2 ème Commentaire :Dans cet article, nous pouvons examiner,...
FDN -- Internet libre, ou Minitel 2.0 ?
Conférence de Benjamin Bayart aux 8e rencontres mondiales du logiciel libre, à Amiens, le 13 juillet 2007. Cette conférence fait le parallèle, sur quelques aspects (politique, économique, technique, etc) entre les réseaux « ancien style », par exemple le Minitel en France, et Internet. Thierry Stœhr, un des responsables du thème dans lequel s’est inscrite la conférence, en fait un résumé plus complet sur son blog, dans cet article. Trop élogieux, mais plus complet. La vidéo de la conférence est disponible ici (durée 1h04’17, 99Mo), le support de conférence en PDF est disponible là. La vidéo est cadrée sur le conférencier, le fait d’avoir le support sous les yeux, dans une autre fenêtre, permet de mieux suivre, même si ce n’est pas rigoureusement indispensable. La transcription est également disponible sous license CC-BY-SA : au format PDF au format PS pour etre imprimable facilement au format ODT pour etre modifiable.
Vers La richesse des réseaux
Les Presses universitaires de Lyon viennent de faire paraître la traduction française de La Richesse des réseaux de Yochaï Benkler, ce spécialiste des sciences politiques, professeur à la Harvard University, codirecteur du Centre Berkman pour l’internet et la société. Nous vous proposons à cette occasion de découvrir cet ouvrage, qui fait déjà figure de classique, en publiant sa longue introduction qui à l’avantage de donner un réel aperçu des modalités de l’argumentation de Yochaï Benkler… Pour lui, l’enjeu de la société de l’information repose tout entier sur la transformation du mode de production de l’information, de la communication et de la connaissance. L’émergence de l’économie de l’information en réseau nous permet de faire davantage “pour et par nous-mêmes”. Elle réorganise en profondeur l’espace public et vient contrarier l’hégémonie de la production marchande et propriétaire que nous connaissions dans la sphère de la production du savoir, de l’information et de la culture.
3 ème commentaire :Patrice Flichy, Pr de sociologie...
Internet creuse la fracture civique
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Thierry Vedel, politologue Quelles sont les sources privilégiées par les Français pour se tenir au courant de l'actualité politique ? L'Internet tend-il à supplanter les médias traditionnels en matière d'information ? Les réseaux sociaux en ligne redonnent-ils une nouvelle jeunesse aux conversations dans la formation des opinions ? Médias traditionnels face à Internet. Mais en dépit (ou peut-être à cause) de la richesse de l'Internet, c'est toujours à travers les médias traditionnels qu'un grand nombre d'individus s'informent sur la politique. L'enquête Mediapolis permet aussi d'affiner la façon dont les Français combinent les grands médias et l'Internet. Exposition sélective à l'information. Notre enquête confirme ces pratiques d'information sélective. L'enquête Mediapolis retrouve ces résultats, tout en apportant des données supplémentaires sur l'écoute de la radio. L'Internet, nouvel espace public ? Fracture informationnelle.
L'opinion publique n'existe pas, 1972.
Exposé fait à Noroit (Arras) en janvier 1972 et paru dans Les temps modernes, 318, janvier 1973, pp. 1292-1309. Repris in Questions de sociologie, Paris, Les Éditions de Minuit, 1984, pp. 222-235. e voudrais préciser d'abord que mon propos n'est pas de dénoncer de façon mécanique et facile les sondages d'opinion, mais de procéder à une analyse rigoureuse de leur fonctionnement et de leurs fonctions. Ce qui suppose que l'on mette en question les trois postulats qu'ils engagent implicitement. On fait très souvent aux sondages d'opinion des reproches techniques. Une analyse statistique sommaire des questions posées nous a fait voir que la grande majorité d'entre elles étaient directement liées aux préoccupations politiques du « personnel politique ». Ayant dit au commencement ce que je voulais dire à la fin, je vais essayer d'indiquer très rapidement quelles sont les opérations par lesquelles on produit cet effet de consensus. Cette comparaison peut être poussée plus loin.
Dans cet article du monde, laure Kaltenbach et olivier...
Un signal qui nous vient d’IBM
Certains disent qu’il y a en économie des méthodes simples pour savoir où l’on se trouve par rapport aux autres dans son domaine d’activité. Celles qui s’apparentent au « tir au journal » chers aux artilleurs : on tire un coup de canon, on achète le journal du lendemain, on voit où l’obus est tombé et on en déduit l’endroit où on se trouve. Cette méthode s’apparente à celle du « ballon d’essai ». Puis il y a ceux qui cherchent à « apprivoiser l’avenir » en recourant aux méthodologies de l’intelligence économique et ceux enfin qui regardent du côté d’IBM. Regardons donc cette fois-ci ce que nous dit IBM. Le CEO d’IBM Samuel J. De cette décision, on peut d’abord en déduire qu’IBM continue depuis dix ans sa politique de retrait des marchés encombrés par la concurrence où la compétition se fait sur les prix. Les « Analytics » brevetés Vigilint implantée à Sophia Antipolis est spécialisée dans l’acquisition et le traitement de l’information brevet.
Le succès sur Internet repose-t-il sur la contagion ? Une analyse des recherches sur la viralité
Plan La viralité comme concentration temporelle de l’attention Trajectoires d’audience, trajectoires virales ? De la viralité à l’influence Bilan et propositions L’inaccessible viralité pure ? Les contenus et leurs propriétés Depuis son adoption par le grand public dans la seconde moitié des années 1990, Internet est le lieu d’un phénomène récurrent : la diffusion rapide et imprévisible de certains contenus, écrits, enregistrements audio ou vidéo, présentations, sites Web, etc. Comme toute métaphore explicative, les figures de la...
Cette chronique de Bruno Devauchelle, est intéressante...
Intelligence ambiante
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'évolution des ordinateurs : la course à la miniaturisation et à la diffusion dans le milieu ambiant L'intelligence ambiante est ce que pourrait devenir l'informatique dans la première moitié du XXIe siècle en repoussant les limites technologiques qu'elle avait à la fin du XXe siècle [réf. nécessaire]. Ce concept semble pouvoir tenir lieu de traduction non littérale aux concepts nés en Amérique du Nord sous le vocable initial d'informatique ubiquitaire, systèmes pervasifs ou encore ordinateur évanescent [réf. nécessaire]. Dans cette approche, le concept même de système d’information ou d'ordinateur change : d’une activité de traitement exclusivement centrée sur l’utilisateur, l'informatique devient interface entre objets communicants et personnes, et entre personnes [réf. nécessaire]. Facteurs en jeu[modifier | modifier le code] Vers une informatique diffuse[modifier | modifier le code] Perspectives économiques[modifier | modifier le code]