Yield Thought, I swapped my MacBook for an iPad+Linode
Update: I’m still using this setup a year later - you can read on at iPad+Linode: 1 Year Later On September 19th, I said goodbye to my trusty MacBook Pro and started developing exclusively on an iPad + Linode 512. This is the surprising story of a month spent working in the cloud. It all started when I bought my first MacBook a couple of years ago. Although I like to use Python and GAE for my own projects, at work we write heavyweight C++/Qt code that runs on clusters such as the 200,000 processor Jaguar machine, so most of my time is spent in Linux and a lot of it on remote systems. One fateful day, VMWare and OS/X conspired to trash my shared filesystem, losing several days of uncommitted code in the process. While dd was recovering as much as it could, I started toying with the idea of giving up on local filesystems altogether. I just had to try. The Setup It turns out you need a little more than just an iPad and a dream, but not too much more: Total cost: around $800 + $20 per month
Des enseignants s'initient au 2.0 | Éducation
Les 1 350 élèves inscrits en 6e année et en première et deuxième secondaire dans les écoles de la région et les 102 enseignants qui les accompagnent utiliseront, en janvier, un iPad 2 en classe. Une décision qui place la Commission scolaire de Sorel-Tracy à l’avant-garde des commissions francophones québécoises mais exige qu’elle forme ses enseignants à utiliser aisément cette tablette. Ainsi le conseiller pédagogique Steve Morissette dispense-t-il cette formation d’une vingtaine d’heures à laquelle s’en ajouteront d’autres pour de l’enseignement spécialisé ou sur l’usage de logiciels spécifiques. «Certains enseignants n’avaient jamais manipulé une tablette numérique. De fait, la plupart des enseignants formés ont moins de 50 ans. 13% ont plus de 60 ans. Bien sûr, l’utilisation du iPad impose aux enseignants de réinventer certains matériels pédagogiques qu’ils utilisent. Des logiciels sur mesure Une première francophone Déjà 1 200 iPad ont été livrés la semaine dernière, à Sorel-Tracy.
Pour le iPad | iPad en MST
Bien que le iPad peut ouvrir pas mal de formats de fichiers (doc, ppt, pdf…), il peut être intéressant dans certains cas de transformer ses documents vers le format de livre (pour profiter des fonctionnalités de iBooks par exemple) numérique epub (ou pdf). Voici quelques trucs pour ce faire. L’application Sigil (Windows, Mac, Linux) est un logiciel libre très performant pour créer/modifier ses livres numériques au format epub. Voici un vidéo sur quelques fonctions de base de Sigil. Le site propose (par un copier-coller) de transformer le texte (les images ne suivent pas) d’un document Word en fichier HTML (importable dans Sigil par la suite). Le site fonctionne très bien, les liens sont fonctionnels. Vous avez besoin des images? Le logiciel Calibre transforme un fichier PDF (et autres) au format Epub et peut aussi lire (sur un ordinateur) vos livres numériques.
Un combat contre l’inertie en éducation
Au début du mois dernier, Thierry Karsenti, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les technologies de l’information et des communications (TIC) en éducation, a publié les résultats d’une enquête exhaustive sur l’intégration de l’iPad à la pédagogie québécoise. L’auteur et son équipe en sont venus à plusieurs conclusions. Bien malheureusement, plusieurs de ces dernières ont été ignorées. […] Les journalistes ont davantage extirpé du rapport les défis que les forces de l’outil en classe. Cela dit, il faut recentrer le débat autour d’une certaine logique pédagogique et éducative. L’iPad est arrivé sur les tablettes des magasins canadiens en mai 2010. Ces stéréotypes qui encouragent l’inertie Bien évidemment, l’intégration des TIC à la pédagogie est un sujet chaud et qui comporte son lot de détracteurs, à commencer par les enseignants eux-mêmes. Pourquoi évacuer l’aspect ludique de l’apprentissage? Il est évident que la presque totalité des élèves trouve l’iPad distrayant.
Rapport sur la tablette à l’école - Les risques de l’iPad
«Prise de risque nécessaire » : voilà la formule lénifiante des auteurs du rapport « L’iPad à l’école : usages, avantages et défis », Thierry Karsenti et Aurélien Fievez, déposé le 9 décembre. Chose certaine, après lecture de ce rapport, nul n’aura de mal à comprendre qu’il y ait « risque ». Source de distraction préoccupante au dire de nombreux professeurs et élèves, l’outil serait au surplus peu utile à l’écriture — on mentionne entre autres les « lacunes de la tablette tactile pour les tâches d’écriture ». Ce n’est pas tout : les iPad sont beaucoup utilisés pour Facebook et très peu… pour la lecture. Sur dix « activités réalisées » en classe avec la tablette, la lecture vient… au dernier rang des plus fréquentes ! On entend déjà des praticiens technophiles protester en disant que cela ne reflète nullement leur réalité. De plus, les auteurs, ultra-prudents, sont loin d’adopter un ton technophobe. MM. La « prise de risque » est-elle pour autant nécessaire ?