Camping sauvage : en France et ailleurs, quels conseils ? Dès que l'occasion se présente, un congé, les vacances d'été ou d'hiver, nombreux sont ceux qui s'adonnent à leur activité préférée : le camping sauvage. La pratique du camping sauvage connaît assurément une hausse depuis les dix dernières années et devance même le camping sur les emplacements privés. Goût de l'aventure, de l'improviste, mais surtout de la nature sauvage en sont les principales motivations. Cette activité est justement prisée par les amoureux de la nature dans son état pur. Car le camping sauvage se définit comme une sorte de camping dont la différence réside dans la nature sauvage du lieu choisi pour le pratiquer. Par son nom, on comprend que ce type de camping est pratiqué dans un lieu non pré installé. Si vous êtes de passage dans la région suédoise, notez que cette activité est autorisée selon le droit coutumier de la Constitution de 1994, qui stipule cependant la nécessité d'effectuer des modalités relatives au droit de passage dans des espaces naturels étrangers.
Antiquité Google Map au temps des Romains : un vrai voyage dans le temps vous est proposé par une équipe d’historiens, de géographes et d’informaticiens de l’université de Stanford. Prenez vos mules favorites – pas les chaussures – pour transporter vos provisions. Saisissez votre bouclier et arborez fièrement votre armure. En route pour un Roma – Lugdunum ou encore un Londinium – Jerusalem (ah! Par toutatis, comment peut on faire ça? Il suffit de recréer un réseau de 84 000 km (en comptant les 900 routes maritimes répertoriées) et de l’agrémenter de 750 lieux de passage en s’appuyant sur de nombreux travaux d’historiques. Pour finir, il vous faudra compter 42 jours pour le premier voyage évoqué dans ce billet et 54 jours pour le second si vous voyagez en janvier. Carte de l’Afrique romaine entre 69 et 439 (Afrique du Nord)
Cimetières de France et d'ailleurs Ce site vise à promouvoir le patrimoine funéraire dans toutes ses formes : célébrités, tombeaux esthétiques, aspects architecturaux, mémoriels, anecdotiques… En maintenant plus de quinze ans d’existence, il est devenu, tant pour les particuliers que pour les professionnels, le site de référence du patrimoine funéraire. L’auteur unique des articles de ce site (mais secondé par une armada de fidèles et de correspondants passionnés qui donnent à ces pages leur raison d’être) : Philippe Landru, professeur agrégé d’histoire, spécialiste des cimetières, empêcheur d’oublier en rond, organisateur de visites pour tous les publics. Vous souhaitez faire une visite du Père-Lachaise, du cimetière Montmartre, de Passy ou du cimetière Montparnasse ? Visiter un cimetière moins balisé (Cimetière de Bagneux, de Pantin…) ? Une question ? Bonne visite. Philippe LANDRUphilandru@aol.com
L'Armorial Et qu'est-ce qu'il y avait là, avant ? Dans un monde de nouveauté, le classicisme parait suranné; pour intéressants et inspirants qu’ils soient, les classiques sont du passé. Une oeuvre dont le principe demeure vivant devient un classique avec le temps. L'Art de la guerre pour un soldat, la théorie des couleurs pour un peintre, la gravitation universelle pour un physicien, Le petit Chaperon rouge pour les enfants, les parents et enseignants, etc. Intéresser les jeunes aux classiques ? En préparant ce dossier, nous avons bien sur rencontré les classiques de la littérature et quelques autres, mais nous avons aussi redécouvert la pédagogie «classique» et, surprise, ses fondements nous ont semblé de la plus grande actualité. Ceux qui créent des classiques ont démontré une discipline parfois incroyable… On peut se laisser inspirer. Illustration : Canova Antonio : Socrate buvant la cigüe, Wikimedia
Les Templiers et les Croisades La Boite à Outils des Historiens déclarations féodales, chartriers, papiers censifs L'hommage est l'acte par lequel un vassal donne sa foi à son seigneur. L'aveu celui par lequel un vassal avour tenir de son seigneur un bien foncier. Le terrier contient ces actes. Il est aussi appelé chartrier, ou encore papier censif. Ces déclarations féodales concernent des biens fonciers, y compris des ventes car le seigneur prélève un droit de mutation (c'est de nos jours l'Etat qui le prélève via le notaire). Les aveux sont rendus au seigneur lors des assises, tenues par le sénéchal seigneurial et son greffier. Lors des successions ou ventes, ils permettent parfois de remonter les possesseurs. Les descriptions des biens fonciers, souvent issus de divisions de biens, d'indivis, etc..., permettent à partir du bornage avec le nom des voisins de reconstituer certains partages (ou tout au moins présomption) J'ai une très grande expérience de leur utilisation du 15e au 17e siècles (connaissances paléographiques approfondies obligatoires) dont je retiens : Séries E et J des A.D.