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Avec Internet et les écrans, mon cerveau a-t-il muté ? - L'actu Médias / Net

Avec Internet et les écrans, mon cerveau a-t-il muté ? - L'actu Médias / Net
Lecture en diagonale, perte de concentration... le Net et les technologies numériques bousculent nos façons de penser. Faut-il s'en inquiéter ? Pas forcément. On vous explique pourquoi. Sur le mur d'une galerie d'art de Toronto, ce slogan : « Mon cerveau d'avant Internet me manque » (1). C'est drôle. « Mon cerveau d'avant Internet me manque » ? Les pupilles baladeuses Au Lutin (Laboratoire des usages en technologies de l'information numérique), à Paris, des chercheurs observent au plus près le lecteur du XXIe siècle en activité. Ainsi, sur écran, nous avons les pupilles baladeuses. Sur la Toile, le cheminement de la pensée n'est pas contrôlé par l'auteur, mais par le lecteur. Comme le résume l'essayiste américain Nicholas Carr dans un livre remarquable (meilleur que son titre : Internet rend-il bête ? Mon cerveau fait du jet-ski « En échange des richesses du Net, nous renonçons à notre bon vieux processus de pensée linéaire. » Nicholas Carr, essayiste J'apprends, donc je me reconfigure Related:  CERVEAU & NEUROSCIENCES

Cerveau et Perception de la Réalité 3/3 ZeGive lance un bouton de don en ligne à la façon d'un "Like" Le bouton "Give" déployé sur les sites marchands partenaires invite le cyberacheteur à arrondir au-dessus le montant de son panier. La plateforme de solidarité ZeGive lance un bouton "Give" permettant aux internautes de réaliser un don en quelques secondes, avec la même spontanéité qu'un "Like" sur Facebook. Présent pour son lancement sur une quinzaine de sites marchands dont Priceminister.com, Enviedefraises.fr, Happyview.fr, Greenrepublic.fr et Videdressing.com, il invite le cyberacheteur qui vient de régler un achat en ligne à arrondir au-dessus le montant de son panier, ceci sans quitter le site. La plateforme ZeGive, qui se rémunère en prenant une commission de 5% des petits dons et de 2,99 euros des gros dons, prend en charge au nom des associations l'émission et le stockage des reçus fiscaux ainsi que l'installation sur les sites partenaires.

Que fait le cerveau quand il ne fait rien ? Même au repos, le cerveau demeure très actif. En fait, il ne s’arrête jamais. Plusieurs régions cérébrales, distantes les unes des autres mais activées de façon synchrone, forment un réseau étendu dont on découvre l’implication dans de nombreuses pathologies neuropsychiatriques comme la maladie d’Alzheimer, la dépression, la schizophrénie, l’autisme. LE MONDE SCIENCE ET TECHNO | • Mis à jour le | Par Marc Gozlan Tout commence en novembre 1992 par une découverte fortuite faite par Bharat Biswal, un étudiant ingénieur électricien alors âgé de 25 ans. « Je ne pouvais travailler que tous les samedis soir car le reste du temps presque tous les scanners étaient pris par les cliniciens. « Réseau du mode par défaut » Ce réseau est composé de régions du cortex préfrontal en avant et du cortex pariétal en arrière. Le cerveau reste donc actif au repos. Activités mentales d'introspection Le RD serait associé à des activités mentales d’introspection, de référence à soi. Imagerie cérébrale

Cerveau et Perception de la Réalité 2/3 Les différences agences/annonceurs dans les métiers du web Si vous travaillez dans le web, vous avez forcément eu ce débat à un moment avec quelques-uns de vos congénères : agence ou annonceur, où fait-il bon travailler ? Les clichés sont nombreux d’un côté comme de l’autre. On travaillerait beaucoup en agence dans une ambiance fun et détendue, tandis que prendre un poste chez l’annonceur serait plus reposant mais plus austère. Les arguments sont nombreux quand on entre dans ce débat, et les avis sont généralement tranchés. Le quotidien change forcément d’une agence à l’autre ou d’un annonceur à l’autre. Impossible donc de tirer des conclusions, chaque cas étant différent, selon les collègues, les envies, l’environnement de travail… Certaines tendances se dégagent toutefois. Volume de travail et pression La rumeur voudrait que l’on commence tard et que l’on finisse tard quand on travaille en agence, alors que chez l’annonceur le volume horaire serait plus encadré et fixe. L’ambiance Expertise et compétences acquises Le salaire Remerciements

