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Rapport[mesure des performances eco et du progrès social]

Rapport[mesure des performances eco et du progrès social]

Economie : Stiglitz met l'individu au centre de l'économie Le Figaro s'est procuré le rapport Stiglitz, qui doit être remis lundi au gouvernement. Dans ce document, la mission prône un changement complet de méthode de calcul des richesses des pays. C'était en février 2008. Avant que le monde ne sombre dans le chaos de la crise du subprime. Autant dire une éternité. Nicolas Sarkozy installait à l'Élysée la commission Stiglitz, en lui confiant la mission d'identifier les limites du produit intérieur brut (PIB) comme indicateur de performance économique et de progrès social. Après dix-huit mois de travaux, leurs conclusions sont prêtes. Revenir à des critères simples Cliquez sur l'aperçu pour agrandir l'infographie. Le rapport final de 291 pages, que Le Figaro s'est procuré dans sa version anglaise, préconise de revoir de fond en comble les modes de calcul de la croissance. Parmi les nombreuses pistes qu'elle étudie pour mieux décrire la réalité économique, la commission insiste plus particulièrement sur trois sujets.

Le rapport Stiglitz préconise de mesurer le bien-être Le rapport Stiglitz sur la mesure de la richesse nationale, remis lundi à Nicolas Sarkozy, préconise de compléter le produit intérieur brut (PIB) par d'autres indicateurs afin de mesurer le progrès social et le bien-être des individus. Détails. Installée il y a 18 mois, la commission présidée par Joseph Stiglitz, prix Nobel d'économie en 2001, et composée d'économistes et de spécialistes de sciences sociales, a remis lundi son rapport à Nicolas Sarkozy. Un rapport qui ouvre le débat sur une nouvelle mesure des performances économiques. Si le PIB n'est pas contesté par la commission, celle-ci recommande de l'accompagner de nouveaux indicateurs, renseignant sur le progrès social et le bien-être des individus. PIB : un indicateur incomplet Le PIB est dans une certaine mesure pertinent, analyse Amartya Sen, conseiller de la commission. Vers de nouveaux indicateurs Le rapport formule 12 recommandations. Changer de direction

Alternatives Economiques : actualité économique et sociale, information économique et sociale Après le rapport Stiglitz, comment mesurer la richesse ? Depuis plus d’une dizaine d’années, la sociologue Dominique Méda critique les insuffisances du PIB. L’une des premières, elle a souligné l’incapacité de cet indicateur de richesse à tenir compte des inégalités, de la santé sociale et de la dégradation environnementale. La Vie des Idées a recueilli son analyse après la publication du rapport coordonné par Joseph Stiglitz, Amartya Sen et Jean-Paul Fitoussi. Dominique Méda est membre du collectif Fair (Forum pour d’autres indicateurs de richesse). Sommaire des vidéos : Le rapport Stiglitz introduit-il une rupture dans la façon dont on mesure la richesse d’un pays ? Le rapport Stiglitz introduit-il une rupture dans la façon dont on mesure la richesse d’un pays ? Le rapport Stiglitz introduit-il une rupture dans la façon dont on mesure la richesse d’un pays ? Le rapport propose-t-il néanmoins des idées originales, de nouveaux types d’indicateurs ? Le rapport propose-t-il néanmoins des idées originales, de nouveaux types d’indicateurs ?

Beyond GDP: How Do We Measure Real Wealth and Happiness? When I was 21, I told my father that I didn't want to work with him any longer at the ice cream company he co-founded, Baskin-Robbins, and I didn't want to depend on his financial achievements. I did not want to have a trust fund or any other access to or dependence on his money. I wanted to discover and live my own values, and I knew that I wasn't strong enough to do that if I remained tethered, even a little, to my father's fortune. I left Baskin-Robbins and the money my father had made selling ice cream because I didn't want to live a life of affluence based on a product that could harm people's health. I didn't take the steps I did because I thought money is bad. There seem to be two schools of thought about the relationship between money and happiness: On the one hand, there are those who say money isn't that important. In her camp is the environmental advocate John Muir, who once said that he was better off than the billionaire E. I believe there is truth in both camps.

