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Against Transparency

Against Transparency
Against Transparency In 2006, the Sunlight Foundation launched a campaign to get members of Congress to post their daily calendars on the Internet. "The Punch-Clock Campaign" collected pledges from ninety-two candidates for Congress, and one of them was elected. I remember when the project was described to me by one of its developers. She assumed that I would be struck by its brilliance. I was not. In any case, the momentum was on her side. And not just in politics. How could anyone be against transparency? The naked transparency movement marries the power of network technology to the radical decline in the cost of collecting, storing, and distributing data. Without a doubt, the vast majority of these transparency projects make sense. But that is not the whole transparency story. With respect to data about campaign contributions, the history of transparency is long. The hope of the naked transparency movement is to change this. This is a crude but powerful beginning. But then, so what?

Open Data Academic Research Session Description The Open Data research session will focus on the impact of Open Data research within the academic community. The session will bring together the latest research concerning Open Data and Open Government Data, forming an interdisciplinary mix of presentations and questions. Session Host Ramine Tinati , University of Southampton, United Kingdom, @raminetinati, rt506 (at) ecs.soton.ac.uk Tim Davies , University of Southampton, United Kingdom,@timdavies, tim.davies@soton.ac.uk Leo Lahti, Wageningen University, Netherlands, @antagomir, leo.lahti@iki.fi Contributors For the full program click here: OKFest – Academic Track Programme Details Location: Aalto PRO Date & Time: Thur 20, 16:00 – 17:30 Target Group: Open data researchers Topic Stream: Open Research and Education Pinterest

Vers un data.gov français bien encadré L'ARCEP remet son rapport sur la neutralité de l'internet au Parlement et au Gouvernement L'ARCEP remet son rapport sur la neutralité de l'internet au Parlement et au Gouvernement Paris, le 20 septembre 2012 Le Parlement, par la loi du 22 mars 2011, a demandé à l'ARCEP de faire le point sur la neutralité de l'internet. L'Autorité y procède à une analyse des enjeux techniques et économiques, décrit les compétences dont elle dispose et précise les travaux qu'elle met en œuvre pour veiller au respect de la neutralité de l'internet. Internet est un bien collectif auquel les citoyens, les acteurs économiques et les acteurs publics sont très attachés. Dès septembre 2010, l'Autorité a publié dix propositions visant à définir un équilibre pérenne, neutre et de qualité pour le fonctionnement de l'internet, assorti d'outils destinés à veiller au respect de cet équilibre et à le garantir si nécessaire. La concurrence et la transparence ne sont toutefois pas toujours suffisantes.

“Avec Internet, Mitterrand n’aurait pas tenu six mois…” | Le Blo Un intéressant article des Échos (signé Cécile Cornudet) résume les difficultés auxquelles se trouvent confronté Nicolas Sarkozy, notamment à cause de la multiplication des scandales, petits et gros. Où il apparaît qu’internet énerve beaucoup l’entourage du Président… Bien sûr, tout n’est pas comparable. Rien à voir entre les appartements de Christian Estrosi ou de Fadela Amara, le permis de construire d’Alain Joyandet, les cigares de Christian Blanc, la mission de Christine Boutin ou la mise en cause d’Eric Woerth et de son épouse, dans l’affaire Bettencourt. Et je parle même pas des suites possibles des révélations sur l’attentat de Karachi… Mais cette multiplication d’affaires, de polémiques, de scandales, plus ou moins graves, créent un “climat”. Et, au sommet de l’État, on cherche comment sortir de cette “seringue”. L’Elysée, qui le sait, voudrait donc riposter, apprend-on, légèrement amusé, sur le registre de la défense de la “République irréprochable”. C’est pas gagné… Pardon…

