Réviser le bac avec Twitter? L’échéance arrive à grands pas pour mes élèves de @derniereannee3 : le BAC on y est presque ! Chaque année depuis 3 ans, j’utilise Twitter pour activer et renforcer les révisions du bac chez mes élèves. Ce n’est que le prolongement et l’aboutissement d’un travail incitatif qui court toute l’année. Les "soyez curieux" que je lance et que mes élèves lancent régulièrement sur nos time-lines incitent à chercher, à "être curieux" vers des émissions, des films, des lectures, à revoir des connaissances, à se les approprier…etc. Depuis quelques jours et à la veille de leur 2ème série de bac blanc , j’ai lancé la balise #réviserlebac . Le principe est simple: poser une question d’histoire, de géographie ou d’éducation civique en rapport avec le programme de terminale bac pro et les élèves y répondent. Le tweet doit comporter la balise #réviserlebac + #hist ou #géo . L’élève, dans sa réponse, reformule la question et donne sa réponse. Quelles plus-values pédagogiques? Voici quelques exemples :
Zoom sur... - Zoom sur... le micro-blogging en classe Le site de micro-blogging Twitter tend à devenir moins confidentiel. Utilisé par le ministère de l'Éducation nationale (@EducationFrance), par plus d'un tiers des académies, il est cependant rarement utilisé par les établissements, les CDI, les CLEMI académiques, encore plus rarement par les enseignants. Il constitue pourtant un outil simple, gratuit et très puissant de communication, d'échange et de création de contenus. Pour un établissement, comme le dit @lyceeJulesFil, « Twitter est un outil pratique de communication, d'échange, de veille et de constitution de réseau inter-établissements ». Il permet de communiquer rapidement avec l'ensemble de la communauté éducative et ses partenaires, les familles par exemple. C'est un outil qui favorise l'autonomie de l'élève, l'incite à produire des écrits, améliore l'image qu'il a de lui et de sa place au sein du groupe, fait de lui un acteur et un créateur de savoirs. Twitter ouvre de nombreuses pistes pédagogiques, dans toutes les matières.
Utiliser Twitter en salle de classe : 12 exemples pratiques 5 étapes pour une diffusion efficace de sa veille Si la diffusion parait plus importante que la collecte dans une stratégie de veille, c’est que l’information prend de la valeur par son utilisation (et pas seulement son stockage). Comme les objectifs, la collecte ou l’analyse, la diffusion demande d’être pensée, et les résultats d’être présentés comme des « produits de veille ». Voyons quelques étapes nécessaires à la mise en place d’une stratégie de diffusion. Il y a quelques temps, j’ai donné une formation URFIST-CNRS (avec Maureen Dumans) sur la mise en place d’une stratégie de veille. Face à un public majoritairement de documentalistes/veilleurs, l’une des problématiques la plus commune fut : la diffusion des résultats. Comment faire pour être lu ? Voici donc quelques réflexions/méthodes que j’ai partagé lors de cette formation, et que je formalise ici sous la forme de 5 grandes étapes. Première étape : penser communication et pas seulement documentation ==> Le public visé et ses pratique/attentes Deuxième étape : définir son public
Carrefour éducation Apprivoisez la "bête"L'envolUn peu de vocabulaireQu'est-ce que c'est, au juste? Passez à l'actionCréez votre compteSuivez quelques personnes (et espérez être suivi!)Connaissez le b.a. ba de la syntaxeTweetez (et retweetez!) Tweetez en classeApplications pédagogiques, professionnelles et étiquette L'envol Lorsque vous ferez vos premiers pas sur Twitter, vous aurez peut-être l’impression de vous jeter dans le vide. Rassurez-vous, le déséquilibre ne dure pas longtemps. Un peu de vocabulaire © image générée à l'aide de Wordle Votre liste de vocabulaire comprend 5 mots nouveaux. Twitter. Qu'est-ce que c'est, au juste? Le fossé des générations"N'est-ce pas merveilleux d'entendre ces oiseaux gazouiller?"" Pour échanger avec vos collègues et amis, l'utilisation d'un compte Twitter s'avère intéressante. Bien sûr, l'utilisation que chaque abonné fait de ce service Web est personnelle et unique. Deux vidéos à ne pas manquer Créez votre compte personnel Suivez quelques personnes (et espérez être suivi!)
