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Manifeste pour l'économie positive

Manifeste pour l'économie positive
LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Jacques Attali, économiste Notre modèle économique semble avoir atteint ses limites. Les crises s'enchaînent et se nourrissent, inextricablement liées : de crise financière en crise économique. De crise sociale en crise environnementale. De crise politique en crise philosophique. En premier lieu, parce que les modèles qui ont organisé le XXe siècle ont mené à l'impasse. De son côté, le capitalisme financier, qui ne cherchait plus qu'à se protéger du risque, a imposé partout un modèle construit sur l'incitation financière. Ensuite, parce que la dictature du court terme est suicidaire. Enfin, parce que l'avenir défie la raison marchande. Or, ces secteurs sont devenus fondamentaux. Nous ne ferons pas face à ces transformations en faisant "plus" de ce que nous faisions déjà. Mais qu'est-ce que l'économie positive ? L'économie positive, c'est d'abord une vision positive de l'homme. L'économie positive, c'est une prise en compte de l'autre. Related:  Developpement durable

Jeremy Rifkin : «Créer un Internet de l’énergie» Président de la Fondation pour les tendances économiques (Foet), l’essayiste américain Jeremy Rifkin estime que l’Europe, France et Allemagne en tête, est la mieux placée pour dominer une économie postcarbone dont il dessine ici les contours. Selon vous, une troisième révolution industrielle est en marche. Pourquoi et que va-t-elle changer ? Les grandes révolutions économiques interviennent toujours à la convergence de deux phénomènes. D’une part, l’émergence d’une source d’énergie qui accroît la complexité des relations économiques. Aujourd’hui, avec Internet et les énergies renouvelables, nous sommes à l’aube d’une troisième révolution industrielle marquée par la démocratisation totale des communications et de l’énergie. Que dire aux tenants de cet ordre établi ? Le système actuel est cassé. Aussi, notre message aux gros distributeurs de gaz et d’électricité est : au lieu de vendre autant d’électrons que possible, facilitez le déploiement du nouveau réseau énergétique décentralisé.

Éducation au développement durable - Qu'est-ce que l'éducation au développement durable ? L'Education au développement durable L'éducation au développement durable (EDD) permet d'appréhender le monde contemporain dans sa complexité, en prenant en compte les interactions existant entre l'environnement, la société, l'économie et la culture. La politique de généralisation de l'éducation au développement durable est définie dans les circulaires de 2004, 2007, 2011 et 2015, qui établissent l'intégration des thèmes, des enjeux et des principes du développement durable dans les programmes d'enseignement, dans les formations des enseignants et des personnels d'encadrement, dans les démarches globales de développement durable des écoles et des établissements, dans la production de ressources pédagogiques, le tout étant soutenu par le partenariat, aux échelles locale, académique, nationale, européenne et internationale. La démarche « E3D » Les objectifs visés à travers la labellisation « E3D » sont : Obtenir le label « E3D » L'Agenda 2030 des Objectifs de développement durable

La destruction créatrice Il faut redécouvrir la flânerie dans sa ville, on n'est jamais à l'abri d'une surprise. Les travaux concernant la future façade de la résidence étudiante située rue Gametta à Saint-Etienne, laissent voir une ancienne publicité d’une diligence pour Annonay. C'est le moment de redécouvrir les temps anciens de Saint-Etienne et de réfléchir sur l’évolution de nos moyens de transport. En effet le tram passe tous les jours devant cette façade. Allez voir! L'économiste Schumpeter parlerait d'un phénomène de destruction créatrice. « Le charme est rompu et de nouvelles affaires se créent continuellement, appâtées par le profit. « Le nouveau ne sort pas de l’ancien, mais apparaît à côté de l’ancien, lui fait concurrence jusqu’à le ruiner. » Joseph Schumpeter, Théorie de l’évolution économique, 1911/1926

Sharing Systems Are We Ready to Share Our Legos? A new site called Pley is hoping to change the way children consume and use their toys…well, one type of toy at least. They are offering monthly subscriptions for Legos. Pley’s subscriptions cost $15, $25 or $39 per month, for. Read More » Lend Tools, Build Better World Some things seem inherently incompatible with small space living: Car collections, big game taxidermy, Richard Serra sculptures and extensive tool collections. Read More » Underground Party in Paris We have a soft-spot for large civic projects that provide city dwellers places to loiter, ahem, congregate. Read More » Store Your Books in the Cloud Books are great. Read More » Your Living Room Away from Home For those of us who work from home, the need to get out of the house is essential to maintain productivity and sanity. Read More » Top 10 Posts of 2013 Read More » Dine and Dash Around the World Read More » Save Airbnb in NYC To borrow a too-often-heard buzzword, the sharing economy is disruptive.

