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Fragments, chutes et conséquences.

Fragments, chutes et conséquences.

LIMINAIRE En résidence d’écrivain soutenue par la Région Île-de-France à la Librairie Litote en tête, dans le 10e arrondissement de Paris, de janvier à octobre 2010, j’ai mis en place une série de cartes blanches autour de mon travail de création. La première de ces cartes blanches s’articule autour de la revue de création d’ici là : Zones d’activités poétiques. Vendredi 19 mars 2010, de 19h. à 21h. Centre d’animation Château-Landon 31 rue Château-Landon Paris, 10e Lectures de Mathieu Brosseau, Arnaud Maïsetti, Esther Salmona, Anne Savelli, Joachim Séné et Pierre Ménard Depuis janvier 2008, Pierre Ménard dirige la revue de création d’ici là diffusée sur la plateforme d’édition numérique Publie.net L’idée de la revue est de jouer la carte d’une lecture écran, et de former, notamment autour des auteurs dont les textes numériques sont diffusés sur la plateforme Publie.net, un ensemble éditorial où se confrontent l’image, le texte et le son. Playlist de la soirée sur Youtube Esther Salmona : d’ici là n°1

Scribydoo - Le chien sans queue ni tête Dita Kepler. Journal du silence / Journal de la lutte. Décor, arpenteuse, serveuse, cliente et catcheuse, mur, lierre, sol, prête-nom … Dita Kepler, qui est à l’origine mon avatar sur Second Life, existe depuis 2009 sous des formes diverses. Elle apparaît de temps à autres lors de lectures publiques, mais très rarement sous forme de texte (deux exceptions : ici et là ). Virtuelle, elle se déplace dans des lieux réels en utilisant la métamorphose. Généralement, elle se transforme en pans de décor. Ce qui la pousse à avancer ? Dita Kepler ne possède ni frontières, ni limites. Elle tutoie son cerveau, si le mot de cerveau a un sens pour elle. Ce qui l’intéresse, la fait évoluer , comme on dit, c’est le passage constant et dans tous les sens de l’un à l’autre : pensée, désir. Le virtuel, ici, se nomme : arrière-salle, mur, bruit, dans ta peau, dans ta tête, dans tes bras. À noter : au bout d’un moment, la capacité à se transformer de Dita Kepler est désignée sous le terme d’anamorphose. Anne Savelli

LIMINAIRE Accueil - 10 jours... 10 classes... 10 contes de Noël L'aiR Nu - Littérature Radio Numérique Fenêtres open space « Ma mémé, c'est mon paradis perdu » La « mémé » des lecteurs du Monde.fr suscite chez eux toute une réminiscence d'odeurs de cuisine et de jardin. Et bien plus encore. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Propos recueillis par Pascale Krémer Raconter la mémé qui a marqué votre enfance, comme l'a fait l'acteur Philippe Torreton dans son livre Mémé (Ed. L'Iconoclaste), paru en janvier, et qui connaît un joli succès : voilà ce que nous avions suggéré aux lecteurs du Monde.fr. Lire aussi notre reportage : « Moi aussi, j'avais une mémé... » En cuisine... Mémé, c'est d'abord le « paradis perdu » de l'enfance, une réminiscence d'odeurs de jardin ou de bois, de saveurs de cuisine. ... comme au jardin « Avec grand-mère, j'ai passé les moments les plus tendres de mon enfance, dans sa maison entourée de mimosa, de crocus, de roses, de tulipes et de camélias, le jardin semé de graviers du gave, et du sable que nous rapportions de l'océan. Des souvenirs en vrac... ... de la femme... ... comme de l'alliée Et au diable les contreparties !

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