Jeu Cartes Colorées (pour l’entraînement de l’attention et de la flexibilité mentale)
Jeu Cartes Colorées (pour l’entraînement de l’attention et de la flexibilité mentale) rsam logopédie, Matériel, Orthophonie attention, cartes, concentration, effet stroop, flexibilité mentale, inhibition, jeu, jeux Présentation Il s’agit d’un jeu de 72 cartes (8 planches) comprenant des noms de couleur, écrits dans différentes couleurs : JauneVertBleuRougeNoirOrange Cartes Colorées Les cartes sont distribuées entre les deux joueurs. Principes pour poser une carte compatible Il est possible d’ajouter la contrainte de toujours avoir trois cartes en main sous peine de pénalité (comme par exemple récupérer le tas de cartes central) pour compliquer la tâche. Si un joueur est bloqué, l’autre peut poser une ou plusieurs cartes compatibles, puis l’adverse pioche dans sa pile et ainsi de suite. Le but du jeu est de liquider la pioche et de ne plus avoir de cartes. De nombreuses variantes sont possibles selon chaque patient. Objectifs Selon les règles et/ou consignes : Téléchargement La notice du jeu Licence
La bienveillance : outil de réussite scolaire
La rentrée frappe à la porte et avec elle, son lot d’inquiétudes parentales : comment aider nos enfants à s’épanouir, tout en réussissant leurs études ? Ce matin, on parle éducation positive, bienveillance et méthodes alternatives ! Vous la sentez, la bonne odeur de cahiers neufs ? L’excitation de l’agenda vierge, de la trousse impeccable et du cartable qui attend son heure ? Ok, j’avoue, ça fait cloche mais j’aime la rentrée des classes. Ma petite ado, qui passe en quatrième, ne vous tiendrait sans doute pas le même discours mais, derrière la posture vaguement rebelle, je la soupçonne de trépigner aussi. Ah oui parce que, entre mille qualités flagrantes, je lui ai légué ça sans faire exprès : le gène de la nullité en maths. Bon, je vous la fais courte. Avec nous ce matin : - Julien Masson, ancien enseignant en primaire, maître de conférences à l’Ecole Supérieure du Professorat et de l’Education de l’université de Lyon, auteur de Bienveillance et réussite scolaire (Dunod)
Comment apprendre ? Pourquoi réviser ?
Nous possédons tous plusieurs types de mémoire : une mémoire visuelle, axée sur la vision ; une mémoire auditive, axée sur ce que nous entendons et une mémoire kinesthésique ou mémoire sensorielle, basée sur les autres sens que la vue et l’audition. Ces trois formes de mémoire fonctionnent alternativement ou conjointement. Selon les personnes la mémoire dominante est différente mais la majorité de la population a une mémoire visuelle. La première mémoire est la mémoire immédiate, la mémoire sensorielle, celle des sensations. La deuxième mémoire est la mémoire à court terme. Nous abordons maintenant la mémoire « durable ». Pour résumer, la mémoire immédiate est sollicitée en quelques millisecondes dès que nous percevons quelque chose (perception). Le plus souvent, les élèves travaillent pour mémoriser des informations « à moyen terme », c’est-à-dire manquent de faire l’effort suffisant pour retenir de façon durable les informations en pensant n’en avoir besoin que pour un temps.
Un trésor pour faciliter la mémorisation ! – Les joies de l'erreur
Vous cherchez un moyen facile et efficace de faciliter la mémorisation des connaissances par les élèves, de manière durable et équitable ? Après l’avoir cherché aussi, je l’ai désormais trouvé, et mes élèves et moi l’utilisons tous les jours ! Attention : révélation ! Contexte Pour construire et développer des compétences, la première étape, indispensable, incontournable, essentielle, est l’acquisition de savoirs, de connaissances. Bloom le met bien en valeur dans sa taxonomie des activités mentales : connaitre,comprendre,appliquer,analyser,synthétiser,évaluer. L’enseignant peut bien proposer une palette inventive, créative et variée de dispositifs pour mettre les élèves en activité, afin que ceux-ci puissent construire ou approfondir leurs compétences, n’en demeure pas moins que fixer les connaissances constitue bien le premier palier de la construction des apprentissages. Or, comme il parait ingrat ce processus, perçu comme rébarbatif, comme un rabâchage mécanique ! Ne vous en privez pas.
