Cerveau et Perception de la Réalité 3/3
Kit Kat offre un break sans Wifi
Le Wifi est désormais disponible partout : dans les bars, restaurants, trains, aéroports, supermarchés…elle est même disponible sur le Mont Everest. Besoin d’un break ? A Amsterdam et Amstelveen, la marque a installé des No-Zone WiFi qui, dans un rayon de cinq mètres, bloquent les signaux afin que les gens puissent échapper aux e-mails, mises à jour et autres envahisseurs d'espace. Dans ces endroits privilégiés, ils peuvent s’adonner à la lecture, à la discussion et surtout à une pause Kit Kat bien méritée.Une initiative de JWT Amsterdam.
Notre cerveau à l’heure des nouvelles lectures
Maryanne Wolf, directrice du Centre de recherche sur la lecture et le langage de l’université Tufts est l’auteur de Proust et le Calmar (en référence à la façon dont ces animaux développent leurs réseaux de neurones, que nous avions déjà évoqué en 2009). Sur la scène des Entretiens du Nouveau Monde industriel au Centre Pompidou, la spécialiste dans le développement de l’enfant est venue évoquer « la modification de notre cerveau-lecteur au 21e siècle » (voir et écouter la vidéo de son intervention)… Image : Maryanne Wolf face au public sur la scène du Centre Pompidou, photographiée par Victor Feuillat. Comment lisons-nous ? « Le cerveau humain n’était pas programmé pour être capable de lire. Il était fait pour sentir, parler, entendre, regarder… Mais nous n’étions pas programmés génétiquement pour apprendre à lire ». La présentation de Marianne Wolf via l’IRI. Pour autant, le circuit de la lecture n’est pas homogène. Pourquoi la lecture numérique est-elle différente ? Hubert Guillaud
ZeGive lance un bouton de don en ligne à la façon d'un "Like"
Le bouton "Give" déployé sur les sites marchands partenaires invite le cyberacheteur à arrondir au-dessus le montant de son panier. La plateforme de solidarité ZeGive lance un bouton "Give" permettant aux internautes de réaliser un don en quelques secondes, avec la même spontanéité qu'un "Like" sur Facebook. Présent pour son lancement sur une quinzaine de sites marchands dont Priceminister.com, Enviedefraises.fr, Happyview.fr, Greenrepublic.fr et Videdressing.com, il invite le cyberacheteur qui vient de régler un achat en ligne à arrondir au-dessus le montant de son panier, ceci sans quitter le site. La plateforme ZeGive, qui se rémunère en prenant une commission de 5% des petits dons et de 2,99 euros des gros dons, prend en charge au nom des associations l'émission et le stockage des reçus fiscaux ainsi que l'installation sur les sites partenaires.
Cerveau et Perception de la Réalité 2/3
Mettez le wifi en sourdine et vivez deconnectés
Demain des spots et des restos "wifi-free" vous offriront des havres de déconnexion. Pour couper les fils avec votre vie virtuelle le temps d'une pause... Demain, dans le monde de l'ultra-connexion où votre t-shirt sera branché sur le web, où vos lunettes augmenteront la réalité et où votre sac à main parlera avec votre portable, les places dans les zones "No-Wifi-Zone" seront chères et prises d'assaut. On y discutera à l'ancienne autour d'un café au lieu de tweeter, on s'y racontera des potins non-connectés. En attendant, pratiquez la déconnexion de manière progressive et douce.
La lecture numérique peut-elle se substituer à la lecture classique ?
Les métamorphoses numériques du livre Alain Giffard La lecture numérique peut-elle se substituer à la lecture classique ? La lecture numérique peut-elle se substituer à la lecture classique – j'entends ici la lecture du texte imprimé, telle qu'on l'apprend à l'école ? Le reflux de la culture écrite classique n'est pas une conséquence du numérique, mais le numérique se développe bien dans le cadre de ce reflux. Voilà posé très brièvement l'enjeu de la substitution de la lecture numérique à la lecture classique. Avec l’essai “Des lectures industrielles” paru dans Pour en finir avec la mécroissance, je propose un bilan nécessairement provisoire de la lecture numérique. L'acte de lecture numérique est compliqué et difficile : visibilité des écrans, typographie, mise en page, absence d'unité. Le problème, c'est que cet équipement n'a jamais été réalisé dans le cadre du numérique, bien que le programme en ait été posé, dès Memex, la machine à lire de Vannevar Bush *.