Beyond GDP - About Beyond GDP The Beyond GDP initiative is about developing indicators that are as clear and appealing as GDP, but more inclusive of environmental and social aspects of progress. Economic indicators such as GDP were never designed to be comprehensive measures of prosperity and well-being. We need adequate indicators to address global challenges of the 21 st century such as climate change, poverty, resource depletion, health and quality of life. Initial conference in 2007 In 2007, the European Commission, European Parliament, Club of Rome, OECD and WWF hosted the high-level conference “Beyond GDP”. EU Roadmap 2009 Spurred on by the success of the 2007 conference, the Beyond GDP partners continue to work on improving our measures of progress, wealth and well-being. Website to share news on developments

Paradoxe d’Easterlin Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le paradoxe d’Easterlin, du nom de l’économiste éponyme qui l’a mis en évidence en 1974, énonce qu'au-delà d'un certain seuil, la poursuite de la hausse du revenu ou du produit intérieur brut par habitant ne se traduit pas nécessairement par une hausse du niveau de bonheur individuel déclaré par les individus[1]. Les explications avancées font notamment appel au paradoxe de l'abondance. Le paradoxe d’Easterlin est l'une des réflexions à la base de l'économie du bien-être. Richard Easterlin a mis en évidence le fait qu'une fois qu'une société a atteint un certain seuil de richesse, la poursuite de son développement économique est sans influence sur l'évolution du bien-être moyen de sa population. Critiques et recherches ultérieures[modifier | modifier le code] En 2010, Easterlin a publié des résultats concernant un échantillon de 37 pays, réaffirmant le paradoxe[3],[4], qui fut cependant aussitôt contesté par Wolfers[5].

Happiness economics Subject classifications[edit] The subject may be categorized in various ways, depending on specificity, intersection, and cross-classification. For example, within the Journal of Economic Literature classification codes, it has been categorized under: Welfare economics at JEL: D63 – Equity, Justice, Inequality, and Other Normative Criteria and Measurement[1]Health, education, and welfare at JEL: I31 – General Welfare; Basic needs; Living standards; Quality of life; Happiness[3]Demographic economics at JEL:J18 – Public Policy.[4] Metrology[edit] Given its very nature, reported happiness is subjective.[5] It is difficult to compare one person’s happiness with another's.[1] It can be especially difficult to compare happiness across cultures.[1] However, many happiness economists believe they have solved this comparison problem. Micro-econometric happiness equations have the standard form: .[1] In this equation is the reported well-being of individual at time , and Determinants[edit] Leisure[edit]

Peut-on mesurer le bonheur? Nicolas Sarkozy veut révolutionner les statistiques économiques internationales, et notamment celle qui mesure le Produit Intérieur Brut: le chef de l'Etat entend faire prendre en compte le «bien-être humain» et porter cette notion nouvelle au Nations-Unies et au G20, à la fin du mois. Cette volonté a été affirmée ce lundi, dans le magistral amphithéâtre de la Sorbonne où les économistes Joseph Stiglitz, Amartya Sen et Jean-Paul Fitoussi remettaient le rapport qui leur avait été commandé en 2007 par le chef de l'Etat. publicité La Commission prône la prise en compte de nouveaux critères, ou une pondération différente, évaluant les inégalités sociales, la qualité de la vie et le développement durable, ainsi qu'une idée plus complète de la richesse d’un pays que le simple calcul de la production. Slate.fr republie un article du 30 août sur le sujet. Qui décide? Le philosophe Michel Onfray rappelle que «le bonheur n'existe pas: il existe des situations heureuses. Au-delà de l'IDH

Nous sommes plus riches donc plus heureux ? - S.O.S... S.E.S ? ... Je blogue ! Nous avons montré précedemment que le niveau de vie avait beaucoup plus progressé que les statistiques ne peuvent le laisser croire. Nous sommes devenus, avec la croissance économique, beaucoup plus riches. Sommes-nous pour autant plus satisfaits de notre bien être ? Cette question intéresse évidemment les sciences sociales: l'économie d'abord parce que l'une des finalités de cette science est la satisfaction des besoins en luttant contre la rareté, la sociologie ensuite parce que la quête du bonheur et du bien être devient central aujourd'hui.Voici quelques apports des sciences économiques et sociales. Quel lien peut-on établir entre richesse et bien-être ? On connaît le dicton "l'argent ne fait pas le bonheur"..." Source: Inglehart et Kingemann (2000) pour le premier document et Richard Layard, Happiness : has social science a clue ? Comment peut-on expliquer ce constat ? Le psychologue Abraham Maslow (1908-1970) a élaboré la "pyramide" des besoins". Que retenir de ce schéma ? L?

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