Karl Marx Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Marx. Karl Marx Philosophe occidental Époque contemporaine Karl Marx en 1875 Il est connu pour sa conception matérialiste de l'histoire, sa description des rouages du capitalisme, et pour son activité révolutionnaire au sein du mouvement ouvrier. Biographie[modifier | modifier le code] Maison natale à Trèves, devenue le musée Karl Marx. Études[modifier | modifier le code] Engagement[modifier | modifier le code] À Berlin, il appartient au cercle des « hégéliens de gauche », dénommés aussi « jeunes hégéliens » (avec Bruno Bauer et d'autres) qui cherchent à tirer des conclusions athées et révolutionnaires de la philosophie de Hegel. Le journal d'opposition Rheinische Zeitung[modifier | modifier le code] Au début de 1842, certains bourgeois libéraux de Rhénanie, en contact avec les hégéliens de gauche, créent à Cologne un journal d'opposition au clergé catholique, la Rheinische Zeitung (« Gazette rhénane »).
Le libéralisme face à la social-bourgeoisie : L'Hérétique (Démoc C'est marrant, aujourd'hui, en France, si vous voulez afficher un énorme chiffon rouge, brandissez l'étendard du libéralisme : vous êtes à peu près certains d'être chargé par une horde de bovidés enragés. C'est qu'en effet, l'on accuse le libéralisme de tous les maux. Curieux. A travers la fiscalité, les États démocratiques nous taxent jusqu'à la moëlle, tandis que les régimes autoritaires limitent autant qu'ils le peuvent les libertés individuelles. Je crois que le pire des maux qui assaillent notre civilisation démocratique, c'est le copinage généralisé au plus haut sommet des états mais aussi des très grandes entreprises. Pourquoi "Social Bourgeoisie" ? Pour ma part, je le dis et je le redis : le coeur du libéralisme, dans le domaine économique, c'est la concurrence libre et non faussée. Voilà pourquoi les libéraux ne peuvent absolument pas se reconnaître dans le nouvel ordre mondial, et encore moins dans le bonapartisme de Nicolas Sarkozy.
Friedrich Engels Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Friedrich Engels Friedrich Engels, né le 28 novembre 1820 à Barmen (une ancienne ville devenue aujourd'hui l'un des quartiers de la ville de Wuppertal) et mort le 5 août 1895 à Londres, est un philosophe et théoricien socialiste allemand, grand ami de Karl Marx. Après la mort de ce dernier, il assure, à partir des brouillons laissés par son auteur, la rédaction définitive et la publication des livres II et III du Capital. Engels a été militant de la Ligue des communistes et de l'Association internationale des travailleurs. Biographie[modifier | modifier le code] Marx et Engels. D'une situation industrieuse à la situation de la classe laborieuse[modifier | modifier le code] Il est issu d'une famille d'industriels, son père ayant fait fortune dans l'industrie du textile. En 1842 il s'installe en Angleterre, à Manchester, et travaille dans une société industrielle où son père a des intérêts. Rencontre et révolution[modifier | modifier le code]
Faut-il privatiser ou nationaliser ? Ni l’un ni l’autre Président ! Voici qui pourrait résumer une conversation tardive avec un ami à la fin d’une soirée, pas plus arrosée pour lui, plutôt musulman, que pour moi, ascète quasi intégriste. Mon ami est un patron de gauche. Il reconnait que la privatisation ne résout pas tous les problèmes et qu’elle les aggrave souvent (tout en reconnaissant que beaucoup de gens ont besoin d’un coup de pied au cul pour se le bouger). Il aurait tendance à favoriser l’étatisme, qu’il juge plus équitable (tout en sachant que les fonctionnaires ont aussi besoin de coups de pied au cul). J’ai alors tenté maladroitement de lui expliquer qu’il existait au moins une autre possibilité. Schématiquement, la droite est plutôt favorable à la privatisation, à l’entreprise individuelle, à la liberté d’entreprendre. Mais comment fonctionnent les entreprises nationalisées ? Pourquoi j’accorde tant d’importance à cette dernière ? On a bien tenté une autre approche : le collectivisme. Sommes-nous coincés ?
Cornelius Castoriadis Cornelius Castoriadis en 1990. Cornelius Castoriadis [kɔʁneljys kastɔʁjadis][1] (en grec moderne : Κορνήλιος Καστοριάδης [korˈneːlius kastoriˈaðis][2]), né le 11 mars 1922 à Constantinople et mort le 26 décembre 1997 à Paris 7e[3], est un philosophe, économiste et psychanalyste grec, fondateur avec Claude Lefort du groupe Socialisme ou barbarie. Il consacra une grande partie de sa réflexion à la notion d'autonomie, comme disposition à faire être du nouveau, projet de société visant l'autonomie individuelle et collective, soit une démocratie « radicale », qu'il opposait à l'hétéronomie, constitutive selon lui des sociétés religieuses et traditionnelles, ainsi que des régimes matérialistes productivistes industriels, capitalistes et communistes. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] En 1948[4], il devient économiste à l'OCDE, poste qu'il occupe jusqu'en 1970[14]. Socialisme ou barbarie (1949-1967)[modifier | modifier le code]
L'école de Chicago et l'école Autrichienne, des divergences fondamentales Un Guest Post signé Xavier Méra - Publication initiale: Institut Hayek La tradition libérale est généralement associée à deux écoles contemporaines de pensée économique. D'un côté, l'école de Chicago, dont le représentant le plus fameux fut sans doute Milton Friedman. De l'autre, l'école autrichienne dont Friedrich Hayek (photo, à gauche) fut la figure la plus reconnue. On est souvent tenté d'ignorer ou de diminuer leurs différences, peut-être pour des raisons stratégiques. Il devrait néanmoins être clair que les affinités entre les deux écoles sont largement surestimées, chez les libéraux comme chez leurs adversaires, et superficielles quand elles existent bien. Un désaccord épistémologique Tout d'abord, le fait est que les deux écoles sont en désaccord fondamental d'un point de vue épistémologique. Négliger les différences d'approches entre les deux écoles parce qu'elles aboutiraient aux mêmes conclusions revient à dire qu'on se fiche de la question épistémologique fondamentale.
Raymond Aron Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Aron. Raymond Aron Philosophe occidental XXe siècle Raymond Aron (à gauche) en 1966. Raymond Claude Ferdinand Aron, né le 14 mars 1905 à Paris et mort le 17 octobre 1983 à Paris, est un philosophe, sociologue, politologue, historien et journaliste français. Pendant trente ans, il est éditorialiste au quotidien Le Figaro. Il garde néanmoins tout au long de sa vie un ton modéré. Famille[modifier | modifier le code] Raymond Aron est issu d'une famille juive et d'un milieu plutôt aisé des deux côtés. Cette fortune a permis aux trois enfants Aron de mener une vie aisée et de faire des études. Études[modifier | modifier le code] En 1928, il est reçu 1er à l'agrégation de philosophie, alors que Sartre est recalé à l'écrit, avant d'être à son tour reçu 1er l'année suivante, et avec un total de points supérieur à Aron l'année précédente[13]. Carrière professionnelle[modifier | modifier le code]
Un énarque en terre "ultra-libérale" La fin du statut de fonctionnaire L’esprit français « armé d’un cartésianisme en forme de couteau suisse, et qui trouve diverses traductions, dont celle du maintien absolu des acquis sociaux » défend coûte que coûte une fonction publique représentant 21,6 % des actifs, dont 4,3 millions sous statut de fonctionnaire à vie. A l’autre bout du monde, sous les latitudes australes, la fonction publique néo-zélandaise ne représente que 12,7 % des actifs, pour une population totale estimée à 4 millions d’habitants. C’est le fruit d’une réforme menée dans la seconde moitié des années quatre-vingts par un gouvernement travailliste fraîchement élu sur un programme clairement libéral. "Te Ihi, Te Mana, Te Mātauranga - Permettre une pleine éducation" C’est en effet en tentant de comprendre à quel type d’éducation il va confier son fils, qu’il commencera par se documenter. Les établissements sont en effet indépendants. La dérive de l’Etat omniprésent
Hannah Arendt Signature Hannah Arendt, née Johanna Arendt[1] le 14 octobre 1906 à Hanovre et morte le 4 décembre 1975 dans l'Upper West Side (New York), est une politologue, philosophe et journaliste allemande naturalisée américaine, connue pour ses travaux sur l’activité politique, le totalitarisme, la modernité et la philosophie de l'histoire. Elle soulignait toutefois que sa vocation n'était pas la philosophie mais la théorie politique (« Mein Beruf ist politische Theorie »)[2]. C'est pourquoi elle se disait « politologue » (« political scientist »)[3] plutôt que philosophe. Son refus de la philosophie est notamment évoqué dans Condition de l'homme moderne où elle considère que « la majeure partie de la philosophie politique depuis Platon s'interpréterait aisément comme une série d'essais en vue de découvrir les fondements théoriques et les moyens pratiques d'une évasion définitive de la politique »[4]. Biographie[modifier | modifier le code] Vie et études en Allemagne[modifier | modifier le code]
Mais non, le libéralisme, ce n'est pas le Diable Tiens, v'là l'Nicolas qui se lâche contre les libéraux et invite de surcroît toute la gauchosphère à en faire autant. Nicolas pense qu'il y au moins 17 raisons (7+10) de se moquer des libéraux. Ce qui est drôle, c'est qu'il y en a toujours au moins une de se moquer de la gauche toute entière (ou presque) : chaque fois qu'elle parle des libéraux, elle est profondément comique. Il faut dire qu'un certain nombre de libéraux y concourent : ils ont une relation au syndicalisme qui ne laisse de m'étonner. Certes, il y a des syndicats gauchistes, et beaucoup même, mais enfin, à plus d'un point de vue, le syndicalisme est une conquête du libéralisme, parce qu'il repose avant toutes choses sur le droit d'association. Or, le droit d'association est l'un des fondements du libéralisme. Que font les syndicats, sur le fond, eh bien ils essaient de se défendre contre des forces qui les dépassent souvent. Il n'était à cette époque question ni d'égalité, ni de fraternité.
Trotskisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le trotskisme (l'orthographe trotskysme étant également utilisée) peut faire référence : aux idées de Léon Trotski (ou Trotsky), militant communiste révolutionnaire russe, dirigeant aux côtés de Lénine de la Révolution russe de 1917, exclu du Parti communiste de l'Union soviétique en 1927 et banni de l'URSS en 1929 après la victoire de Staline incarnant, selon lui, la bureaucratie russe parasitaire ;à une partie des courants se réclamant du communisme révolutionnaire et opposés au stalinisme, regroupés en 1938 au sein de la Quatrième Internationale. Les trotskystes, critiquent la dérive bureaucratique stalinienne. Idées générales[modifier | modifier le code] Les trotskistes se réclament du communisme révolutionnaire, et des idées de Karl Marx, de Friedrich Engels, de Lénine, et bien sûr de Léon Trotski. Les organisations trotskistes se réclament du communisme révolutionnaire et veulent mettre fin au capitalisme.
Plaidoyer pour une vraie liberté d'expression en France Liberté d'expression : une liberté fondamentale La liberté d'expression, qui inclut la liberté de s'exprimer, de publier, d'informer, de manifester, de débattre, est absolument fondamentale dans toute société prétendant protéger les droits de l'homme. Sans liberté d'expression, point de réelle liberté d'opinion - A quoi servent des opinions que l'on doit garder pour soi ? -, point de liberté de rechercher des personnes partageant les mêmes centres d'intérêts en vue d'association, point de liberté de proposer des choix politiques variés, de publier des informations, des résultats de recherche, des œuvres artistiques, point de liberté de faire valoir ses droits face à l'oppression... L'exception française à l'oeuvre Pourtant, en France, prétendument pays des droits de l'homme, cette liberté d'expression a constamment fait l'objet de remises en causes dont certaines sont passées dans la loi. Détournement de "bonnes" intentions Prenons les incitations à la haine raciale ou xénophobique.
Max Weber Maximilian Carl Emil Weber (Alemán: [ˈmaks ˈveːbɐ](Erfurt, 21 de abril de 1864 – Múnich, 14 de junio de 1920) fue un filósofo, economista, jurista, historiador, politólogo y sociólogo alemán, considerado uno de los fundadores del estudio moderno de la sociología y la administración pública. Pero, con un marcado sentido antipositivista. A pesar de ser reconocido como uno de los padres de la sociología, Weber nunca se vio a sí mismo como un sociólogo, sino como un historiador;[1] para él, la sociología y la historia eran dos empresas convergentes. Sus trabajos más importantes se relacionan con la sociología de la religión y el gobierno, pero también escribió mucho en el campo de la economía. Weber argumentó que la religión fue uno de los aspectos más importantes que influyeron en el desarrollo de las culturas occidental y oriental. Biografía[editar] Max Weber. Los inicios[editar] Estudios[editar] En 1882, Weber ingresó en la Universidad de Heidelberg como estudiante de Derecho.
Savez-vous vraiment ce qu’est le libéralisme Exposé fait à Bayonne, Bordeaux, Dax, Mont-de-Marsan, Paris, devant divers auditoires Je précise tout de suite que je ne vais pas parler de politique : ma brève incursion dans le monde politique m’a appris qu’il n’y a pas de parti complètement libéral, et que la plupart des hommes politiques sont plus prompts à nous forcer à entrer dans le système qu’ils préconisent, à coup de lois et de règlements, plutôt que nous laisser vivre comme nous l’entendons. Entre parenthèses, cela reflète de leur part un mépris certain pour l’individu, puisqu’ils ne le croient pas capable de se conduire honnêtement et solidairement s’il ne rentre pas dans leur système. Or c’est évidemment le contraire qui se produit. L’individu ne recherche plus la vertu lorsqu’il lui suffit d’appliquer les règlements pour se donner bonne conscience, et il ne ressent plus le besoin d’être solidaire lorsque l’Etat l’est à sa place. Dans notre pays, la pensée libérale est ancienne et profonde.