Finalités et enjeux du management intergénérationnel Le management intergénérationnel s'impose comme un nouveau référentiel dans lequel il est essentiel d'identifier les compétences à développer, les pratiques gagnantes et les points de vigilance. Le Management intergénérationnel s’impose comme un enjeu clé du fait du renouvellement démographique que nous sommes en train de vivre en France : entre 2008 et 2020, il sera d’un tiers des effectifs et il n’y a pas d’équivalent depuis la dernière guerre mondiale. Chacune des générations est l’héritage de sa propre histoire sur le plan culturel, économique ou social. Ces générations n’ont pas la même relation à l’autorité, l’organisation et au temps. L’histoire de la Génération des Baby boomers (nés entre 1946 et 1964) est marquée par la croissance économique des 30 glorieuses, mai 68 et l’émergence des grands projets européens. Aujourd'hui, les managers doivent prendre en compte cette diversité et en faire une richesse au service de la performance. Les enjeux sont clairement identifiés :
Disneyland Paris XEnvoyer cet article par e-mail Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Vous pourrez le lire ultérieurement (ordinateur, tablette, mobile) en cliquant sur « votre compte » Fermer Business model Le succès est incontestable, mais le rêve a un coût Ce n’est pas un produit mais une expérience ; pas un parc à thème mais une destination… Chez Disneyland Paris, le choix des mots a son importance. Sur cette promesse – et sur certains efforts d’adaptation -, l’enseigne a su se fondre dans le paysage français. Des niveaux de fréquentation records assortis d’un taux de satisfaction de 89 %, une notoriété qui ignore les frontières autant que les générations, un titre de 1re destination touristique d’Europe et un autre de 5e pôle hôtelier de France… En langage non-comptable, cela s’appelle une success story, c’est bien ainsi que peut se lire l’histoire de Disneyland Paris. Pourtant, le modèle est viable. Restait à le faire savoir.
Disneyland Paris: Mécontents des conditions de travail, ils déversent les poubelles du parc Depuis ce samedi matin, le parc Disneyland Paris est beaucoup moins magique qu’à son habitude. Et pour cause, une soixantaine de salariés de la société de nettoyage Elior, prestataire du parc ont exprimé leur ras-le-bol contre leur condition de travail. Ces derniers ont mené une opération coup de poing en renversant plusieurs poubelles du parc et en dispersant les déchets alors que les visiteurs allaient pénétrer dans le royaume de Mickey, habituellement si propre. Ces derniers qui ne se sentent plus écouter par leurs revendications, réclament aujourd’hui un changement de direction. Malgré la manifestation des salariés, le parc reste ouvert au public et toutes les attractions fonctionnent normalement. Source: Paris-luttes.info et Leparisien l’Article a été lu [post_view time= »day »] fois aujourd’hui et lu [post_view] fois au total.
Le malaise grandit chez les employés de Disneyland Depuis le début de l'année, deux employés du parc d'attractions parisien se sont suicidés. La direction refuse de les lier avec les conditions de travail. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Antonin Sabot Dans un décor de carton-pâte, Mickey salue la file d'enfants qui attendent de se faire prendre en photo devant sa maison. Soudain, à l'intérieur, le téléphone sonne. Mickey va répondre. Depuis le début de l'année, le parc a connu deux suicides d'employés. En ces vacances de Pâques, les allées sont bien remplies, même si ce n'est pas encore la bousculade de l'été. "Depuis environ cinq ans, nous assistons à une dégradation des conditions de travail", fait remarquer Noël Barbier, membre de la CFTC Disney. Pour Nzale Bola-Botema, salarié syndiqué à Force ouvrière et délégué du personnel hôtelier, c'est justement sur les salariés qui sont dans l'entreprise depuis longtemps que pèsent le plus ces mesures et qui les vivent le plus mal. Les plus anciens, eux, ne sont pas à la fête.
