Enfermée depuis 53 ans, une plante a créé son propre écosystème pour survivre
Un jardinier amateur, David, a eu l’idée de planter un végétal dans une bouteille et de la sceller hermétiquement… pour toujours ! Découvrez les ingénieux mécanismes que cette plante a dù développer pour survivre… Jardinier génial, David Latimer a eu l’idée, il y a de cela 53 ans, de planter un végétal répondant au doux nom de Tradescantia dans une gigantesque bouteille. Quelques années plus tard, en 1972, il l’arrose pour la dernière fois avant de fermer définitivement la bouteille, de façon à ce que plus aucune particule d’air ne puisse en sortir ou y rentrer. Comment cela est-il possible ? Les feuilles mortes quant à elles pourrissent au fond du pot et produisent ainsi naturellement du dioxyde de carbone indispensable à la photosynthèse, tout en fournissant des éléments nutritifs pour les racines. C’est stupéfiant d’observer une plante s’épanouir dans un espace complètement confiné !
Des scientifiques souhaitent redonner vie à 24 espèces disparues
Jurassic Park a sûrement inspiré ces scientifiques ! Surtout quand ils décident de ressusciter des espèces d’animaux disparues. Imaginez que le grand Mammouth ou le terrifiant Tigre à dents de sabre reviennent sur Terre. Mais comment est-ce possible ? C’est durant la conférence TEDx tenue à Washington DC que des scientifiques ont dévoilé avoir l’ambition de ressusciter d’anciennes espèces d’animaux aujourd’hui disparues. Les scientifiques ont utilisé de rigoureux critères pour choisir les espèces les plus intéressantes à faire revenir d’entre les morts. La science avance vraiment vite, mais la création d’un animal disparu en bonne santé n’est pas pour demain. Sans oublier le débat éthique derrière une telle entreprise, pourquoi vouloir ressusciter des espèces disparues quand beaucoup de nos animaux sont en voie de disparition ?
10% de nos bouteilles d’eau minérales contiendraient des pesticides
C’est une étude réalisée par le magazine 60 Millions de consommateurs et la fondation France Libertés qui a permis la découverte de pesticides et de médicaments dans nos bouteilles d’eau… L’étude scientifique a porté sur 47 bouteilles d’eau, trois bonbonnes et plus d’une dizaine d’échantillons d’eau du robinet de trois départements. Parmi ces échantillons, on retrouve des traces de pesticides et de résidus de médicaments dans 10 bouteilles et dans l’eau du robinet ! En regardant l’étude de plus près, on trouve les noms des différents composants qui polluent notre eau, de l’atrazine qui est un désherbant, et des médicaments contre le cancer du sein (du tamoxifène)… Cependant l’association relativise cette découverte : « Dans tous les cas, il ne s’agit que de traces qui ne remettent pas en cause la potabilité de l’eau. Mais elles révèlent à quel point notre environnement peut être contaminé« .
L’ADN, la clé USB de demain ! « Umanlife.com
EMBL-EBI crée un nouveau support de stockage de données: l’ADN 100 millions d’heures de vidéo en haute définition enregistrées dans un volume équivalent à une tasse d’ADN ! Enfin la solution pour archiver les 3000 milliards de milliards de bytes de données existantes ? C’est devenu une solution possible depuis que des chercheurs du LEBM-Institut européen de bio-informatique ont démontré qu’il est possible de stocker une grande variété d’informations dans l’ADN synthétique. Les données stockées peuvent ensuite être récupérées par séquençage de l’ADN. Pour leurs essais, les chercheurs ont ainsi encodé un fichier MP3 avec 26 secondes du fameux discours de Martin Luther King « I Had a dream » et les 154 sonnets de Shakespeare (sous forme de texte ASCII). Le résultat : un petit flocon de poussière d’ADN qui a été envoyé des Etats-Unis vers l’Allemagne où une autre équipe a pu récupérer les fichiers originaux avec une précision de 100%. Sources:
Sustainability in Prisons Project
Des chercheurs ont élaboré une cellule zombie plus efficace morte que vivante
La science fiction en a rêvé, vous en avez rêvé, les américains l’ont fait ! Ils ont réussi à développer une cellule morte… toujours en fonction… Vous avez dit zombie ? On vous explique tout ça… Il s’agit d’une première mondiale, les chercheurs n’en reviennent toujours pas d’avoir réussi leur expérience et que les résultats surpassent ce qu’ils avaient imaginé : la cellule morte s’est montrée plus performante que lorsqu’elle était vivante, on imagine le pire… Les scientifiques du Laboratoire National de Sandia et de l’Université du Nouveau-Mexique ont eu recours à une technique originale. Chauffée à 400°C, la cellule s’évapore littéralement et laisse dans la silice une réplique tridimensionnelle des structures minéralisées et des fonctionnalités complexes de l’organisme vivant qu’elle était avec une précision quasi atomique, tout en préservant la spirale de l’ADN cellulaire.
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