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Comment nos neurones « attrapent » les émotions des autres

Comment nos neurones « attrapent » les émotions des autres
Voici le quatrième article sur les richesses incommensurables du cerveau ! L'article s'inspire du livre Votre cerveau n'a pas fini de vous étonner de Patrice Van Eersel, rédacteur en chef du magazine Clés. M. Van Eersel poursuit ici les découvertes sur la neuroscience. Il met aussi en scène les recherches de Daniel Goleman, auteur du livre L'intelligence émotionnelle, et d'un nouveau livre L'intelligence relationnelle. La neuroscience sociale Grâce au perfectionnement des techniques d'imagerie corticale, en particulier le scanner à résonance magnétique nucléaire fonctionnelle (IRMf), qui permet de visualiser avec une précision de plus en plus fine, les zones actives de notre cerveau lorsque nous agissons, pensons, parlons, rêvons, et surtout, quand nous entrons en contact avec une personne, une nouvelle discipline a pris naissance dans les années 1990 : la neuroscience sociale. Comment nos neurones « attrapent » les émotions des autres ? Les neurones des femmes et des hommes

Des neurones artificiels un million de fois plus rapides que les nôtres ⇧ [VIDÉO] Vous pourriez aussi aimer ce contenu partenaire (après la pub) Produire des neurones artificiels plus efficaces que les neurones humains… l’idée n’est pas nouvelle. Des chercheurs du MIT viennent cependant de l’emmener à un tout autre niveau. Ils affirment avoir créé un réseau de neurones artificiel capable de fonctionner un million de fois plus vite que chez l’Homme. Cet exploit aurait été réalisé en utilisant un réseau neuronal « analogique ». la dendrite, qui reçoit un signal nerveuxun soma, corps cellulaire qui le décodeun axone, qui le transmet Ces neurones sont connectés entre eux par des synapses, qui relient l’axone et la dendrite. Un réseau neuronal artificiel est lié au domaine que l’on nomme communément « l’intelligence artificielle ». Un système d’apprentissage inspiré des neurones biologiques En effet, les données envoyées circulent dans une « grille » artificielle de neurones, généralement virtuels. L’analogique et le numérique sont deux procédés différents.

D'où vient le syndrome des jambes sans repos ? - Science et vie Au début, ce sont juste des fourmillements dans les jambes, au moment du coucher. Pour les soulager, la personne plie les genoux, pédale dans son lit, voire se lève pour marcher. Souvent, ces « impatiences » disparaissent au bout de quelques minutes. Parfois, elles durent toute la nuit. Lire aussi : Quels effet le manque de sommeil a-t-il sur notre cerveau ? Entre 2 et 9 % des Français seraient touchés, certains déclarant dormir moins d’une demi-heure par nuit. Quatre gènes candidats interviennent tous dans le développement des neurones à dopamine (un neurotransmetteur), eux-mêmes impliqués dans les mouvements. La prise de compléments alimentaires au fer ou des médicaments remplaçant la dopamine soulagent ainsi certains patients. D’après Science & Vie QR n°17 « Le sommeil & les rêves » – Feuilleter ce numéro – Acheter ce numéro Lire aussi : Insomnie : pourquoi un tel fléau ?

Ces sucres qui figent nos neurones Comment expliquer qu’une douleur puisse apparaître et persister longtemps après une lésion nerveuse ? Cette question, comme bien d’autres, nous hanterait encore si des équipes de recherche n’avaient eu l’idée, il y a quelques années, d’ouvrir le champ d’investigation de leurs microscopes au-delà des seuls neurones – ces cellules très « médiatiques » capables de communiquer par impulsions électriques – pour s’intéresser à ce maillage visqueux tapi dans l’ombre des cellules stars. Moins glamour que ces dernières, comparable au cartilage de notre nez et de nos articulations, celui-ci est connu sous le nom de réseau périneuronal (RPN), en hommage à ses longues chaînes de molécules de sucres arrimées à un échafaudage protéique qui s’enroulent autour de nos neurones, les fixent en l’état, empêchant ainsi leur croissance et l’établissement de nouvelles connexions. Ce réseau n’a pas fini de nous étonner. Verrouillage des réseaux de neurones Retrouver la plasticité un cerveau d’enfant

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