ENQUÊTE : DISNEYLAND PARIS, LA RÉALITÉ DERRIÈRE LES SOURIRES | Thomas Suinot Contexte • Disneyland Paris est un complexe de loisirs qui s’étend sur près de 2 000 hectares, à Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne). Unique en Europe, il a ouvert il y a 17 ans (lire encadré). Chaque année, il accueille en moyenne 14 millions de visiteurs, dont «30 % sont des étrangers», assure-t-on chez Disney. L’actu a interviewé des jeunes qui travaillent, ou ont travaillé, à Disneyland Paris. Les coulisses • Travailler à Disneyland Paris est-il aussi magique que l’univers Disney semble l’être ? Les rôles • «Je travaille ici chaque été depuis quatre ans, explique Loïs, 25 ans. Loïs, groom à « La Tour de la terreur » et Audrey, hôtesse polyvalente. La surveillance • D’anciens employés et d’autres rencontrés dans le parc précisent des éléments que la direction ne voulait pas communiquer. « Une excellente école » pour Franck, « pire qu’au McDo » selon Patrick. * Les prénoms sont modifiés. Le saviez-vous ? Un complexe aux noms complexes1992.
Disneyland Paris : dans les coulisses d'une usine à rêves La fièvre monte à Disneyland Paris. Le 1er avril, le plus grand parc d’attractions européen lancera les célébrations marquant le vingtième anniversaire de son inauguration à Marne-la-Vallée. Et les festivités seront, à n’en pas douter, à la hauteur de l’événement. Loi du sourire. Pour l’heure, menuisiers, peintres et ébénistes mettent donc les bouchées doubles pour terminer les chars de la parade, les couturiers s’affairent sur les plis de la nouvelle robe de Blanche-Neige… Dans les immenses salles de répétition, des dizaines d’artistes transpirent pour enchaîner des chorégraphies inédites. Bienvenue à Disneyland Paris, le pays où tous les salariés sont tenus d’incarner la magie et le rêve. 150 millions de rallonge. Trente minutes d’entretien. Opérations casting. Académie Disney. Le spectacle d’abord. Rendez-vous de qualité. En débarquant en Europe, Mickey a importé un autre principe, issu du sacro-saint rêve américain, selon lequel tout le monde peut réussir. Le Smic plus 1%.
J'ai testé pour vous... travailler à Disneyland Paris — Initialement publié le 16 mars 2012 Quand on dit le mot « Disney » à des gens, un phénomène étrange se produit (et je suis certaine qu’une majorité d’entre vous l’a déjà expérimenté). Victimes d’une sorte de démence incontrôlable, leurs yeux se remplissent d’étoiles, leur mains se mettent à applaudir frénétiquement, leur bouche, pleine d’écume, fredonne des airs de contes de fées. Bref, ils atterrissent en Enfance, ce pays lointain où Mickey est Dieu, où les bons gagnent toujours et les belles attendent leur prince charmant en chantant… Alors quand ils arrivent à Disneyland Paris, tout est là : la magie existe, l’air sent bon la barbe à papa, la vie est rose et tous les enfants sont heureux. Sur le sentier de la guerre Si j’étais mauvaise langue, je dirais que c’est ce que veulent nous faire croire les affiches et autres pubs télévisées mais ce serait un mensonge. Moi, c’est le hasard qui m’a conduite à Marne la Vallée. Enrôlez-vous Au turbin ! Évolutions et aspects positifs
Chaleur d'enfer, sales gosses et vie de porc : les joies d'un personnage à Disneyland Gare aux raz-de-marée de bambins quand on porte un costume à Disneyland (LORENVU/SIPA). Tous les regards se sont tournés vers moi. Les gosses se sont exclamé "t’as vu !?". Et j’ai pensé : "ah oui, c’est vrai, je suis un personnage Disney"… Avant d’être lâchée dans le parc d’attraction, j’ai suivi une semaine de formation. Le but était d’apprendre à marcher comme Mickey ou Donald (en levant les coudes), apprendre à saluer, à lever le pouce et connaître les signatures des 26 personnages, en français et en anglais, que je devais incarner. 10 degrés en plus sous le costume Il fait très chaud dans un costume. Le temps d’animation est limité à 30 minutes, et 20 minutes les jours de forte chaleur, avec 30 minutes de repos. Heureusement, il y a un accompagnateur qui s’assure que tout va bien pour nous. Dingo malade Seulement parfois, il y a urgence… Je me souviens d’un Dingo qui n’en pouvait plus à cause de la chaleur. Il n’a même pas eu le temps d’avertir son accompagnateur. Les sales gosses