Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Origine de la construction[modifier | modifier le code] Montmartre, colline sacrée[modifier | modifier le code] Depuis toujours la colline de Montmartre a été un lieu de culte : paganisme gaulois supposé puis temples gallo-romains dédiés à Mercure et probablement à Mars ; culte chrétien après le martyr de l'évêque Denis au IIIe siècle, construction au XIIe siècle de l'église Saint-Pierre, parmi les plus anciennes de Paris, pour l’abbaye royale de Montmartre par le roi Louis VI et sa femme Adélaïde de Savoie. Le vœu national de 1870-1871[modifier | modifier le code] « En présence des malheurs qui désolent la France et des malheurs plus grands peut-être qui la menacent encore. La forte personnalité de Legentil dans le paysage catholique parisien et ses nombreuses relations ont permis au projet d'acquérir une dimension nationale. Selon l'historien Miguel Rodriguez[3], le concept de vœu est fondamental, en tant que « promesse faite à Dieu ».
Domaines artistiques - Dispositif "Un établissement, une œuvre" Objectifs rapprocher l'art contemporain des publics qui en sont relativement éloignés ;inscrire fortement l'art contemporain dans le contenu des parcours d'éducation artistique et culturelle des élèves ;permettre aux élèves de s'approprier les oeuvres exposées en les inscrivant dans leur environnement quotidien et en développant autour de ces oeuvres, un projet élaboré par l'équipe éducative, en concertation avec le FRAC ;favoriser la prise en compte, dans toutes les disciplines, du regard artistique ;permettre aux écoles du secteur d'élaborer leurs propres projets autour de l'exposition (ou de participer au projet du collège) en s'appuyant notamment sur les conseils école-collège ;favoriser la connaissance mutuelle entre écoles, établissements et FRAC et favoriser la pratique de fréquentation des expositions mises en place par les institutions culturelles (FRAC, centres d'art, musées, etc.). Description du dispositif Exposer une oeuvre d'art dans une école ou un établissement scolaire
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Le Grand Canal de Venise par Monet ! Au Grand Palais, les peintres Canaletto, Guardi et Tiepolo chantent la beauté de Venise au XVIII° siècle. La foule, le Carnaval, les plaisirs de la chair… Tout est matière à peindre. Deux siècles plus tard, le célèbre Claude Monet se rend dans la Cité des Ponts et représente à son tour la Sérenissime. Impression canal mouvant ! Claude Monet (1840–1926), Le Grand Canal, 1908, huile sur toile, 73 × 92 cm, Museum of fine arts, Boston. En octobre 1908, Claude Monet se résigne enfin à visiter la ville peinte mille fois par les plus grands noms de l’histoire de l’art. Le cadrage du Grand Canal provoque l’immersion totale. Après la mort de sa femme en 1912, Monet donne son accord pour une exposition de ses oeuvres vénitiennes à Bernheim-Jeune. Immersion dans la Venise du XVIIIe au Grand Palais L’exposition « Éblouissante Venise » vient d’ouvrir ses portes ! L’occasion de s’imaginer pleinement vivre dans la Sérenissime en plein XVIII°, lorsque les gondoles s’empruntaient à tout va, que les spectacles de marionnette réjouissaient petits et grands et que les plaisirs de la vie se consommaient en toute liberté. Enfilons le masque le temps de la visite ! Giovanni Antonio Canal, dit CANALETTO, Vue du Palazzo Ducale vers la Riva degli Schiavoni,vers 1740, huile sur toile, 110,5 × 185,5 cm, Milan, Pinacoteca del Castello Sforzesco © Civico Gabinetto dei Disegni del Castello Sforzesco Canaletto, Guardi, Tiepolo… Les peintres vénitiens enchantent le visiteur et le font voyager sans attendre au coeur de la Cité des ponts, trois siècles en arrière. Au fil du parcours, les grands noms s’enchaînent. À partir de 1760, la Sérénissime s’angoisse.