4 trucs infaillibles pour se pourrir les relations Sylvaine Pascual – Publié dans Compétences relationnelles Pourquoi ce billet, alors qu’en regardant autour de moi, je constate chaque jour combien nous entretenons déjà et sans beaucoup d’efforts, des relations boiteuses, lourdingues, insatisfaisantes? Parce que je trouve que tout cela manque de grandeur. Nos conflits, tensions et agacements restent en demi-teinte et nous parvenons encore à sauver les apparences d’une meute qui se supporte, bon an mal an, vaille que vaille. Du coup, je vous livre les 4 secrets des relations tellement pourries qu’elles justifieront totalement cette envie que vous refoulez depuis trop longtemps de devenir Carmélite, de pouvoir enfin vous retirer du monde et vivre à l’abri des abrutis, des casse-pieds, des pisse-vinaigre, des envahisseurs, des profiteurs, de votre belle-mère et de Mémé Huguette. Les pièges à éviter: trop vous observer interagir pourrait mettre un terme à l’aveuglement qui constitue ce petit arrangement avec votre égo. Voir aussi
Article : déjouer les pièges de la communication Au sein d’un groupe ou de relations inter-personnelles, une communication floue peut générer des dysfonctionnements et des problèmes relationnels. Apprenez à maîtriser sur le bout des doigts les questions simples qui dissipent les malentendus, aidez vos interlocuteurs à préciser leur propos et remotivez toute la troupe ! Cliquez sur l'image pour l'agrandir Mémorisez ce schéma et découvrez en détail dans les pages suivantes les flous de communication les plus courants et quelles questions poser pour les dissiper. Le modèle de précision : les questions qui améliorent la communication. Vous échangez à plusieurs sur un projet commun et, c’est bien normal, tout le monde n’est pas du même avis. Découvrez les 5 types de questions du modèle de précision.
Aider sans sauver (codépendance, dépendance, sauvetage) Les sauveteurs potentiels Plusieurs personnes ont choisi de travailler dans les secteurs de la santé et des services sociaux, motivées par le désir d'aider. Elles ont généralement une conscience sociale plus développée et sont sensibles aux difficultés vécues par leur entourage. La compassion qu'elles ressentent guide une attitude authentique et leur permet d'accorder leur aide en toute connaissance de cause. Cependant, l'aidant doit se protéger des missions de sauvetage ou de l'investissement total en autrui qui sont désastreuses pour lui-même et les personnes qu'il souhaite aider. D'après Melody Beattie, thérapeute auprès d'alcooliques et de toxicomanes, les attitudes du sauveteur se retrouvent beaucoup chez les conjoints d'alcooliques. Le triangle de Karpman Les observations de Stephen B. La dynamique C 'est souvent de la pitié, de la culpabilité ou simplement l'anxiété qui mettent le sauveteur en action. Le persécuteur et la victime Se libérer du sauvetage Bibliographie Schuller, R. Note
Du triangle de Karpman à l’équilibre relationnel: la triplette prosociale Il semble que la toxicité des relations professionnelles soit directement proportionnelle aux difficultés rencontrées par l’ensemble des salariés, managers et collaborateurs dans un même bateau qui prend, en ces temps difficiles, une eau fangeuse un peu trop vite étiquetée « crise ». Parce que c’est un enjeu collaboratif de taille, voici une triplette prosociale pour rouler de concert vers un minimum d’élégance relationnelle. Pris entre des assortiments glauques de marteaux et d’enclumes en tous genres, qui génèrent de nombreuses peurs, managers et collaborateurs ont vite recours aux rôles relationnels, refuge facile et ordinaire lorsque nous ne savons plus comment obtenir ce dont nous avons besoin. Nous sommes alors gouvernés par des craintes inébranlables qui ont vite fait de se transformer en croyances limitantes exprimées dans toute la palette trop-bon-trop-con: Triangle de Karpman Chassez le naturel, il revient au galop? La vulnérabilitéL’affirmation de soiLa bienveillance empathique
Article : sortir du triangle infernal « Les victimes d'hier sont les bourreaux de demain. » Victor Schoelcher (Homme politique antillais) Parmi les jeux de pouvoir les plus présents en entreprise, le plus courant est le triangle dramatique. Le triangle dramatique mis en exergue en 1968 par le Dr. L’objet de cet article est d’analyser la problématique du triangle dramatique dans le contexte de l’entreprise et notamment de répondre à trois questions-clés : Comment le détecter ? Qu’est-ce que le triangle dramatique ? Le triangle dramatique illustre schématiquement un jeu de pouvoir impliquant trois rôles différents mais intimement liés : · Persécuteur (ou Bourreau) : il s’agit du rôle de l’agresseur, de l’attaquant. · Victime : il s’agit du rôle de la personne qui subit l’agression du persécuteur. · Sauveur : il s’agit du rôle du protecteur, du chevalier blanc. Voici quelques exemples de situations d’entreprise susceptibles de refléter un triangle dramatique : - supérieur hiérarchique, moi et responsable RH, Comment le détecter ?