Documentation Opendata France Le mouvement opendata en france Flux RSS Documentation Vous trouverez dans ce repertoire public plus de 150 études réparties par thématique… (curation LiberTIC, Claire Gallon). Documents de veille, MAJ 2012 (il n’est pas indispensable d’avoir de compte dropbox pour pouvoir les lire et les télécharger) ________Etudes________ Cambridge study on PSI.pdf catalonia_impact_study_report.pdf CUPI.pdf datagov london article on economics.pdf economics UE .pdf economics value of Geospatialinfo UK.pdf Engagegov20 PSI value cultural institutions.pdf etude-impact-socio-economique_catalogne.pdf economics_of_psi-pollock.pdf GeoBusiness_Short.pdf How-is-open-government-data-being-used-in-practice.pdf Informe Pira- economics-commercial_final_report.pdf L’opendata .pdf mepsir EU study value data 23 mar.pdf OCDE opengov beyond static measure.pdf open-data-study-hogge.pdf ________BenchMark_________ actualite-des-donnees-publiques-premier-quadrimestre-2001.pdf B Hogge – open data study – may 2010.pdf Open%20Data.pdf

« Créer un sanctuaire du journalisme en Islande » Envoyée spéciale à Reykjavik Faire de l’Islande un paradis du journalisme, par l’adoption d’un arsenal juridique qui encourage l’investigation - en renforçant la protection des sources, en limitant le devoir de réserve des fonctionnaires, en donnant la priorité au principe de la liberté d’expression, en compliquant les procédures, entre autres. C’est le projet qu’a animé et défendu Birgitta Jónsdóttir, 43 ans, députée depuis avril 2009 sous la bannière du tout nouveau parti Movement (citoyen, sans étiquette). Une loi dans ce sens, intitulée Islandic Modern Media Initiativ e (IMMI), a été adoptée le 15 juin par le Parlement islandais. Comment est née l’idée d’un sanctuaire du journalisme ? L’IMMI fait partie d’un projet global : l’avènement d’une société plus démocratique. On vous dit proche de WikiLeaks . Oui, je suis devenue proche de WikiLeaks , et j’ai effectivement participé à l’editing de ce document. L’IMMI sonne aussi comme un désaveu de la presse islandaise…

Fin de l’Internet illimité : ça se précise chez Orange Préparez-vous (un peu plus) à oublier l’Internet illimité à la maison. Selon La Lettre A du 12 octobre, Orange « prépare activement des offres de débits différenciés ». Derrière ce jargon vaguement technique se cache un changement fondamental : Orange veut proposer des offres internet différentes selon l’utilisation qui en est fait. Payer pour faire ce que vous voulez « Vers l’infini et au-delà » : Buzz l’éclair, « Toy Story », de John Lasseter, Pixar, 1996 Concrètement, cela pourra prendre la forme de formules d’abonnements internet « à tiroir » : un forfait peu cher pour l’accès aux moteurs de recherche et à Facebook. On est, en un mot, un peu plus proche de la fin de l’Internet illimité tel qu’on le connaît depuis une dizaine d’années. A l’époque, le porte-parole d’Orange avait confirmé travailler sur « des seuils » sur « certains forfaits ». Une dose de surveillance Justement. La Cnil est dans la boucle Mise à jour du 11/10/2012, 18h40. Réaction d’Orange Mise à jour du 11/10/2012, 19h10.

Global Voices en Français » Global Voices lance le réseau “Te Les nouvelles technologies d’information et de communication ont donné aux autorités une capacité sans précédent de surveiller nos communications, notre activité en ligne, et même les micros de nos téléphones portables. Mais Internet donne également aux citoyens de nouveaux outils et des moyens techniques pour mettre les élus face à leurs responsabilités, améliorer la transparence des gouvernements, et de promouvoir un engagement citoyen plus large et plus diversifié. Rising Voices , l’initiative de formation aux nouveaux médias mise en place par Global Voices Online, a lancé un nouveau site interactif et un réseau de chercheurs qui cartographient les projets en ligne visant à promouvoir la transparence, la responsabilité politique, et l’engagement citoyen en Amérique latine, en Afrique sub-saharienne, Asie du Sud-est, Asie du Sud, en Chine, et en Europe Centrale et Orientale. Le besoin L'équipe Les résultats

Open Humanities Hack, 21st-22nd November Where?: Guys Campus, Hodgkin Building, London, SE1 1UL When?: 21st-22md November Sign up: Please fill in the sign-up form Humanities Hack is the first Digital Humanities hack organised jointly by the Kings College London Department of Digital Humanities, DARIAH, the Digitised Manuscripts to Europeana (DM2E) project and our Open Humanities Working Group. The London event is the first of a series of hack days organised for Digital Humanists and intended to target research-driven experimentation with existing Humanities data sets. We are providing a few open humanities data sets but we welcome any addition. Possible themes include but are not limited to Research in textual annotation has been a particular strength of Digital Humanities. With this hack day we seek to from groups of computing and humanities researchers that will work together to come up with small-scale prototypes that showcase new and novel ways of working with Humanities data.

