisant leur compétition avec d'autres arbres. Systématique[modifier | modifier le code] On trouve ces arbres principalement dans la famille des Moracées, parmi le genre Ficus [1] : Mais aussi une espèce de la famille des Myrtacées : Metrosideros robusta ou Pohutukawa, présente dans la forêt pluviale tempérée de Nouvelle-Zélande. Biologie[modifier | modifier le code] Ce mode de développement est une adaptation aux forêts tropicales où la compétition à la recherche de la lumière est intense. Les graines de ces arbres, souvent transportées par des oiseaux, germent dans les branches supérieures d'un arbre hôte et se développent dans un mode épiphyte. Références[modifier | modifier le code] ↑ Zhekun, Zhou & Michael G. Liens externes[modifier | modifier le code]
Acacia
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Branche d'acacia Graine d'acacia On compte plus de 1 500 espèces d'acacias à travers le monde dont près de 1 000 uniquement en Australie. Les fleurs sont régulières, généralement petites, groupées en têtes globuleuses ou en épis cylindriques. Les fruits sont des gousses. Symbiose[modifier | modifier le code] Plusieurs genres de fourmis, des Tetraponera[1], les Crematogaster mimosae[2] et Crematogaster nigriceps[3], vivent en symbiose avec l’Acacia drepanolobium dans des structures appelées domaties. L’acacia produit des cavités dans de grandes épines, qui sont utilisées par les fourmis comme nid et source de nourriture. Importance[modifier | modifier le code] Dans les régions semi-arides, les Acacia sont très importants autant d’un point de vue économique qu’écologique. De plus, ce genre a aussi une grande importance écologique en étant un foyer pour plusieurs espèces d’oiseaux. Flore australienne
Palétuvier
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les palétuviers sont des arbres ou arbustes tropicaux appartenant à diverses espèces d'angiospermes, capables de prospérer le long des rivages marins dans la zone de balancement des marées. Ils supportent l'ennoiement régulier de leur base dans l'eau salée, vivent en colonies et forment de véritables forêts amphibies souvent très denses appelées mangroves. Les palétuviers ne peuvent néanmoins pas pousser sur les milieux sursalés (dit « Tannes », ou le sel concentré par l'évaporation s'est accumulé en excès), sauf après lessivage du sel excédentaire qui s'est accumulé dans ces poches[1]. Pour s'adapter à la forte salinité et à la faible oxygénation du substrat marin, la plupart ont développé des systèmes de racines aériennes. Avec le recul des mangroves, plusieurs espèces de palétuviers sont depuis peu considérées comme menacées. Fonctions écologiques[modifier | modifier le code] Place dans la mangrove[modifier | modifier le code]
not shaking the grass
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