http://www.youtube.com/watch?v=MULmZYhvXik
Related: Energie et ressourcesThorium, la face gâchée du nucléaire Une énergie nucléaire "verte" ? Au début de la série Occupied, diffusée par ARTE fin 2015, le nouveau chef écologiste du gouvernement norvégien, pour mettre un terme à l'exploitation pétrolière, inaugurait une centrale fonctionnant au thorium. Une hypothèse nullement fictive, selon ce documentaire, qui montre combien ce combustible alternatif, découvert à la fin du XIXe siècle et répandu sur toute la planète, représente une piste sérieuse pour échapper aux dangers et à la pollution induits par l'utilisation du plutonium par l'industrie atomique. Si le nucléaire n'avait pas été inventé pour bombarder Hiroshima et propulser des flottes militaires, nos centrales fonctionneraient sans doute aujourd'hui avec des réacteurs à sels fondus de thorium. Tchernobyl et Fukushima seraient peut-être restés des points anonymes sur la carte du monde. La Chine à l'avant-garde ?
Lien PIB/consommation d'énergie Il est facile de comprendre que notre économie entière repose en pratique sur la consommation d’énergie. En considérant que nous transformons des ressources en produits et en services, et que chaque transformation requiert l’utilisation d’énergie, il semble logique que la production économique soit liée à la quantité d’énergie ajoutée dans le système. Graphique présentant les courbes de consommation de l'énergie et d'évolution du PIB depuis le début des années 1960
Sa biographie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jean-Marc Jancovici Biographie[modifier | modifier le code] Il devient consultant et collabore de 2001 à 2010 avec l'ADEME pour la mise au point du bilan carbone dont il est le principal développeur. En 2001, il entre au comité de veille écologique de la Fondation Nicolas Hulot pour la nature et l'homme[1], puis en 2005 au comité stratégique de cette même fondation. Pourrait-on alimenter la France en électricité uniquement avec du solaire ? Documentation > Divers énergie > Energie - bric à brac > Pourrait-on alimenter la France en électricité uniquement avec du solaire ? Quelles surfaces mobiliser pour recourir massivement à l'énergie solaire ? avril 2000 - remanié décembre 2012 site de l'auteur : www.manicore.com - contacter l'auteur : jean-marc@manicore.com C'est "le" chiffre qui fait rêver tous ses partisans : l'énergie solaire reçue par notre bonne vieille terre en une année vaut, en chiffres ronds, 10.000 fois la quantité totale d'énergie consommée par les hommes (il s'agit ici de ce qui est reçu par le sommet de l'atmosphère, sachant que 30% environ est réfléchi par les nuages et la surface de la Terre, et donc que ce qui arrive à la surface de la planète ne vaut "que" 7000 fois ce que les hommes consomment).
« La voiture électrique n’est pas écologique ! » vraiment Depuis quelques années, les voitures électriques ne cessent de gagner en popularité dans le monde, tout particulièrement en Europe, tout en restant marginales. Si certains pays s’engagent en faveur du développement durable avec des politiques d’incitation à l’achat de véhicules électriques, une vague d’arguments s’opposant à elles a déferlé dans les médias. À juste titre ? Jour du dépassement : en sept mois, nous avons consommé toutes les ressources que la planète peut produire en un an Nous ne sommes que le 29 juillet et déjà, nous avons utilisé toutes les ressources que la Terre est capable de produire en un an. À l’échelle de la planète, nous avons pêché plus de poissons, abattu plus d’arbres et cultivé plus de terres que ce que la nature peut nous offrir au cours d'une année. Quant à nos émissions de gaz à effet de serre, elles ont été plus importantes que ce que nos océans, nos sols et nos forêts peuvent absorber.
Un Danois prépare la batterie solaire qui se recharge en 1 minute Sa batterie de voiture électrique serait infiniment plus performante que celles de la concurrence : 800 km d’autonomie chargée en 60 secondes. L’avenir de la voiture électrique, c’est la batterie solaire. Conscients que l’infériorité des batteries électriques en matière d’autonomie est ce qui retient encore les consommateurs, les constructeurs automobiles travaillent à améliorer le rendement des batteries lithium-ion. Mais peut-être vaut-il mieux repartir de zéro, comme le pense Henrik Fisker, ex-designer automobile chez Aston Martin ?
Le prix Nobel de chimie récompense trois chercheurs pour leurs travaux sur les batteries au lithium L’académie suédoise s’est amusée d’avoir battu un record, en attribuant mercredi 9 octobre son prix Nobel de chimie à l’Américain John Goodenough, né en Allemagne en 1922 : il devient son plus vieux lauréat. Mais le plus important est la nature de la contribution récompensée, la batterie lithium-ion, qui est désormais partout puisqu’elle alimente les téléphones et ordinateurs portables, les appareils photos, les baladeurs ou même les véhicules électriques… « C’est l’une des grandes avancées du siècle dernier avec le transistor ou la fibre optique », salue Jean-Marie Tarascon, professeur au Collège de France, pionnier de ce type de batteries. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Le lithium : du calme à la tempête L’invention, pour la première fois commercialisée par Sony en 1991, a été longue à mettre au point. Et le jury a récompensé trois acteurs-clés de ce développement.
Des batteries lithium-ion pour charger une voiture en 10 min C'est peu dire que l'invention de la batterie lithium-ion, dans les années 1970, fut une véritable révolution. Au point que près de 50 ans plus tard, ses créateurs ont été récompensés du prix Nobel de Chimie 2019 pour l'avoir mise au point. Présente dans les smartphones, les ordinateurs portables, les montres connectées, les consoles de jeux, les deux roues ou encore les voitures électriques, la batterie lithium a offert à nos appareils une autonomie aussi bouleversante d'un point de vue sociétal que l'invention de l'électricité. Chauffer la batterie, un paradoxe efficace
Electricité : l’imposture des « offres vertes » Article réservé aux abonnés De prime abord, en regardant le marché français de l’électricité, il y aurait de quoi se féliciter : environ 70 % des offres proposées par les fournisseurs d’électricité sont des « offres vertes ». Officiellement, elles permettent au client qui a souscrit ce type de contrat de se fournir en électricité d’origine renouvelable, produite par des barrages hydroélectriques, des éoliennes ou des panneaux solaires. Les publicités des fournisseurs sur le sujet se multiplient : « Envie de contribuer à la transition énergétique en toute simplicité ? », promet le site d’un grand groupe énergétique, quand un autre propose d’« agir pour la planète tout en faisant des économies ».