Journal d'un coach: Triangle dramatique et triangle du gagnant Rubrique : posture et outils du coach Le triangle dramatique de Karpman est sans doute un des concepts d’analyse transactionnelle les plus connus et les plus utilisés dans le monde du travail. Dans ce concept, Karpman met en évidence que dans toutes les tragédies (sans doute également dans tous les comptes de fée), les acteurs se répartissent trois rôles principaux, qui vont permettre tous les renversements dramatiques (changements émotionnels) : le rôle de Persécuteur, le rôle de Victime, le rôle de Sauveteur. 3 rôles du triangle dramatique C’est cette existence même de trois rôles possible qui rend le théâtre (et les films de Zorro) si passionnants. - la Victime (V) se laisse faire, voire offre la possibilité au Persécuteur d’entrer en scène par ses propres comportements. Dans les pièces théâtrales (et les contes de fée), les rôles changent : le Persécuteur devient Victime, la Victime Sauveteur, le Sauveteur Persécuteur etc. Le triangle du gagnant Les rôles dans le triangle du gagnant
Article : 5 façons de gérer sa colère au travail La colère a mauvaise réputation parce qu'elle est associée à la violence. Or c'est une fonction vitale qui permet de déplacer l'obstacle, de le contourner ou de le fuir. En entreprise, la saine colère aide à se faire respecter. Et pour y parvenir, il faut maitriser cette colère néfaste qui ravage tout. 1. La situation : Votre collègue vous interrompt pour vous annoncer le report en fin de journée d'une réunion sur le projet Z, capitale pour vos travaux. >>> Le conseil: se recentrer sur soiVous êtes hors de vous ? 2. La situation : " Les DRH ne sont jamais très clairs, c'est bien connu ! >>> Le conseil: adopter les 4P Cette technique en quatre étapes permet de prendre du recul.1/ Présenter les faits : "je ne suis pas à l'aise avec votre discours." 2/ Partager les émotions : " J'en suis contrarié " .3/ Proposer des solutions :" j'ai besoin de cohérence et d'explications ". 4/ Produire du futur. 3. >>> Le conseil: amortir le chocAdoptez la technique de l'édredon, très efficace. 4. 5.
8 processus de communication pour éviter d'entrer dans le triangle dramatique (victime, persécuteur, sauveteur) Présentation du triangle dramatique Dans son livre Sortir du triangle dramatique, Bernard Raquin explique en quoi consiste le triangle dramatique de Karpman. Le triangle dramatique est un jeu psychologique, c’est-à-dire un scénario pratiqué inconsciemment et qui peut se répéter tout au long de la vie s’il n’est pas conscientisé. Le jeu psychologique est un système de comportements si codifiés et habituels qu’ils en paraissent naturels. Dans un échange/ une relation, si un des protagonistes opte pour un des rôles du triangle dramatique, les réactions se déclenchent automatiquement. Les partenaires se manipulent eux-mêmes et l’un l’autre. Ce jeu psychologique nous offre le choix entre trois positions inconfortables, limitantes et douloureuses que nous pouvons endosser à tour de rôle : être une victime La victime se sent impuissante et irresponsable et espère que quelqu’un soulagera son malaise interne. être un persécuteur (une persécutrice) être un sauveteur (une sauveteuse) Je m’engage à :
Dossier : principes généraux de la communication interpersonnelle Accueil » Ressources et Outils » infoRH » Un milieu de travail convivial » Communications interpersonnelles Communications interpersonnelles Quand vient le temps d'interagir avec un collègue de travail - que ce soit à une réunion du personnel, dans le cadre de directives pour l'accomplissement d'une tâche, à l'occasion d'une séance de remue-méninges ou lors d'une évaluation du rendement, etc. -, la communication joue un rôle crucial et peut faire en sorte que l'interaction soit utile ou au contraire source de frustration. Une «piètre communication» est très souvent invoquée parmi les problèmes rencontrés au travail, mais qu'est-ce au juste qu'une «bonne communication»? Communiquer de manière efficace - en d'autres mots, être bien compris et bien comprendre les autres - est un ensemble d'habiletés que l'on peut apprendre et pratiquer. Conceptions erronées qu'on retrouve fréquemment au sujet de la communication Si je le dis, l'autre personne comprendra. Plus on communique, mieux c'est.