Communication comparée : relance.gouv.fr (FR) et recovery Passant tranquillement devant un arrêt de bus, je tombe sur une publicité m'encourageant, en bon citoyen français, à me rendre sur relance.gouv.fr pour en "savoir plus" sur la relance qui est actuellement en œuvre en France. Peut-être avez-vous, vous aussi, vu cette publicité? Perso, je m'attendais à trouver un site avec plein d'infos, plein de moyens de "sentir" la relance, et pourquoi pas m'impliquer près de chez moi? Voici ce que j'ai découvert en tout cas: - Assez excité par l'introduction du ministre chargé de la mise en oeuvre du plan de relance, je cite: "Ce site est le vôtre. - Je tombe donc sur le site web avec un player tv qui renvoie vers relance.tv: je click un peu sceptique, car la télé n'a jamais été un moyen très interactif d'information, mais bon : du coup, j'ai droit à un clip d'intro sur le projet du TGV est (hum, mais on n'avait pas déjà décidé de lancer ce projet à l'époque où la France n'était pas en crise? Pourquoi être aussi critique?

Collectivités et open data : convaincre les administrations et sortez la donnée ! La Mairie d'Issy-les-Moulineaux a accueilli vendredi 5 octobre un colloque sur l'open data dans les collectivités territoriales sobrement intitulé "Open data : par où commencer ?". La journée s'est organisée autour de trois tables rondes : un retour d'expériences des projets open data dans plusieurs villes européennes, un débat autour des voies et moyens d'utilisation de ces données, et un dernier échange autour des opportunités de développement des applications utiles grâce à l'open data. Résumé et digressions autour des idées les plus intéressantes de la journée. Un petit mot d'abord sur le contexte de ce colloque. Il s'inscrit dans le cadre du projet européen Citadel On The Move piloté par l'agence de coordination des projets d'administration électronique de la région flamande, en Belgique (CORVE). L'un des premiers objectifs de Citadel est donc de favoriser le retour d'expériences entre les parties prenantes au mouvement open data, à commencer par les collectivités elles-mêmes.

Les dangers de l'ivresse ideologique Dans un essai publié vendredi dernier, Lawrence Lessig, prend ses distances avec le mouvement pour la Transparence et le Gouvernement 2.0, tel qu'il semble prendre le chemin, aujourd'hui.« Like the decision to go to war in Iraq, transparency has become an unquestionable bipartisan value. »« Comme la décision de faire la guerre à l'Irak, la Transparence est devenue une valeur bipartite qui ne supporte pas la contestation. »De la part d'un juriste, les termes employés ne sont jamais innocents, et signale de la part de l'administration, du corps politique, ainsi que des associations de soutien à ce mouvement telles que la Sunlight Foundation, un aveuglement dangereux.

Open Knowledge Festival 2012 : l’ouverture à toutes les sauces | Les coulisses de l'open data Pour inaugurer ce blog qui sera mon carnet de recherche tout au long des trois ans de ma thèse, je reviens sur l’Open Knowledge Festival (OKFest) qui se tenait du 17 au 22 septembre à Helsinki. Le choix de la Finlande par l’Open Knowledge Foundation n’est pas anodin : comme beaucoup de pays nordiques (les Finlandais ne sont pas scandinaves), la Finlande se distingue par une culture de l’ouverture qui fait qu’un tel événement coïncide bien avec la culture du pays. Les organisateurs ont pu bloquer pendant une semaine l’impressionnante école du design de l’université Aalto qui s’est avérée être le lieu idéal pour un tel événement : immenses studios de cinéma pour le hackspace, un Fab Lab dans l’université et des dizaines de salles de conférence. Avec cette logistique, l’Open Knowledge Foundation a pu voir grand : le programme s’étale sur pas moins de 13 sujets qui se sont déclinés toute la semaine. Les "makers" à l’honneur Les sciences humaines se penchent sur l’open data et son impact

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