Particules fines Particules fines Les matières particulaires se classent en fonction de leur taille, en raison essentiellement des effets particuliers sur la santé associés à des particules de diamètres différents. Les matières particulaires représentent le terme général pour désigner un mélange de particules microscopiques et de gouttelettes liquides dans l'atmosphère. Sources de particules fines Les PM2,5 ont surtout pour origine des réactions chimiques dans l'atmosphère et la combustion de carburant (véhicules motorisés, production d'énergie électrique, installations industrielles, foyers domestiques, poêles à bois et brûlage des résidus agricole). Émissions à partir d'une source ponctuelle, zonale ou mobile, estimations pour 2012 Remarque : 2012 est la dernière année d'inventaire complet. Environ 39 % et 22 % des PM2,5 émises en Ontario en 2012 étaient attribuables aux rejets domestiques et aux transports respectivement, tandis que d'autres procédés industriels comptaient pour 15 %.
Particules en suspension Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir PM. Les particules en suspension sont d'une manière générale les fines particules solides portées par l'eau ou solides et/ou liquides portées par l'air. On peut les recueillir et quantifier par filtration ou par d'autres procédés physiques. L'augmentation des taux de particules fines dans l'air est facteur de risques sanitaires (maladies cardiovasculaires, altération des fonctions pulmonaires, cancer du poumon et diminution de l'espérance de vie). Les nanoparticules ne sont pas suivies ou très mal mesurées, mais elles pourraient avoir des impacts similaires ou plus graves. Sources[modifier | modifier le code] Les particules sont d'origines anthropiques et/ou naturelles. Dans l'air[modifier | modifier le code] Le diamètre (diamètre aérodynamique[4]) des particules peut varier de 0,005 micromètre à 100 micromètres. Classification[modifier | modifier le code] Il est important de noter que[10] : 1. 2. 3.
Particules et pollution de l'air Les particules sont des particules en suspension dans l'air dont le diamètre varie. Les PM 10 (PM pour particulate matter en anglais) ont un diamètre inférieur à 10 micromètres, les PM 2,5 appelées particules fines, mesurent moins de 2,5 micromètres de diamètre, et les PM 0,1, appelées particules ultrafines, moins de 0,1 micromètre. La pollution de l'air par les particules peut être d'origine naturelle, notamment lors d'une éruption volcanique ou de feux de forêts. Elle provient également de la combustion du carburant pour les voitures diesel, des centrales thermiques et différents modes de chauffage par combustion du fuel, ainsi que de divers procédés industriels. La pollution de l'air par les particules a des répercussions importantes sur la santé. Un rapport du programme de surveillance air et santé (PSAS) et de l'Institut de veille sanitaire (INVS) démontre que la pollution par les particules dans l'air ambiant augmente le risque de mortalité en France.
Atmo PACA, Qualité de l'Air /html/particules_fines.php Les particules fines dans l’air ambiant – un polluant complexe et multi-sources Désormais un indice de particules MEDIOCRE en 2011 sera considéré comme MAUVAIS en 2012 Quelles sont les actions menées sur le territoire pour lutter contre la pollution chronique ? Pour les collectivités et l’État, des mesures complémentaires sont déjà programmées : Les seuils d’information et d’alerte pour les particules seront abaissés à partir de cette année (Le seuil d’information passera de 80 µg/m3 à 50 µg/m3 - le seuil d’alerte passera de 125 µg/m3 à 80 µg/m3 -Arrêté préfectoral en cours). Des mesures nationales ont été engagées dans le cadre des lois Grenelle. Au niveau régional, la révision des Plans de Protection de l’Atmosphère (PPA) est en cours d’élaboration sur les zones visées par le contentieux européen (Bouches-du-Rhône, agglomérations de Nice, Toulon et Avignon) afin d’engager des mesures spécifiques à ces territoires. Le secteur résidentiel qui va devoir mieux maitriser ses émissions.
. Qualité de l'air : le Havre, le mauvais élève « Article Le Havre, Rouen mais aussi Bordeaux, Lyon, Marseille, Strasbourg et Toulouse…Neuf villes françaises ont participé au projet européen Aphekom qui a évalué l’impact sanitaire et économique de la pollution atmosphérique urbaine dans 25 villes européennes. Une étude sans appel qui met en évidence qu’habiter à proximité du trafic routier augmente sensiblement la morbidité attribuable à la pollution atmosphérique et qu’une diminution sensible des niveaux de particules fines dans l’air des villes européennes entraînerait un bénéfice non négligeable en termes d’augmentation de l’espérance de vie et de réduction des coûts pour la santé. En complément des conclusions du projet rendues publiques en 2011, l’institut de veille sanitaire (InVS) publie aujourd’hui un rapport spécifique à ces neuf villes françaises. Un rapport alarmant, inquiétant aussi, qui met en évidence que les niveaux de pollution actuellement observées dans ces villes ont un impact important sur la santé de leurs habitants.