Les relations difficiles: le triangle de Karpman Nos relations s’expriment parfois comme une sorte de série B sinistre et même violente où, en fonction des circonstances et des interlocuteurs, chaque protagoniste adopte inconsciemment un rôle dramatisé à souhait. Ces rôles relationnels, théorisés par Karpman dans les années soixante, se retrouvent curieusement schématisés dans les… dessins animés: le Persécuteur, la Victime et le Sauveur. Nous avons souvent un rôle dominant, mais passons aussi de l’un à l’autre, parfois très rapidement, au cours d’une seule conversation. Ces rôles bloquent l’évolution de la relation, aucun n’est meilleur ou pire qu’un autre, et ils se nourrissent d’un mélange de peur et de manque d’estime ou de confiance en soi. D’apprendre à repérer le rôle que nous jouons car cela nous permet d’en sortir, tout simplement, afin de prendre sa vraie place dans la relation.D’apprendre à repérer le fonctionnement habituel de nos interlocuteurs afin d’éviter de rentrer dans leur jeu. 1- Le Persecuteur: Cruella nous voilà
Article : trucs pour le bien-être relationnel Sylvaine Pascual – Publié dans Compétences relationnelles Je tiens cette expression Ô combien imagée, et dont les déploiement possibles me font irrésistiblement penser à une sémantique toute Frédéric-Dardienne, de Sandrine, croisée lors d’un Twitpéro à La Défense. Sandrine est directrice de La source humaine, recruteuse sourcière qui, selon ses propres termes, “défriche le sol québécois depuis plus de 15 ans pour y faire jaillir sa ressource la plus précieuse : les gens. Et je vous propose de la garder bien en tête quant à nos relations. Mettre en place un système de protection pour se préserver nos rondeurs délicates d’éventuelles relations pourries ne peut en garantir l’absence totale, mais c’est un bon moyen: De minimiser leur fréquence et leur ampleurDe repérer celles qui ne demandent qu’à dégénérer avant qu’il ne soit trop tard (et donc d’agir)De diminuer ses propres chances d’être à l’origine d’un fiasco relationnel majeur qui risque de laisser des traces. Alors, cher lecteur, PTF!
Le Triangle Dramatique - La Paix dans la Tempête Le triangle dramatique illustre schématiquement un jeu de pouvoir impliquant trois rôles différents mais intimement liés : - Un Persécuteur (ou Bourreau) : il s’agit du rôle de l’agresseur, de l’attaquant. Le persécuteur peut être une personne, un événement, une situation donnée. - Une Victime : il s’agit du rôle de la personne qui subit l’agression du persécuteur. - Un Sauveur : il s’agit du rôle du protecteur, du chevalier blanc. Les trois rôles n'impliquent pas forcément trois intervenants. II. Tout jeu de pouvoir génère un malaise. III. Le meilleur moyen d’éviter d’être pris dans un triangle dramatique est de veiller à ne pas soi-même endosser spontanément un des trois rôles. 1 - M’a-t-on explicitement demandé mon aide ? 2 - Ai-je l’envie, les compétences et les moyens pour intervenir ? 3 - Le demandeur est-il prêt à se prendre en charge lui-même ou va-t-il me refiler son fardeau ? 4 - Quels sont les critères qui me permettront de juger quand ma mission d’aide est accomplie ? IV.
Jeux de pouvoir en entreprise et triangle dramatique de Karpman | Kolibri coaching - Coaching du management et des dirigeants Méchant patron, pauvre employé, syndicat qui vient à l’aide,ou :Employé menaçant son manager, manager victime, dirigeant à la rescousse,ou encore :Client persécuteur, employé victime, sauvé par son managerCela vous rappelle quelque chose ? Les jeux de pouvoir prennent des formes variées en entreprise et créent le plus souvent du tort à l’ensemble de la structure. Ils sont inconscients, épuisants pour tous ceux qui y participent, et parfois durables. Parmi ces jeux, le triangle dramatique mis en évidence par Stephen Karpman (psychologue américain) dans les années soixante-dix est l’un des plus communs. Le triangle dramatique de Karpman Il s’agit d’un scénario relationnel typique, avec 3 rôles : le Persécuteur, la Victime et le Sauveur Le triangle se met en place quand 3 protagonistes prennent chacun un des trois rôles. (notez que mon triangle est à l’envers, la Victime devrait être en bas ;) Par « dramatique » (« Drama Triangle ») il faut comprendre une trame et une inversion des rôles. 1.