Les différences agences/annonceurs dans les métiers du web
Si vous travaillez dans le web, vous avez forcément eu ce débat à un moment avec quelques-uns de vos congénères : agence ou annonceur, où fait-il bon travailler ? Les clichés sont nombreux d’un côté comme de l’autre. On travaillerait beaucoup en agence dans une ambiance fun et détendue, tandis que prendre un poste chez l’annonceur serait plus reposant mais plus austère. Les arguments sont nombreux quand on entre dans ce débat, et les avis sont généralement tranchés. Le quotidien change forcément d’une agence à l’autre ou d’un annonceur à l’autre. Impossible donc de tirer des conclusions, chaque cas étant différent, selon les collègues, les envies, l’environnement de travail… Certaines tendances se dégagent toutefois. Volume de travail et pression La rumeur voudrait que l’on commence tard et que l’on finisse tard quand on travaille en agence, alors que chez l’annonceur le volume horaire serait plus encadré et fixe. L’ambiance Expertise et compétences acquises Le salaire Remerciements
Quand la musique active la chimie du cerveau
En ce 21 juin, jour de la Fête de la musique, je vous propose un billet un peu spécial, sous la forme d’une courte interview vidéo avec le neurologue Pierre Lemarquis, dont un des thèmes préférés est, précisément, l’action de la musique sur le cerveau et notamment la manière dont elle active la production d’un certain nombre de molécules chimiques, de neurotransmetteurs (dopamine, endorphines, adrénaline…). Ce qui explique par exemple pourquoi certains airs vous donnent des frissons. La plupart de ces substances sont associées à des effets bénéfiques mais il faut toutefois préciser que dans le cerveau, la musique ne joue pas forcément la mélodie du bonheur (pour rappel, ma dernière chronique sur la science improbable s’intitule « La musique country incite-t-elle au suicide ? »). Cette vidéo est offerte aux lecteurs du monde.fr et de « Passeur de sciences » par le site Thinkovery, dont je suis le conseiller éditorial.
Nous ne serons plus jamais déconnectés…
Jenna Wortham (@jennydeluxe) pour le New York Times a commis un de ces papiers faciles sur les vertus de la déconnexion à l'heure d'un monde toujours plus connecté. Alors qu'elle se rendait à la piscine, elle a été invitée à déposer son téléphone et a pu profiter pleinement de sa journée, sans avoir à consulter avec anxiété ses comptes Facebook et Twitter pour regarder ce que ses amis faisaient. La peur de manquer quelque chose (Fomo, pour Fear of Missing Out) que décrivait Caterina Fake, cofondatrice de Flickr, s'évaporait quelques instants. Image : cc Staying Social par Leon Fishman. Si beaucoup de gens se retrouvent dans le besoin d'être déconnecté de leurs appareils pour mieux se concentrer sur l'instant présent, nombre d'entre eux décrivent aussi la difficulté qu'ils éprouvent à résister à l'appel des médias sociaux, explique encore Jenna Wortham. "Comme on pouvait s'y attendre, cette intrusion a créé un choc en retour. Pourquoi sommes-nous obsédés par la déconnexion ?
Lecture numérique : le succès des tablettes auprès des plus jeunes
Plusieurs études américaines confirment que les tablettes sont devenues les reines de la lecture numérique auprès des enfants. En tête bien sûr, Apple, Google et Amazon avec l’iPad, les tablettes Android et les Kindle Fire. Aux Etats-Unis, le rapport au livre numérique est différent de celui que nous connaissons. Si pour nous, les tablettes sont bien évidemment l’outil de lecture numérique préféré des enfants, aux Etats-Unis, elles dominent les liseuses qui sont aussi utilisées par bon nombre d’enfants. L’étude PlayCollective et Digital BookWorld Selon l’étude effectuée de PlayCollective et Digital BookWorld menée auprès de 750 parents d’enfants qui lisent en numérique, 84% des enfants y auraient accès via des tablettes contre 72% en janvier dernier. En tête des tablettes préférées par les parents pour leurs enfants, la Kindle Fire se taillerait la part du lion avec 27% contre 20% pour l’iPad toutes versions confondues. L’étude Piper Jaffray
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