IDFA DocLab 2009
Webdoc, L'arborescence et les questions de scenarisation
Le webdoc tisse sa toile
La révolution sémantique sur Internet continue : voici maintenant le webdoc. Sous ce néologisme se cache un documentaire diffusé sur la Toile et travaillé avec ses outils spécifiques : interactivité et multimédia. Une révolution journalistique, sans doute aussi, mise en lumière par la 3e édition du Festival européen des 4 écrans (lire ci-contre). "Les journalistes et les photographes de presse ont pris le numérique de plein fouet et ont été les premiers à s'emparer du Web", explique Alexandre Brachet, fondateur de l'agence Upian et pionnier en la matière. Du coup, les formes d'écriture évoluent pour coller aux comportements de ces nouveaux "lecteurs". Les chaînes de télévision et les sociétés de production traditionnelles ont pris le train en marche. Cette coproduction Upian et Arte.tv a eu un budget digne d'un documentaire classique - un peu plus de 200 000 euros - et bénéficie d'une aide du Centre national de la cinématographie (CNC) de 95 000 euros.
De l'écriture, de la conception et de la réalisation d'un webdocumentaire, part. 1
Retrouvez Olivier Crou sur Le Quichotte du Web.fr Il me semblait intéressant de vous faire part ici de mes réflexions suite à ma première expérience de fabrication d’un webdocumentaire. Cet article, en trois parties (la suite sera publiée très prochainement), ne se veut pas une recette pour concevoir un webdocumentaire mais il vous donne quelques balises, quelques repères qui nous ont aidés à cadrer notre travail. Point de vue, un autre regard sur l’accessibilité Web (1), fut pour nous (Patrick Samacher et moi-même), l’occasion d’être confrontés à l’écriture, à la conception et à la réalisation d’un webdocumentaire, de réfléchir sur le fond, la forme, et les fonctionnalités. Avant propos Le (web)documentaire, le (web)reportage, une affaire de morale Nous l’avons vu, le webdocumentaire est l’affirmation du point de vue d’un auteur. Le webdocumentaire, comme le cinéma en général et comme le documentaire en particulier, est une affaire éminemment morale. L’écriture du projet © Ciné Tamaris
De la supériorité de l’écrit sur le web « [ Blok Not ] _.oO Kro
Les chercheurs d’information, les infoboulimiques et de manière générale tous ceux qui de près ou de loin sont attirés par le savoir, la réflexion et la matière grise ont probablement été confrontés au problème de l’"absorption". Comment faire pour trouver, traiter, assimiler et classer l’information ? Idéalement, grâce à l’écrit, qui permet d’indexer, de chercher, mais aussi de s’informer et de choisir quand, comment et à quelle vitesse le faire. Quand il ne s’agit pas d’un exercice de style particulier ou d’art, l’écrit vaut mieux que la vidéo et que l’audio sur le web, voire peut-être partout. Pendant longtemps, l’avantage de l’écrit fut double : la mobilité et l’atemporalité. Le web a permis de voir la naissance du podcast. Alors en quoi l’écrit l’emporte-t-il encore ? Premier point de supériorité évident : la recherche. En effet, un texte écrit est déjà… écrit. Like this: J'aime chargement…
Réalisez un travail ambitieux transdisciplinaire et transmédia de l’école au secondaire |
Voilà un outil simple Klynt que vous pouvez utiliser en version gratuite pour un projet uniquement et pendant 14 jours du primaire au secondaire, vous avez la possibilité de suivre un Webinar en ligne pour avoir de l'aide, d'autres outils pour créer un Webdocumentaire dans des précédents billets 3WDOC, Djéhouti permettent aujourd’hui à des utilisateurs n’ayant pas de compétences informatiques de réaliser eux même leur webdocumentaire. Le principe de fonctionnement de Klynt : Découvrez le storyboard de Klynt Les bases de la médiathèque Editer vos vidéos Editer les fichiers audios Ajouter et éditer des liens Ajouter un menu Index et une Carte Synchroniser une séquence avec une vidéo Le site Web : Des tutoriels en français : Utilisation pédagogique : La création d’un webdocumentaire est un projet innovant et ambitieux. Il permet de faire un travail transdisciplinaire et transmédia. Aucun trackback pour l'instant
Nouvelles technologies - Le documentaire est en mutation | Le De
Les qualificatifs ne manquent pas lorsque vient le temps de décrire la route à prendre pour l'industrie du documentaire: nébuleuse, floue, jalonnée de sables mouvants, etc. L'incertitude semble être la seule certitude. Bousculés par de nouvelles technologies qui imposent une redéfinition des paramètres de production et de distribution des oeuvres, les artisans tentent de s'adapter et d'évoluer, le plus souvent à tâtons, mais toujours avec conviction. «Après quinze ans de production, l'industrie du documentaire arrive à la fin d'un cycle, celui de la télévision. La démocratisation d'Internet et des technologies de communication a ainsi contribué à l'avènement d'une classe d'auditeurs dotés d'attentes et de besoins différents, mais aussi à l'émergence de créateurs désireux d'exploiter les possibilités offertes par ces nouveaux médias d'échange. Documentaire participatif Car rien n'est encore définitif, de l'aveu d'Hugues Sweeney: «Nous sommes en phase exploratoire. Collaborateur du Devoir
La différence entre (Web)documentaire et (Web)reportage
Olivier Crou, notre blogueur En ce début d’année, le webdocumentaire est bien au coeur des préoccupations des grands médias, et l’offre s’enrichit chaque jour. Pour essayer de cerner la différence entre webdocumentaire et webreportage, il nous faut revenir au cinéma documentaire traditionnel. Dans les prochains articles, je tenterai d’analyser ce que peut le webdocumentaire par rapport au documentaire à la narration linéaire. Entre reportage et documentaire, une différence d’enjeu Dans le reportage, la problématique est posée avec des interrogations du genre : * comment ça marche ? L’ enjeu d’un reportage est donc d’expliquer un fonctionnement. Pour le documentaire, l’enjeu est davantage d’expliquer les mécanismes qui font qu’on en est arrivé là. * qu’est-ce qui fait que…? Le questionnement est plus complexe dans le cas d’un documentaire et devra également passer par des « chaînes de production » qui elles-mêmes sont faites de mini-reportages. * les intentions de l’auteur, le synopsis Notes
Les quotidiens US redécouvrent la photo sur le web
Alors que la photographie est plutôt sous-utilisée dans les quotidiens, les voici qui redécouvrent son impact et sa richesse d’expression dans leurs sites web. De nombreux quotidiens américains viennent de passer leurs galeries photo en grand format. En tête de la tendance, le New York Times a conçu un bel écrin pour ses diaporamas — des vrais, avec bande son sur les images. Un écran s’ouvre, soit au format du navigateur, soit en plein écran, et les photos défilent sur fond noir dégagé de gimmicks graphiques. Voir par exemple la natation aux JO ou la campagne d’Obama, deux diaporamas dans ce nouveau format. Tout en restant dans le format classique du blog, les photos s’élargissent aussi sur le site du Wall Street Journal, pourtant pas réputé pour son usage de la photographie. Grand format également pour le Boston Globe, qui va jusqu’à 990 pixels dans sa section bien nommée « The Big Picture« . [via Photo District News]