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NoiseTube

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Les smartphones identifient et situent la pollution sonore Le laboratoire de sciences informatiques de Sony transforme les téléphones en capteurs qui localisent la source du bruit et son intensité. Le but : dresser une carte de la pollution acoustique dans les villes. Les Etats-membres de l'Union Européenne ont l’obligation de créer tous les cinq ans une carte de la pollution acoustique dans les zones urbaines. Au lieu d'installer des capteurs souvent très coûteux, Sony Computer Sciences Laboratory propose de mobiliser les citoyens en leur permettant d'utiliser leurs smartphones pour fournir des informations nécessaires. Carte sonographique de Montréal À propos de la carte sonographique Montréal La carte sonographique est une façon efficace d’archiver des environnements sonores. Cet outil recueille des données qui puisent dans les différents domaines politique, artistique, culturel, historique et technologique. L’objectif visé par la création de la carte sonographique de Montréal est de concrétiser une collection des sons enregistrés à la grandeur de l’ile. Contributions Les envois de fichiers sonores sont acceptées en tout temps. Licence Creative Commons Paternité-Partage des Conditions Initiales à l'Identique Vous êtes libres de reproduire, distribuer et communiquer cette création au public et de modifier cette création. Selon les conditions suivantes: Paternité. Partage des Conditions Initiales à l'Identique. Contactez-nous Max Steinmaxwell.stein@gmail.com Julian Steinjulian.stein@gmail.com

Les actions de l'utilisateur n'ont plus de secret pour son mobil SurroundSense analyse les informations optiques, acoustiques et de mouvement fournies par le téléphone portable. Le but : déterminer précisément l'endroit où se trouve la personne, et ce qu'elle y fait. Le mobile ne doit plus seulement indiquer la position géographique de son propriétaire, mais également son activité.

Dernier ancêtre commun universel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un arbre phylogénétique reliant tous les grands groupes d'organismes vivants au dernier ancêtre commun universel. Ce graphique est dérivé de séquences d'ARN ribosomique données. Le dernier ancêtre commun universel ou DACU[1] est le plus récent organisme (datant d'environ 3,5 à 3,8 milliards d'années)[2][3] dont sont issues l'ensemble des espèces vivants actuellement sur Terre. L'acronyme LUCA venant de l'anglais Last Universal Common Ancestor est souvent utilisé pour désigner ce dernier ancêtre commun à toutes les formes de vie connues actuellement. Description[modifier | modifier le code] tous les êtres vivant actuellement en descendent ;chacune de ses deux cellules filles a au moins un descendant vivant aujourd'hui (sans quoi une des cellules filles est en fait le LUCA réel). LUCA ne doit pas être confondu avec le premier organisme vivant. Désignation[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Les applications dans les nuages menacées par les pirates ? En 2010, les cyberdélinquants multiplieront leurs attaques contre les services virtualisés et les données hébergées dans les nuages. Les réseaux sociaux sont également concernés, victimes d'opérations de phishing. Alors que les solutions de cloud computing se multiplient, Trend Micro prévoit qu'en 2010 les pirates multiplieront leurs attaques pour accéder aux données hébergées dans les nuages.

Le chômage est un signe de santé et de progrès On ne viendra jamais à bout du chômage car le chômage est avant tout un signe de santé et de progrès. Il est donc inutile de le combattre : il faut au contraire l’intégrer pleinement dans notre économie et le considérer non pas comme un désastre mais comme signe extérieur de progrès. Je m’explique : On oublie constamment que la cause principale du chômage provient des formidables progrès technologiques dont nous bénéficions depuis plus d’un siècle. Un nombre incalculable de corvées et de professions a disparu en raisons de nos avancées technologiques, et c’est une bonne chose pour l’Humanité tout entière. La réponse est extrêmement simple : technologiquement, nous sommes au 21e siècle alors que sur le plan politique et social nous pataugeons encore en plein 19e siècle ! Nos lois, nos règles, notre organisation, notre conception du travail, fonctionnent toujours selon des schémas vieux de plus de cent ans et totalement inadaptés à notre environnement technique. Pas si sûr ! Et alors ?

Sany favorise l'exploitation des capteurs environnementaux Pour une meilleure propagation des données récoltées à travers le monde, des chercheurs proposent une plate-forme de standardisation et d'échange de ces informations. Difficile de rendre accessibles à des acteurs externes les données enregistrées par les capteurs répartis dans le monde sur les conditions terrestres, atmosphériques, océaniques, etc. Afin d'y remédier, un groupe de chercheurs européens* propose de mettre en place un "marché des données environnementales".

Entomophagie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les insectes les plus utilisés dans l'alimentation humaine sont les abeilles (l'espèce domestique comme les espèces sauvages) à travers l'une de ses productions : le miel. Celui-ci, qu’il soit liquide ou visqueux, a été passé dans un filtre afin de le débarrasser de ses impuretés (morceaux de cire et éventuellement larves). La qualité nutritive du miel non filtré serait pourtant appréciée par plusieurs peuples[4]. C’est le cas aussi de la chasse au miel sauvage. Histoire[modifier | modifier le code] Avant que les hommes aient des outils pour la chasse ou à l'agriculture, les insectes peuvent avoir représenté une partie importante de leur régime alimentaire, comme en attestent les nombreux fragments d'insectes (coléoptères, criquets, poux, tiques, mites) retrouvés dans les coprolithes humains de grottes aux États-Unis 9 500 ans BP et au Mexique 5 400 ans BP[9]. La valorisation de la consommation d’insectes[modifier | modifier le code]

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