Métacognition : 10 questions pour apprendre à apprendre
Commencer très tôt à dire ce qu’on a fait, ce qu’on fait, ce qu’on va faire (la métacognition) est un incontournable de la prévention de l’échec scolaire. La métacognition recouvre plusieurs aspects : la connaissance qu’on peut avoir de processus cognitifs, d’opérations mentales nécessaires pour accomplir une tâche ;la capacité à utiliser cette connaissance lors de l’accomplissement de la tâche La métacognition est plus difficile avec des élèves qui maîtrisent mal la langue (parlée et écrite), qui ont des lacunes scolaires et qui sont peu efficaces dans leur travail. Jean-Michel ZAKHARTCHOUK, auteur de Apprendre à apprendre, propose plusieurs conditions pour amener les élèves à pratiquer la métacognition en classe : ……………………………………….. de Jean-Michel ZAKHARTCHOUK (éditions Réseau Canopé) Related Apprendre à apprendre à l'école (développer des habitudes métacognitives en classe) Dans "Méthodologie et outils" Réviser efficacement : 4 étapes pour prendre l’habitude de pratiquer la métacognition
Parlons d’une culture d’essais-erreurs-ajustements
Le titre de ce billet, « une culture d’essais-erreurs-ajustements », me vient de la trop rare Annick Sirard, conseillère pédagogique de français aux Affluents, à qui je présentais notre infographie sur l’évaluation intégrée lors d’un congrès. Si la place aux ajustements a toujours été sous-entendue derrière ce principe des stratégies et méthodes d’enseignement du Cours de demain à Sainte-Anne, je trouverais utile de lui en faire une vraie. L’apprenant, grâce aux grilles de vérification qu’on lui rend disponible, aux rétroactions de ses pairs et celles de son enseignant.e, modifie ses tâches et il régule ses apprentissages. Cette année, nous offrons d’ailleurs une formation sur la rétroaction avec les TIC.
La métacognition
Comprendre comment fonctionne son cerveau pour apprendre à mieux s'en servir La métacognition désigne l’ensemble des aptitudes liées au contrôle et au suivi de sa propre activité cognitive, qu'il s'agisse de perception, de mémoire, de raisonnement ou de résolution de problèmes. Plus simplement, c’est la connaissance de son propre fonctionnement mental et son observation dans la vie de tous les jours. Savoir se fixer un but, planifier les étapes pour y arriver, prendre conscience de ses propres pensées et émotions... D’après des recherches récentes, développer cette compétence métacognitive, ce serait un véritable atout pour la réussite à l’âge adulte. En partenariat avec Cerveau et Psycho
Développez vos compétences métacognitives
La métacognition est, comme nous l’avons vu dans un article précédent, cette capacité à prendre un recul réflexif sur ses propres processus cognitifs. Développer cette faculté serait l’une des meilleures façons d’améliorer ses apprentissages. L’OCDE insiste d’ailleurs sur le fait qu’une éducation adaptée au 21e siècle doit accorder une place centrale à l’évaluation des compétences métacognitives dans l’évaluation globale des jeunes apprenants. S’il est en effet souhaitable de commencer à cultiver ces compétences dès la petite école, il n’est jamais trop tard pour s’y mettre. Au contraire! Puisqu’avec sa maturité, son expérience et son besoin marqué d’autonomie, l’apprenant adulte est en bonne posture pour les développer au maximum. Quelles sont-elles? Il n’existe pas de liste formelle et exhaustive des compétences métacognitives. Savoir… Voir et faire les choses autrement Prendre conscience que… L’apprentissage peut prendre des formes très diverses.L’on peut devenir un meilleur apprenant!