DÉPRESSION Quand la musique active la chimie du cerveau En ce 21 juin, jour de la Fête de la musique, je vous propose un billet un peu spécial, sous la forme d’une courte interview vidéo avec le neurologue Pierre Lemarquis, dont un des thèmes préférés est, précisément, l’action de la musique sur le cerveau et notamment la manière dont elle active la production d’un certain nombre de molécules chimiques, de neurotransmetteurs (dopamine, endorphines, adrénaline…). Ce qui explique par exemple pourquoi certains airs vous donnent des frissons. La plupart de ces substances sont associées à des effets bénéfiques mais il faut toutefois préciser que dans le cerveau, la musique ne joue pas forcément la mélodie du bonheur (pour rappel, ma dernière chronique sur la science improbable s’intitule « La musique country incite-t-elle au suicide ? »). Cette vidéo est offerte aux lecteurs du monde.fr et de « Passeur de sciences » par le site Thinkovery, dont je suis le conseiller éditorial.

CERVEAU Cerveau et Perception de la Réalité 1/3 Dossier : tout savoir sur la dépression Dépression : de la déprime au burn-out La dépression est un trouble de l'humeur caractérisé essentiellement par une grande tristesse, une perte de motivation et d'estime de soi. Les femmes y sont deux fois plus exposées que les hommes. Les symptômes de la dépression et ses signes Selon le ministère de la Santé, près de 20 % de la population française connaîtra au cours de sa vie au moins un épisode dépressif. De la dépression légère à la dépression majeure Selon le patient, les circonstances, les soins apportés ou non, la dépression peut prendre des formes diverses. Troubles de l'humeur : symptômes dépressifs, déprime et dépression saisonnière Sous le terme générique de « dépression », on regroupe divers troubles de l’humeur. Burn-out et dysthymie La dépression peut présenter des formes violentes comme le burn-out ou moindres mais étendues dans la durée comme la dysthymie. Dépression postpartum et dépression masquée Les troubles bipolaires, ou psychose maniacodépressive Suicide et dépression

Que nous apprennent les sciences cognitives sur notre capacité à gérer les conflits d'intérêts? - Université Bordeaux Segalen - DCAM Que nous apprennent les sciences cognitives sur notre capacité à gérer les conflits d'intérêts? Penser c’est avancer mais comment pense-t-on ? Pour raisonner, l’homme fait appel à deux mémoires de travail : - la première, la pensée linéaire ou boucle phonologique permet d’enchaîner les concepts mais elle est physiologiquement limitée à une suite de 3 idées. - la seconde, le calepin visuo-spatial, permet de construire des liens associant entre elles plusieurs idées, ce qui s’apparente à une planification, à la réalisation d’une carte de concepts. Partant de ce constat, Jean-Michel Cornu montre combien il est important de chercher à créer la meilleure carte symbolique possible pouvant aider au mieux à gérer les conflits d’intérêts, à travailler collectivement, à être créatifs et innovants et il présente les différents orientations de la recherche actuelle pour y parvenir.

Sérotonine Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Elle est majoritairement présente dans l'organisme en qualité d'autacoïde. Sa part dans le cerveau où elle joue le rôle de neurotransmetteur ne représente que 1 % du total présent dans le corps[3], mais elle y joue un rôle essentiel[4]. Elle est impliquée dans la régulation du cycle circadien[5] dans le noyau suprachiasmatique (siège de l'horloge circadienne), dans l'hémostase, dans la mobilité digestive et « dans divers désordres psychiatriques tels que stress, anxiété, phobies, dépression ». Il est ainsi la cible de certains outils thérapeutiques utilisés pour soigner ces maladies mais il est aussi celle de produits toxiques qui en modifient l'activité (par exemple l'ecstasy)[4]. Histoire[modifier | modifier le code] La sérotonine a été identifiée en 1946, sous le nom d'entéramine[6], par le pharmacologue italien Vittorio Erspamer (1909-1999) dans les cellules entérochromaffines du tube digestif[7]. Localisation[modifier | modifier le code]

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