Qui sont les pionniers de l'intelligence artificielle ?
Crée par John McCarthy, le terme « intelligence artificielle » caractérise l’élaboration de programmes informatiques capables de prendre en charge des tâches habituellement effectuées par des humains car demandant un apprentissage, une organisation de la mémoire et un raisonnement. L’objectif est de parvenir à transmettre à une machine des fonctions propres au vivant : rationalité, raisonnement, mémoire et perception. L’un de ses créateurs, Marvin Lee Minsky, le défini de la façon suivante : « la construction de programmes informatiques qui s’adonnent à des tâches qui sont, pour l’instant, accomplies de façon plus satisfaisante par des êtres humains car elles demandent des processus mentaux de haut niveau tels que : l’apprentissage perceptuel, l’organisation de la mémoire et le raisonnement critique ». On évoque le côté artificiel car obtenu à l’aide d'un robot ou d'une machine, et on emploie le terme « intelligence » car l’objectif est de se rapprocher du comportement humain.
Les sciences cognitives
Les sciences cognitives (Grand dictionnaire de philosophie, Larousse, 2003) Pierre Jacob Le mot "cognition" vient du latin cognoscere et il a approximativement la même extension que le mot "intelligence". L'importance théorique des sciences cognitives tient à trois caractéristiques. Dans le foisonnement des paradigmes théoriques et expérimentaux en sciences cognitives, trois thèmes retiendront notre attention en raison de leur intérêt philosophique intrinsèque. 1. L'étude des capacités cognitives du cerveau humain remonte au milieu des années 50. Deux sortes d'arguments militent en faveur de la théorie computationnelle de l'esprit : des arguments épistémologiques ou méthodologiques et des arguments ontologiques. 2. Les travaux formels sur la faculté de langage ont donné naissance à des recherches expérimentales en psycholinguistique sur la compréhension du langage chez l'adulte et sur l'acquisition du langage chez le bébé humain. 3.
Un modèle cognitif computationnel de représentation de la connaissance au sein des environnements virtuels d’apprentissage
Dans le cadre de la représentation des connaissances au sein des environnements virtuels d’apprentissage (EVA) et du fait de la nature relationnelle et structurée de ces connaissances, leur exploitation nécessite de faire appel à des processus d’analyse capables de traiter et de manipuler un grand volume de données structurées. Dans ce sens, un modèle de représentation trouve sa pleine utilité pour la recherche et le traitement automatique d’information guidant le raisonnement, le diagnostic et la prédiction d’un système tuteur dont la tâche est de fournir des suggestions, des exemples et des explications bien adaptés à chaque apprenant. Nous présentons dans cet article un modèle pour représenter la connaissance du domaine et celle des usagers utilisant des EVA.
5 grandes théories de l'apprentissage
Le béhaviorisme Thorndike et Skinner Edward Lee Thorndike (31 août 1874 - 9 août 1949) est un psychologue américain, précurseur du béhaviorisme. Il est notamment connu pour ses recherches sur l'intelligence animale et en psychologie de l'éducation. Les 2 lois de l'apprentissage :La loi de l'effet : un comportement suivi d'une récompense sera associé à la situation qui l'a déclenché. Burrhus Frederic Skinner est un psychologue et un penseur américain. Il est l'inventeur d'un dispositif de conditionnement opérant communément appelé boîte de Skinner. (Wikipedia) Gestalt- psychologie et l'école de Wurzburg de la denkpsychologie Wertheimer et Köhler Max Wertheimer (15 avril 1880 - 1943) est un psychologue allemand, l'un des fondateurs de la psychologie de la forme. Les recherches de Max Wertheimer portent à l'époque sur la psychologie criminelle (Stumpf enseigne cette matière et Wertheimer suit également les cours de criminologie de Hans Gross). La psychologie cognitive Gardner Le constructivisme
Freud Sigmund
"Dans un essai paru en 1925 intitulé : «Présentation de moi-même » (2) Sigmund Freud nous indique expressément que chez lui la vie, l'oeuvre et l'accueil qui leur fut réservé ne doivent jamais être dissociés si on veut comprendre sa découverte de la psychanalyse à la fois comme pratique thérapeutique et comme théorie métapsychologique. Dans cette étroite liaison, un élément pourtant va finir par dominer au point d'en constituer le véritable projet existentiel: la volonté de comprendre la seule chose qui importe à la fin, l'homme. «Ma Présentation de moi-même montre comment la psychanalyse devient le contenu de ma vie, et se conforme ensuite à ce principe justifié que rien de ce qui m'arrive personnellement ne mérite d'intéresser au regard de mes relations avec la science.» (3) Une vie, une oeuvre Pour lui être fidèle, le mieux est peut-être encore de suivre son propre récit autobiographique que l'on pourrait intituler, à la manière d'Alain, «l'histoire de mes idées». Notes2. Freud.
Maria Montessori
Maria Montessori Nombreuses sont les écoles « Montessori » de par le monde, et certains illustres personnages, tels Brin et Page, fondateurs de Google, en ont fréquenté les rangs. Si ces écoles sont présentes en France, l'Education nationale, quant à elle, ne se réfère pas explicitement aux principes pédagogiques du docteur italien. Dates principales 1870 : naissance à Chiaravalle, province d'Ancône, Italie. 1883 : installation de la famille à Rome 1896 : Maria Montessori obtient son titre de docteur en médecine. Maria Montessori est née en 1870 dans un village de la province italienne d'Ancône, mais dès l'âge de treize ans, elle se retrouve à Rome, où sa famille vient de s'installer. C'est paradoxalement sa profession de médecin qui va l'amener à s'interroger sur la pédagogie. Entre deux guerres Une éducation à la paix est-elle possible ? Education nouvelle Le postulat de départ de Maria Montessori est de nier qu'il y aurait nécessité de conflits dans les relations humaines. Conclusion