L'électricité va-t-elle enfin se débarasser de son fil ?
La plaie des appareils sans fil, ce sont… les câbles et les transformateurs. Qui dit sans fil dit en effet batteries. Qui dit batteries dit chargeurs. Et les chargeurs restent des appareils... à fil. Ainsi, l'homme moderne passe-t-il une partie non négligeable de son temps à penser à recharger ses appareils nomades, à les brancher (après avoir retrouvé le «bon» chargeur et déniché une prise libre) et à les débrancher. Est-ce vraiment insupportable ? Certes, on peut estimer que la gène est largement équilibrée par les services considérables apportés par les technologies sans fil. L'alarme d'un téléphone déchargé C'est cette dernière situation qui a conduit un chercheur à s'atteler au problème. Passer de l’information sans fil à la puissance sans fil n’est pas chose aisée. Et cela marche. Recharge sans fil de voitures électriques La Corée se lance L’électricité sans fil connaît ainsi un démarrage prometteur. Bus, trams, trains à grande vitesse... Michel Alberganti
Imprimante 3D pour fabriquer des organes !
MULTIFONCTION. Avec une imprimante 3D on peut quasiment tout reconstruire des maquettes d’architectes, des lampes ou des décors de cinéma (la preuve ici et ici !). Du coup pourquoi ne pas imaginer fabriquer des organes humains en utilisant la même méthode ? S’il est encore trop tôt pour obtenir sur commande un rein ou un cœur ainsi conçus, une équipe de l’Heriot-Watt University, en Ecosse, a réalisé la toute première étape de ce processus. Bioprinting et cellules souches BULLES. Une prouesse tant les CSE humaines sont fragiles. « A notre connaissance, c'est la première fois que ces cellules ont été imprimés en 3D. Tests médicamenteux et reconstruction d’organes Si la création d’un véritable organe fonctionnel n’est pas prévue de sitôt, cette nouvelle technique s’avère prometteuse pour d’autres domaines. « À plus long terme, nous envisageons de créer des organes viables en 3D pour l'implantation médicale à partir des propres cellules du patient » espère le chercheur.
Innovation: Une pile qui fonctionne à l'eau! - Suisse
Innovation Une batterie écolo, qui se charge grâce à tout liquide à base d’eau, sera commercialisée en Suisse dans quelques jours. Et c’est une première mondiale. 1/5 OUVERTURE A l'aide d'un petit morceau de plastique (constitué en fait de maïs recyclé), ouvrir l'arrière de la batterie afin de dévoiler l'intérieur du tube. En chiffres 20 milliards La quantité de piles qui sont consommées chaque année dans le monde. 70%Le pourcentage de piles ramenées chaque année en Suisse dans les points de collecte. 75%Le pourcentage du marché de la pile occupé par les modèles AA. Signaler une erreur Vous avez vu une erreur? Veuillez SVP entrez une adresse e-mail valide Partager & Commenter Votre email a été envoyé. «Ça a un côté magique. Ce produit ne s’adresse pas uniquement aux défenseurs de l’environnement, mais aussi au marché de l’urgence. Seul bémol, sa puissance est un peu moins grande que celle d’une pile ordinaire. Fabriquée en Chine
Eel Energy, l’hydrolienne-membrane
Une révolution technologique pour les hydroliennes. Jean-Baptiste Drevet nous invite à passer dans la salle de bain d’un appartement parisien. Là, dans une cuve de la taille d’une grande baignoire, une sorte de long tapis ondule dans le courant. « Voilà mon hydrolienne » explique l’ingénieur. L’homme, diplômé des Arts et Métiers, a déjà secoué, il y a quelques années, le monde industriel, avec une pompe membranaire de son invention qu’il distribue aujourd’hui à des groupes tels qu’Areva, Suez ou Saint-Gobain et qui a aussi des applications médicales. « Je suis revenu aux bases de la physique appliquée pour concevoir ces pompes à membranes ondulantes. A les voir fonctionner, je me suis dit qu’il devait être possible de générer de l’énergie à partir du couplage d’un fluide sur une structure ondulante. » Essais réalisés en septembre 2012 au bassin d… par eelenergy L’ingénieur ne se contente pas d’essais dans sa salle de bain. Crédits Photos : © G. Posts similaires:
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