Mots de tête 3. A vous de jouer ! Ne cliquez qu'une seule fois SVP. Merci 6 points pour cette rubrique (voir le classement pour cette rubrique)Archives de cette rubrique 833 jeux de mots ont été inscrits pour cette rubrique posté par lapine albinos le 01/04/2014 à 09:03 Love-nid: nid d'amour qui vient de l'espace posté par lapine albinos le 01/04/2014 à 08:40 posté par zaza (cusset) mail : colette.agostini@orange.frON le 10/03/2014 à 13:16 On a dit à Georges de ne pas courir, alors Georges Marchais. posté par GETO le 03/03/2014 à 08:52 PETank : Dégazage de char... Savez-vous pourquoi les pets sentent mauvais ? posté par GETO le 03/03/2014 à 08:50 crouPIONNE : Surveillante de lycée aux formes callipyges... Il y a deux éducations : la première que l'on reçoit au lycée, la seconde que l'on se donne à soi-même. posté par GETO le 03/03/2014 à 08:44 TRACAStrat : Inquiétude boursière chez certains chanteurs lyriques... BOURSE : (la) Thermomètre de l'opinion publique. posté par GETO le 03/03/2014 à 08:39 Pourquoi-moi ?
Théorie des intelligences multiples La théorie des intelligences multiples suggère qu'il existe plusieurs types d'intelligence chez l'enfant d'âge scolaire et aussi, par extension, chez l'Homme. Cette théorie fut pour la première fois proposée par Howard Gardner en 1983. L'origine de la théorie Lorsque Howard Gardner publia son livre Frames of Mind: the Theory of Multiple Intelligence en 1983, il introduisit une nouvelle façon de comprendre l'intelligence des enfants en échec scolaire aux États-Unis. Une traduction française de ce livre a été publiée en 1997 sous le titre Les formes de l'intelligence (Odile Jacob). Intelligences multiples et polymathes Selon certains auteurs, l'existence de polymathes invalide cette théorie1. L'intelligence sociale Les diverses catégories d'intelligence pour Howard Gardner L’intelligence logico-mathématique mots croisés, casse-tête, puzzles, jeux de stratégie (exemple : Monopoly, échecs), jeux de cartes demandant une logique précise, jeux de déduction (exemple : Cluedo), etc. Bibliographie 1.
Tous en Réseau ! | L'Intelligence Collective en Action Activités langagières et technologie discursive. L’exemple de Twitter Dans le cadre du colloque 2012 de l’ASLA (Association suisse de linguistique appliquée) qui se tenait à Lausanne du 1 au 3 février dernier (on trouve le programme détaillé et le résumé de toutes les communications sur le site du colloque), j’ai présenté un travail sur le fonctionnement technolangagier/technodiscursif du réseau Twitter. Je répondais au 7e axe de l’appel, intitulé “Les pratiques langagières dans le domaine des nouvelles technologies”. Il s’agissait pour moi de présenter les productions discursives sur Twitter dans le cadre de la notion d’augmentation, telle qu’on la trouve dans « réalité augmentée » i.e. une réalité, et en particulier deux compétences qui la constituent, l’intelligence et la mise en discours, “encapacitée” (enabled) par les technologies. J’en propose ici un résumé et le diaporama que j’ai projeté. Avertissement : certains tweets d’abonnés ou autres figurent dans le diaporama. 1. 2. 3. 4. 5. Bibliographie Bachimont B., 2010, Le sens de la technique.
Taxonomie des données sociales Par Hubert Guillaud le 02/09/10 | 7 commentaires | 3,703 lectures | Impression Pour mieux répondre aux nombreuses questions que posent la vie privée des utilisateurs à l’heure des sites sociaux, le spécialiste de la sécurité, Bruce Schneier a tenté de construire une intéressante Taxonomie des données, car ce qu’on appelle données dans le monde des sites sociaux recouvre plusieurs réalités différentes (voir notre dossier Critique du Web²). Il distingue ainsi : Des “données de services” : les données que vous confiez à un site social afin de l’utiliser. Ces données peuvent inclure votre nom légal, votre âge voir le numéro de votre carte de crédit.Les “données divulguées”, c’est-à-dire celles que l’utilisateur publie sur ses pages : billets de blogs, photographies, messages, commentaires.Les “données confiées”, c’est-à-dire celles que l’utilisateur publie sur les pages des autres. Image : exemple de flux de données dans les médias sociaux par Anne Helmond.