background preloader

LE TEST GO

LE TEST GO

Les liens faibles, moteurs de notre diversité informationnelle Liens faibles, liens forts. Cette semaine le dossier d'InternetActu vous propose de revenir sur ce que sont les liens faibles, ce concept forgé par le sociologue américain Mark Granovetter permettant de distinguer nos relations selon selon leur proximité, mais aussi selon leur diversité et la richesse de ce qu'elles nous apportent. A l'heure des réseaux sociaux numériques, la compréhension de la structuration et du rôle de nos relations est devenu d'autant plus importante qu'elles forgent de plus en plus toutes nos actions en ligne. Quelle est la force des liens faibles, quelles sont leurs limites ? C'est le dossier d'InternetActu. Les chercheurs de Facebook, menés par Eytan Bakshy, ont publié une nouvelle étude s'intéressant à comment les gens recevaient et réagissaient à l'information dans le cadre du réseau social. Pourquoi "repenser la diversité de l'information dans les réseaux sociaux" ? Les liens faibles sont les gens les plus influents de nos réseaux sociaux Hubert Guillaud

Réseaux sociaux et collectivités territoriales (dossier) L’hebdomadaire papier La Gazette des Communes datée du 28 novembre 2011 consacre sa une et un dossier de 6 pages à l’utilisation des médias sociaux par les collectivités territoriales : Réseaux sociaux : Adopter le bon profil. Deux chiffres marquants : 50 % des moins de 30 ans habitant le plus souvent en Ile-de-France et dans des villes de plus de 100 000 habitants s’informent sur la vie locale via les réseaux sociaux. De 2009 à 2011, le taux de lecture des publications territoriales (magazines municipaux…) a chuté de 89 % et l’audience des réseaux sociaux et blogs a crû de 23 % (baromètre CSA-Epiceum). L’accroissement du nombre de mobinautes en France connectés aux réseaux sociaux est un phénomène majeur : 70,7 % des mobinautes s’y connectent tous les jours ou presque. L’hexagone compte plus de 17,7 millions de mobinautes. Aujourd’hui, les collectivités locales s’emparent des médias sociaux (majoritairement Facebook et Twitter) en terme de communication externe. C’est un effet de mode!

Réseaux sociaux : les 10 freins à lever chez les collectivités Sur son blog, Vagabondages, Thomas Chaimbault, bibliothécaire et responsable de formations dans un établissement d’enseignement supérieur lyonnais, reprend, en français, les enseignements d’un article de Phil Mershon du Social Media Examiner, qui décrit 9 raisons pour lesquelles un contenu ne remonterait pas sur les réseaux sociaux. « Vos usagers n’ont pas confiance en vous »« Vos usagers se moquent éperdument de vous »« Vos publications sont ennuyeuses »« Les gens s’intéressent plus à de grandes causes qu’à des marques »« Les gens partagent du contenu pour construire des relations avec autrui »« Les usagers veulent être reconnus »« Les gens partagent pour gérer l’information »« Vous méconnaissez votre public »« Les gens sont encore attachés aux mails ».

Réseaux sociaux : collectivités, mieux vaut en être l'initiateur ! « Aujourd’hui, toutes les collectivités ont intérêt à avoir un compte Facebook », estime Franck Confino, expert en réseaux sociaux et en communication des collectivités locales. Voilà qui est dit ! Pourtant, on a toujours mille et une bonnes raisons pour ne pas franchir le cap ! Aux collectivités qui pensent que le débat va dégénérer, que c’est un effet de mode, que c’est chronophage, que cela ne concerne pas toute la population, qui craignent de ne pas avoir la maîtrise de leur e-reputation etc. écoutez plutôt ce conseil de Franck Confino : « Si vous ne vous lancez pas dans les réseaux sociaux, ils vous rattraperont d’une façon ou d’une autre. 1 collectivité sur 2 sur les réseaux – Sachant que seule 1 collectivité sur 2 a intégré les médias sociaux dans sa stratégie de communication internet, il y a du pain sur la toile. Le community manager – Une fois établie, la stratégie va certainement prévoir de recruter le fameux « community manager ». Cet article fait partie du Dossier

Related: