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Rapport de la commission sur la mesure des performances économiques et du progrès social

Rapport de la commission sur la mesure des performances économiques et du progrès social

Vers une économie de la contribution La solution du capitalisme à bout de souffle pourrait bien être à chercher du côté des logiciels libres. Bernard Stiegler, philosophe, appelle à passer "du consumérisme toxique à une économie de la contribution". Ce n’est plus un secret pour personne : le capitalisme est en train d’être dévoré par ses propres effets toxiques. En 2005, parmi d’autres voix peu écoutées alors, une association française, Ars Industrialis, lancée par quatre philosophes et une juriste, avait sonné le tocsin. A l’époque, leur manifeste décrivait les dangers d’un capitalisme “autodestructeur” et la soumission totale aux “impératifs de l’économie de marché et des retours sur investissements les plus rapides possibles des entreprises” et notamment celles actives dans les médias, la culture ou les télécommunications. Malaise du consumérisme L’homme habite un petit moulin industriel reconverti en maison à Epineuil-le-Fleuriel, au beau milieu de la France paysanne. Où se situe la solution ? Poison et remède Telecomix

Eruptures Peut-on mesurer le bonheur? Nicolas Sarkozy veut révolutionner les statistiques économiques internationales, et notamment celle qui mesure le Produit Intérieur Brut: le chef de l'Etat entend faire prendre en compte le «bien-être humain» et porter cette notion nouvelle au Nations-Unies et au G20, à la fin du mois. Cette volonté a été affirmée ce lundi, dans le magistral amphithéâtre de la Sorbonne où les économistes Joseph Stiglitz, Amartya Sen et Jean-Paul Fitoussi remettaient le rapport qui leur avait été commandé en 2007 par le chef de l'Etat. publicité La Commission prône la prise en compte de nouveaux critères, ou une pondération différente, évaluant les inégalités sociales, la qualité de la vie et le développement durable, ainsi qu'une idée plus complète de la richesse d’un pays que le simple calcul de la production. Slate.fr republie un article du 30 août sur le sujet. Qui décide? Le philosophe Michel Onfray rappelle que «le bonheur n'existe pas: il existe des situations heureuses. Au-delà de l'IDH

Bernard Stiegler – A voix haute XEnvoyer cet article par e-mail Bernard Stiegler – A voix haute Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Vous pourrez le lire ultérieurement (ordinateur, tablette, mobile) en cliquant sur « votre compte » Fermer “Nous ne sommes plus dans une économie du désir mais de la dépendance” Pulsionnelle, standardisée, addictive. « Ce qui caractérise notre société actuelle selon moi, c’est son caractère pulsionnel. Du besoin au désir En 1907-1908, une autre forme de capitalisme se met en place sous l’influence de Henry Ford qui, le premier, adopte la production à la chaîne. Du désir à la pulsionMaintenant, voyons l’effet que cela a produit sur la société. La perte de singularité C’est ce processus de destruction du lien social qui fait que l’on assiste à la disparition progressive du désir et à la montée des pulsions. Une société addictive C’est pourquoi je suis partisan d’une nouvelle croissance. Par Caroline Castets

Facebook, le Bonheur National Brut et l’analyse des comportements Facebook a développé un index de Bonheur National Brut qui mesure les sentiments positifs ou négatifs exprimés dans les mises à jour de statut. L’application Bonheur National Brut permet de voir les grandes tendances pays par pays. Vous pouvez accéder aux données concernant les pays suivants : Etats-Unis, Australie, Canada, Inde, Irlande, Nouvelle Zélande, Singapour, Afrique du Sud, Royaume-Uni, Autriche, Allemagne, Italie, Belgique, Pays-Bas, Argentine, Chili, Colombie, Mexico, Porto Rico, Espagne, Uruguay, Vénézuela. Les données concernant la France ne sont pas disponibles… C’est bien dommage Chaque jour, des millions de personnes partagent comment ils se sentent avec ceux qui comptent le plus dans leur vie à travers les mises à jour de statuts sur Facebook. “Peut être est-ce le fait d’avoir à organiser un mariage” explique Marlow. L’équipe espère affiner son analyse des données pour répondre à des questions telles que “Comment le bonheur peut-il être contagieux ?” Via SFGate

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