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Glass-Steagall Act

Glass-Steagall Act
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Glass-Steagall Act est le nom sous lequel est généralement connu le Banking Act de 1933 aux États-Unis par lequel sont instaurés : l'incompatibilité entre les métiers de banque de dépôt et de banque d'investissement ;le système fédéral d'assurance des dépôts bancaires ;le plafonnement des taux d'intérêt sur les dépôts bancaires (règlementation Q). Battu en brèche depuis le milieu des années 1970 et largement contourné par l'ensemble de la profession bancaire, il est finalement abrogé « sous l'administration Clinton, le » par le Financial Services Modernization Act, dit Gramm-Leach-Bliley Act, juste à temps pour permettre la fusion constitutive de Citigroup. Contexte historique[modifier | modifier le code] L'application tardive du principe de séparation des pouvoirs[modifier | modifier le code] Selon Nicolas J. La doctrine Germain[modifier | modifier le code] L'époque du relâchement[modifier | modifier le code] J.P. ↑ J.

La théorie des bulles rationnelles Le terme de bulle se réfère aux amples et durables erreurs dans l’évaluation des actifs financiers (actions, obligations, etc.) ou réels (immobilier, matières premières, or, etc.). Le prix d’un actif excède sa valeur fondamentale car les investisseurs croient qu’ils pourront revendre l’actif à un prix plus élevé à l’avenir. En de telles circonstances, la trajectoire des prix d’actifs peut alors très rapidement devenir explosive. De tels phénomènes sont d’autant plus importants pour l’analyse que les prix d’actifs affectent l’allocation réelle des ressources dans l’économie. Les déséquilibres qui mènent finalement à une crise financière peuvent être difficilement identifiables ex ante, en particulier s’ils sont consécutifs à une quelconque forme d’innovation. Dans les modèles de bulles rationnelles qui sont développés pour rendre compte de telles dynaiques, les participants au marché désirent détenir un actif surévalué car ils anticipent que la hausse de son prix se poursuive.

Démystifier la finance | Georges Ugeux Should we worry about 'unproductive' financial sector gobbling up our best? | Business Are too many of our most talented people choosing careers in finance – and, more specifically, in trading, speculating, and other allegedly unproductive activities? In the United States, 7.4% of total compensation of employees in 2012 went to people working in the finance and insurance industries. Whether or not that percentage is too high, the real issue is that the share is even higher among the most educated and accomplished people, whose activities may be economically and socially useless, if not harmful. In a survey of elite US universities, Catherine Rampell found that in 2006, just before the financial crisis, 25% of graduating seniors at Harvard, 24% at Yale, and a whopping 46% at Princeton were starting their careers in financial services. According to a study by Thomas Philippon and Ariell Reshef, much of the increase in financial activity has taken place in the more speculative fields, at the expense of traditional finance. To some people, the question is a moral one.

A propos du "Prix Nobel" de Fama Le « prix Nobel » 2013 attribué à Eugène Fama a de quoi étonner – quel que soit le bord auquel on appartient. Car, comme tous les commentateurs n’ont pas manqué de le remarquer, Fama est connu comme étant le père de l’« hypothèse des marchés efficients », alors que cette « hypothèse » n’a apporté que confusion et faux débats. Quand Fama l’a avancée pour la première fois, il s’est contenté d’une formulation vague : « un marché dans lequel les prix ‘reflètent pleinement’ et toujours l’information disponible est appelé ‘efficient’ ». L’utilisation de guillemets pour les mots clé « reflètent pleinement » a de quoi surprendre dans une définition. L’usage idéologique d’une confusion Le recours à l’expression « marchés efficients » est donc, dès le départ, une source de confusion. De la tautologie aux hypothèses jointes L’article « fondateur » de Fama de 1970 est en soi un objet fascinant. Comment le Comité Nobel évite de parler des « marchés efficients »

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