La guerre mondiale contre la démocratie Lisette Talate est décédée l’autre jour. Je me rappelle d’une fine femme à l’intelligence aiguisée qui masquait sa peine avec une détermination qui était une présence en elle-même. Elle était la personnification de la résistance des peuples à la guerre contre la démocratie. Je l’ai d’abord entr’aperçu dans un film du bureau des colonies datant des années 1950, à propos des gens des îles Chagos, une petite nation créole vivant à mi-chemin entre l’Afrique et l’Asie dans l’Océan Indien. La caméra se déplaçait dans des villages fourmillant, une église, une école, un hôpital, construits dans un endroit phénoménal de beauté naturelle et de paix. Assise dans sa cuisine de l’île Maurice plusieurs années plus tard, elle dit: “On n’avait pas besoin de me demander de sourire. Lisette, sa famille et des centaines d’insulaires furent mis de force sur un vieux bateau à vapeur rouillé à destination de l’île Maurice, distante de 4 000 km. Cet acte fut fait dans le plus grand des secrets. 1. 2. 3. 4.
Le rapport de la Ligue Arabe donne des preuves de l’implication de la CIA, du MI6 et du Mossad derrière les violences en Syrie Des extraits du rapport des observateurs de la Ligue Arabe en Syrie montrent clairement que les médias ne disent qu’une partie de l’histoire et exagèrent la violence exercée par le gouvernemnt Al-Assad et ses forces de l’ordre. Le rapport mentionne une “entité armée” qui tue des civils et des policiers et perpétue des attaques terroristes ciblant des civils innocents. Les pertes de ces attaques sont ensuite attribuées au gouvernement Al-Assad et utilisées pour construire de toute pièce un cas contre la Syrie aux Nations-Unies. D’après le rapport de la Ligue Arabe, “l’armée libre syrienne” et les “groupes d’opposition armés” sont responsables de bon nombre des meurtres commis. En Janvier, il a été rapporté que le MI6 britannique, la CIA et les forces spéciales du SAS britannique étaient en Syrie et travaillaient avec l’armée libre syrienne et le Conseil National Syrien (CNS) afin de renverser le régime du président Al-Assad. 28. 29. 75. Traduction : Résistance 71
Qui doit partir… Le président Assad ou les agents des Etats-Unis et d’Israël ?, par Akil Cheikh Hussein IRIB- Ce qui se passe, maintenant, en Syrie, cette guerre lancée par des groupes terroristes armés contre ce pays, son armée, ses populations civiles et ses infrastructures, pouvait ne pas avoir lieu. Il aurait suffi, pour le défunt Hafez el-Assad, d'agir, à la manière de ceux qui, à Camp David, à Oslo et à Wadi Araba, ont signé avec les «Israéliens» ces traités de paix, d'amitié et d'alliance, qui ont entaché de honte l'histoire récente du monde arabe. Il aurait suffi, pour l'actuel Président syrien, Bachar Al-Assad, de rompre son alliance avec l'Iran et d'agir envers la résistance au Liban, à la manière des Arabes, qui ont tourné le dos à Gaza assiégée, affamée et, systématiquement, détruite, par le bombardement israélien. Mais il n'en a pas été ainsi. Au lieu de rejoindre le processus de soumission aux Américains et aux Sionistes, le Président Hafez el-Assad a bloqué ce processus, qui était sur le point de se généraliser, partout, dans le monde arabe.
