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22 février 1943 - Décapitation de la «Rose blanche»

22 février 1943 - Décapitation de la «Rose blanche»
Le 22 février 1943, trois étudiants allemands d'une vingtaine d'années sont guillotinés dans la prison de Stadelheim, près de Munich. Leur crime est d'avoir dénoncé le nazisme dans le cadre d'un mouvement clandestin, «La Rose blanche» (Die Weiße Rose en allemand). Comment, de juin 1942 à février 1943 une poignée de jeunes étudiants chrétiens ont-ils pu défendre les valeurs démocratiques au prix de leur vie ? Pierre Le Blavec Les prémices de la résistance Résidant à Ulm et âgé de 14 ans en 1933, le lycéen Hans Scholl n'est pas au début insensible aux discours de Hitler. Aidé par ses parents et encouragé par l'éditeur Carl Muth du mensuel catholique Hochland, il rompt avec le national-socialisme et se consacre à ses études de médecine. Quatre ans plus tard, sa décision est prise. En juin 1942, alors que Hitler est au sommet de sa puissance, le petit groupe décide d'appeler les étudiants de Munich à la résistance contre le régime nazi, qualifié de «dictature du mal». La rose s'épanouit

Les combattants de l'ombres Non à Hitler Archives nationales (France) Exposition du 6 mai au 24 juillet 2015 - Prolongation jusqu'au 8 août. Entrée libre et gratuite Visite guidée et gratuite pour tout public le mercredi 8 juillet à 14h00. En savoir plus Le 27 mai 2015, Pierre Brossolette, Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Germaine Tillion et Jean Zay entreront au Panthéon. Fidèles à leur mission d'écriture de l'histoire collective comme des histoires individuelles, lieu de vie et de culture, les Archives nationales ont souhaité évoquer, à travers cette exposition, les parcours et les engagements de ces quatre figures de la Résistance, illustrés grâce à la richesse des fonds conservés. Illustration © Ernesto Novo. Certificat d'appartenance à la Résistance intérieure française délivré à titre posthume à Jean Zay, 10 mars 1949. Action pédagogique Mardi 5 mai à 18h30 Mademoiselle Louise et l'aviateur allié Opéra pour enfants sur la Résistance Musique de Julien Joubert et livret de Gaël Lépingle Par les classes de CM1 de l'École Roger SÉMAT – Saint-Denis (93).

Si je reviens un jour : les lettres retrouvées de Louise Pikovsky En 2010, lors d’un déménagement au sein du lycée Jean-de-La-Fontaine, dans le 16e arrondissement de Paris, des lettres et des photographies ont été trouvées dans une vieille armoire. Enfouis là depuis des dizaines d’années, ces documents appartenaient à une ancienne élève, Louise Pikovsky. Plusieurs mois durant, cette jeune lycéenne a correspondu avec sa professeure de lettres. Son dernier courrier date du 22 janvier 1944, jour où elle est arrêtée avec sa famille. Informée de cette découverte, Stéphanie Trouillard, journaliste de France 24, a prêté main forte à Khalida Hatchy, une professeure de l’établissement qui souhaitait reconstituer le parcours de cette jeune fille.

La mémoire qui flanche: La guerre d'anéantissement à l'Est, 1941 Un sujet de type bac, nouveau programme 1ère S. Sujet : la guerre d’anéantissement sur le front de l’Est Consigne : Après avoir présenté les deux documents ( vous serez particulièrement attentifs au contexte), montrez que la guerre de l’Allemagne nazie contre l’URSS relève d’une guerre d’anéantissement. Vous soulignerez les dimensions idéologiques de ce conflit en confrontant ces deux documents. Document 1. Dans le combat contre le bolchevisme, nous ne devons pas supposer que le comportement de l’ennemi s’appuiera sur les principes d’humanité ou du doit international. Il faut attirer l’attention de toutes les unités sur ce qui suit : -montrer de la considération pour ces éléments au cours de ce combat ou agir conformément aux règles internationales de la guerre est une erreur mettant en danger notre propre sécurité et la rapide pacification des territoires conquis ; -les commissaires politiques ont inauguré de nouvelles méthodes de guerre asiatiques barbares.

Brassens: "la tondue". (1964) Les tontes de femmes à la Libération sont longtemps restées un angle mort de la recherche historique. Jusqu'au début des années 1990, les ouvrages consacrés à la Libération évoquent les tondues, mais de manière furtive, comme un élément de décor, un passage obligé. Ceci explique la persistance de représentations simplistes sur ce phénomène. Femme tondue photographiée devant l'entrée principale du palais de justice de Bergerac (24), septembre 1944.* Une pratique massive.Le phénomène, massif, aurait touché environ 20 000 personnes dans toutes les régions de France, que ces territoires aient été libérés par les armées alliées ou par la Résistance. Célèbre cliché de Robert Capa. La tondue de Chartres par Robert Capa.* La punition des femmes.Toutes les catégories sociales et socioprofessionnelles sont touchées. Cortège de femmes tondues, exhibées sur un char et promenées dans les rues de Cherbourg le 14 juillet. Tonte lors de la Libération dans la région de Marseille, le 23 août 1944. 2.

Hungerplan Le Hungerplan (en français « Plan de la faim ») fait référence à la stratégie mise en place en 1941 par l'Allemagne nazie et son secrétaire d'État au ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation, Herbert Backe, dans le cadre de la guerre contre l'Union soviétique. Elle prévoit que toute la nourriture produite dans les régions occupées par la Wehrmacht soit livrée aux troupes d'occupation et à la population du Troisième Reich. Les concepteurs de cette politique estiment que cette privation de nourriture aura pour conséquence une famine touchant 30 millions de personnes en Union soviétique. Ce plan est conçu et porté par un grand nombre de responsables de l'économie de guerre nazie. Planification du ravitaillement et risque de famine[modifier | modifier le code] L'Allemagne a connu lors de la Première Guerre mondiale des problèmes considérables de ravitaillement en nourriture[1],[2], et la situation n'est pas meilleure pendant la Seconde Guerre mondiale[2]. — Hermann Goering[25]

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