Pourquoi les entreprises doivent passer à l'économie bleue - L'ADN Gunter Pauli est parfois surnommé le « Steve Jobs du développement durable ». Son combat ? Sortir du modèle de consommation et de production actuel pour basculer dans ce qu'il appelle « l'économie bleue », un modèle dont le principe n'est pas destructeur de ressources... Mais régénérateur. Rencontre. Pensez-vous que les entreprises, dans leur modèle actuel, soient vouées à disparaître ? GUNTER PAULI : Nous évoluons dans un monde où les inégalités de richesses se creusent. Vous identifiez trois types d’économies : la rouge (dans laquelle nous sommes actuellement et qui use et abuse des ressources), la verte (qui implique de payer plus cher pour des produits respectueux de l’environnement) et la bleue (qui permettrait de régénérer les ressources et donc de sauver la planète). G. Il faut quitter le concept d’une économie où l’on est obligé d’être le moins cher pour être acheté. Les entreprises sont-elles préparées à opérer ce basculement ? G. G. G. G. G. G. G. G. zeri.org france.novamont.com

Nous vivons dans une "société liquide" Ses livres s’interrogent sur les "horizons de sens" possibles dans un monde marqué par des crises radicales. Il invite à "se révolter par la créativité, l’écriture, l’engagement au plus près du monde". Zygmunt Bauman a notamment théorisé la "société liquide", un concept qui se penche sur le flux incessant de la mobilité et de la vitesse, caractéristique de notre modernité. Zygmunt Bauman décrit une société "en voie de liquéfaction avancée", où les relations humaines deviennent flexibles plutôt que durables, tant au plan personnel qu’au plan collectif. Dans notre "société liquide", « on évite la corvée de la rupture (rompre ou se faire licencier par SMS. Zygmunt Bauman est une figure majeure de la sociologie européenne. Une conférence enregistrée en octobre 2017.

La Rochelle : Daniel Costantini, expert en coaching performant émoire vivante du handball français, Daniel Costantini, reconverti en consultant pour les entreprises, donne une conférence ce soir à La Rochelle (1). Élu meilleur entraîneur de handball de tous les temps en 2011, Daniel Costantini possède une certaine expérience du management des ressources humaines et ne se prive pas pour en faire bénéficier les autres. Au cours de sa carrière, le coach aura su faire évoluer ses méthodes pour toujours tirer le meilleur de ses joueurs. « Les premières années, j’utilisais la méthode dure. Je décidais, ils exécutaient. Avec l’arrivée d’une nouvelle génération de joueur (Fernandez, Dinard…), Daniel Costantini avoue avoir écouté plus souvent l’avis de ses joueurs. Soumis à des niveaux de pressions souvent équivalents, managers du privé et coaches sportifs partagent la culture du résultat. « À la fin de ma carrière d’entraîneur, on m’a proposé d’être consultant en ressources humaines dans une entreprise partenaire de l’équipe de France.

Face à la crise du Covid-19, les stratégies des entreprises les plus responsables et durables sont payantes Longtemps considérée comme un simple bonus, la Responsabilité sociétale d’entreprise (RSE) fait une fois de plus la preuve de son utilité en cette période de crise. Quelques semaines avant l’explosion de la pandémie, Bloomberg mettait en avant la superformance des fonds ESG, qui regroupent les valeurs les plus durables parmi l’indice S&P500 qui couvre 80% de la capitalisation boursière américaine. Depuis la mise en quarantaine de l’économie mondiale, cette bonne tenue se confirme. Bien sûr, toutes les entreprises cotées subissent le choc économique et financier général. La réponse sociale à la crise du Covid-19 scrutée par les analystes "Avec la perturbation causée par la crise du Covid-19, les considérations sociales sont de retour au premier plan de l'ESG. La stratégie environnementale pas oubliée L’action environnementale et climatique des entreprises est aussi valorisée par le marché. Béatrice Héraud, @beatriceheraud

L'économie du care Le care, c'est le soin, l'attention, l'aide. Bref, tout ce qui, à travers des liens personnels, apporte aux personnes en difficulté la béquille, les soins ou l'affection dont elles ont besoin. C'est l'antithèse de l'homo oeconomicus, individu rationnel, égoïste et préoccupé de son seul intérêt. Le care est en quelque sorte la preuve vivante que les relations sociales s'appuient aussi sur des éléments moraux et affectifs. Il convient donc d'opérer un "renversement conceptuel" à la théorie économique dominante qui ne jure que par homo oeconomicus. L'auteur oppose ainsi l'approche morale d'Emmanuel Kant à celle d'Adam Smith, qui fait de l'empathie l'une des bases du comportement humain, alors que les libéraux n'en ont retenu que la place de l'intérêt personnel.

Voile : le jeune marin Arthur Le Vaillant veut faire de La Rochelle une référence ’est une initiative personnelle rare qu’a prise, vendredi dernier, un jeune marin de 25 ans. Un âge où, selon certains, on ne se préoccupe que d’Internet, de sorties en boîtes et d’alcoolisation express, attendant impatiemment que le monde tombe tout cuit entre ses mains… Autant de préjugés battus en brèche - avec une lettre ouverte adressée à son maire - par Arthur Le Vaillant, dont le nom résonne dans le monde de la voile. Fils de Jean-Baptiste, co-dirigeant d’Incidences et détenteur du Trophée Jules-Verne (1) en compagnie de Loïc Peyron, le Rochelais, issu de la voile olympique, a notamment participé à la Solitaire du « Figaro » et au Tour de France. Une ambition collective S’il a pris la plume, ce n’est pas par ambition personnelle - lui qui rêve de Vendée Globe - mais collective : voir La Rochelle redevenir une référence dans le monde de la voile hauturière, comme elle l’est déjà dans l’olympisme. Les Sables en exemple Des solutions d’avenir ?

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