Affaire Iran-Contra Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’affaire Iran-Contra (ou Irangate, nommée ainsi en souvenir du scandale du Watergate) est un scandale politique survenu aux États-Unis dans les années 1980. L'affaire est toujours voilée de secrets et il est difficile de découvrir les faits. Plusieurs membres de l'administration Reagan ont vendu illégalement des armes à l'Iran, qui était un ennemi avoué des États-Unis, utilisant les profits pour financer secrètement, et malgré l'opposition du Congrès des États-Unis[1],[2], les Contras, un mouvement contre-révolutionnaire nicaraguayen de lutte armée regroupant les opposants au gouvernement sandiniste de Daniel Ortega. Dans le cadre de la Guerre froide, il s'agit pour l'administration Reagan de renverser un régime considéré comme communiste[3] et situé dans ce que les États-Unis considèrent comme leur zone d'influence. L'affaire[modifier | modifier le code] Prise d’otages[modifier | modifier le code] Scandale[modifier | modifier le code]
Les Syriens sont une majorité à soutenir le président Assad, mais ce n’est pas des médias occidentaux que vous pourriez l’apprendre La popularité d’Assad, les observateurs de la Ligue Arabe, l’implication militaire des États-Unis : tout est distordu par la propagande de guerre occidentale. Supposez qu’une enquête d’opinion digne de confiance constate que la plupart des Syriens sont en faveur du maintien au pouvoir de Bachar al-Assad, ne serait-ce pas une information majeure ? Tout particulièrement du fait que cette conclusion irait à l’encontre du discours dominant sur la crise syrienne, et que les médias considèrent ce qui est inattendu comme plus intéressant à rapporter que ce qui est évident ? Pas toujours, hélas. Quand la couverture d’un drame en cours cesse d’être juste et se transforme en arme de propagande, les faits gênants doivent être occultés. Il en a été ainsi pour les résultats d’un récent sondage YouGov Siraj sur la Syrie commandé par The Doha Debates, financé par la Qatar Foundation. Il en va de même pour l’intervention militaire étrangère qui a déjà commencé. Traduction par Mounadil Djazaïri
Contras Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Contras (terme espagnol signifiant « contre-révolutionnaires »), appelés aussi Résistance nationale, étaient des groupes de lutte armée opposés au gouvernement sandiniste du Nicaragua qui a succédé à la chute, après une guerre civile, du dictateur Somoza, au pouvoir depuis cinq ans. Historique[modifier | modifier le code] Initialement soutenus par la dictature argentine de Videla (entre autres car les mouvements activistes de gauche argentins participèrent à la guerre civile au Nicaragua de 1979 et à l'assassinat de l'ancien président Somoza[1]) et la CIA, les Contras utilisaient les méthodes de guérilla et opéraient des raids contre l'économie et l'administration, notamment dans le nord du Nicaragua à partir de bases arrières situées au Honduras. En , ces groupements prennent le nom de RN (Résistance nicaraguayenne)[3]. Le , le président Daniel Ortega décide la suspension du cessez-le-feu avec la Contra antisandiniste.
Faites votre plus beau sourire les français c'est aujourd'hui que vous commencez à être tous fichés ... Ce mercredi, dans une relative discrétion, l'Assemblée nationale se prépare à adopter un texte permettant de ficher la quasi totalité de la population française. Dénommé "Fichier des gens honnêtes", il contiendra les données privées de 60 millions de personnes. Un tel fichier a déjà existé dans l'histoire. En 1940. Il a été détruit à la Libération en raison des risques majeurs qu'il représentait pour les libertés publiques. L’Assemblée nationale devrait adopter ce 1er février 2012 à 14h45, le texte sur le fichage des empreintes digitales et des photographies numérisées de 60 millions de “gens honnêtes“, pour reprendre l’expression du rapporteur (UMP) de la loi au Sénat, François Pillet, qui avait qualifié la proposition de “véritable bombe à retardement“. Le nombre de faux a chuté de 24% L’ONDRP ne dispose pas du chiffre total des fausses cartes d’identité saisies par l’ensemble des services de police et de gendarmerie.
Les pays de l'ALBA dénoncent à leur tour l'ingérence des « Contras » en Syrie Dans un communiqué publié en marge du XIème sommet de l’organisation, les 9 États membres de l’ALBA (Alliance Bolivarienne pour les peuples de notre Amérique) ont rejeté ce dimanche la « politique systématique d’ingérence et de déstabilisation » qui cherche à « imposer par la force un changement de régime au peuple syrien ». La résolution des membre de l’ALBA condamne « les actes de violence armée que des groupes paramilitaires appuyés par des puissances étrangères on lancés contre le peuple syrien ». Les chefs des États membres de l’organisation d’intégration latino-américaine ont manifesté leur soutien à la « politique de réforme nationale initiée par le Gouvernement du président Bashar al-Assad, qui cherche à trouver une solution politique à la crise actuelle », « dans le respect de la souveraineté du peuple syrien et de l’intégrité territoriale de la Syrie ».
La guerre mondiale contre la démocratie Lisette Talate est décédée l’autre jour. Je me rappelle d’une fine femme à l’intelligence aiguisée qui masquait sa peine avec une détermination qui était une présence en elle-même. Elle était la personnification de la résistance des peuples à la guerre contre la démocratie. Je l’ai d’abord entr’aperçu dans un film du bureau des colonies datant des années 1950, à propos des gens des îles Chagos, une petite nation créole vivant à mi-chemin entre l’Afrique et l’Asie dans l’Océan Indien. La caméra se déplaçait dans des villages fourmillant, une église, une école, un hôpital, construits dans un endroit phénoménal de beauté naturelle et de paix. Assise dans sa cuisine de l’île Maurice plusieurs années plus tard, elle dit: “On n’avait pas besoin de me demander de sourire. Lisette, sa famille et des centaines d’insulaires furent mis de force sur un vieux bateau à vapeur rouillé à destination de l’île Maurice, distante de 4 000 km. Cet acte fut fait dans le plus grand des secrets. 1. 2. 3. 4.
« Contras » et « compas », une même amertume, par Raphaëlle Bail Héros national de la lutte anti-impérialiste des années 1920, Augusto Cesar Sandino les appelait les « frontières oubliées du Nicaragua ». Quatre-vingts ans après, les régions du nord se consolent de leur isolement en occupant une place essentielle dans l’imaginaire collectif du pays : elles furent, dans les années 1980, le théâtre des combats les plus acharnés entre l’Armée populaire sandiniste (EPS) et la Résistance nationale, dernière appellation des contre-révolutionnaires, plus connus sous le nom de contras. Témoins de luttes fratricides, las montañas, zone montagneuse pelée aux forêts mutilées par les coupes sauvages et au sol noirci par les brûlis, abritent désormais des démobilisés des deux camps. Le conflit a surgi dans cette région peu après la chute du dictateur Anastasio Somoza et la prise du pouvoir par le Front sandiniste de libération nationale (FSLN), en 1979. Taille de l’article complet : 2 228 mots. Vous êtes abonné(e) ? Vous n'êtes pas abonné(e) ? Accès sans abonnement
Le capitalisme en crise a besoin d’un conflit militaire majeur Pour Jean-Loup Izambert, journaliste indépendant et écrivain, qui publie son septième ouvrage (1) sous le titre de Pourquoi la crise ? aux éditions Amalthée, la crise du capitalisme est devenue totale. Contrairement aux déclarations de certains économistes et politiciens, il affirme qu’il n’y aura pas de sortie de crise. Pour l’auteur de la seule investigation journalistique sur les origines de la crise(2), le système capitaliste ne peut survivre que par la guerre. Geostrategie : Vous démontrez dans votre livre Pourquoi la crise ? Jean-Loup Izambert : C’est évident. Geostrategie : Quels faits caractérisent aujourd’hui cette concentration des richesses ? J-L.I. : Aujourd’hui 200 sociétés transnationales contrôlent plus de 23% du commerce mondial et 1% des plus riches détient plus de 57% des richesses produites. Les dirigeants bourgeois organisent le déficit des nations Geostrategie : Comment le pouvoir politique favorise-t-il ces grands propriétaires privés de l’économie ?
Armes made in Israel pour les Contras syriens de l’Oncle Sam ? Le fait mérite d’être noté :jusqu’à une date récente, l’État hébreu ne s’était guère fait remarquer sur le volet syrien de ce que nos media ont – un peu abusivement, il est vrai – appelé les « révolutions arabes ». La (relative) prudence hiérosolymitaine n’était pas infondée. Les Israéliens estimant notamment le comportement de Washington sur le sujet comme essentiellement « ostentatoire ». Le veto russe a, semble-t-il, passablement durci la position israélienne. Le Premier ministre Binyamin Nétanyahu haussant le ton. Tout comme d’autres personnalités hiérosolymitaines. Au bout du compte, Tel-Aviv reste beaucoup plus prudent que bien des Européens jouant les Rodomonte. Simple vœu pieux ? Interrogé, lui aussi, sur le dossier syrien, le député Yitzhak Herzog a reconnu avoir des « contacts avec l’opposition syrienne », notamment des éléments appartenant au pro-américain CNS. Est-ce tout ? Qu’est-ce qui me permet d’être aussi formel ? Tsahal n’en gardât pas moins ses FAL. Notes Partager !
Vérité et Guerre, les oubliés des partis politiques. Les media ignorent la vérité ou la déforment tandis que les Etats-Unis – de plus en plus impérialistes, et suivis par la Grande Bretagne – poursuivent leurs visées expansionnistes. La saison 2008 des conférences en Grande Bretagne passera dans l’histoire comme celle du Grand Silence. Les politiciens sont venus puis sont repartis et ont prononcé des mots devant de grands portraits où on les voyait en train de saluer de la main. L’élite se complait dans une autocélébration à laquelle sont invités tous ceux qui, du Parti Travailliste au Conservateur, ont offert un « standing ovation » au criminel de guerre lors de sa dernière journée devant le Parlement et qui n’ont toujours pas voté, encore moins condamné, le rôle joué par la Grande Bretagne dans la destruction humaine, sociale et physique de toute une nation. Suivre les Etats-Unis Comprendre le silence est essentiel dans une société où l’information n’est plus qu’une cacophonie. La Guerre contre le Monde