Introduction à l'Ordre des Skull and Bones. Après 16 livres et 25 années de recherches fondamentales, je pensais que j'avais tout entendu... que le monde était un désordre confus, probablement au-delà de toute compréhension et certainement au-delà de tout salut, et je ne pouvais pas faire grand chose à son sujet. En 1968 mon livre "Technologie de l'Ouest et Développement Économique Soviétique" a été publié par l'Institution Hoover à l’université Stanford. En trois volumes substantiels j'ai détaillé comment l'Ouest avait construit l'Union Soviétique. Cependant, le travail a produit un puzzle apparemment insoluble - pourquoi avons nous fait ceci ? Pourquoi avons nous construit l'Union Soviétique, pendant que nous avons aussi transféré la technologie à l'Allemagne de Hitler ? Pourquoi Washington veut dissimuler ces faits ? Si je devais avoir une œuvre majeure, c'est ce livre. Phénix, Arizona, Le 30 juillet 1983. Introduction à l’édition de 2002. Le Pouvoir Occulte Américain a eu une histoire exceptionnelle dans l'édition. Antony Sutton
Revenu inconditionnel ou salaire à vie ? | Article | Réseau Salariat Réseau Salariat vise l’institution d’un statut politique du producteur, donnant droit à un salaire à vie attaché à la qualification personnelle. Or cette proposition fait souvent l’objet de comparaison avec celle du revenu de base. Parmi les différentes versions existantes, nous choisissons de nous intéresser ici au revenu inconditionnel (RI) tel qu’il est promu ces dernières années dans plusieurs livres et articles par Baptiste Mylondo. La proximité, en première approche, des objectifs de sa proposition avec ceux du salaire à vie nous semble propice à mettre en relief ce qui fonde finalement leur opposition. Rappelons brièvement quel est l’objet du salaire à vie et à la qualification : il entend doter tout citoyen, dès l’âge de la majorité, d’un salaire, fondé sur la reconnaissance d’une qualification personnelle, irrévocable et ne pouvant que progresser. Nos sources sont constituées : I – Salaire et revenu I.1 – Le salaire et son lien à la qualification Résumons. Annexe Cf. Utopia, 2010.
Ggouv OuiShare : Connecting the Collaborative Economy les-avantages-d-un-revenu-de-base-inconditionnel Le dogme de la nécessité du plein emploi Dans notre société il y a un dogme autant bien ancré que celui de la croissance économique, c'est le dogme du plein emploi. Le chômage est le spectre que l'on annonce pour faire peur à tout le monde et pour faire accepter les décisions impopulaires. Tout est fait pour favoriser la création et la sauvegarde des emplois. C'est le discours principal des partis politiques de l'extrême gauche à l'extrême droite. Tout le monde est pour l'emploi ! Cependant, c'est un sacré raccourci qui est fait. Ce que tout le monde veut, ce n'est pas un emploi... ... c'est un revenu pour vivre ! D'accord, alors donnons un revenu à chaque personne pour la simple et bonne raison qu'elle est en vie. C'est le principe du revenu de base inconditionnel. Pour tenter de diffuser l'idée d'un tel revenu de base, le cinéaste allemand Enno Schmidt et le balois Daniel Häni ont réalisé un film qui montre le fonctionnement et le financement d'un revenu de base inconditionnel.
Qui suis-je ? Paul Jorion est titulaire de la chaire « Stewardship of Finance » à la Vrije Universiteit Brussel. Il est également chroniqueur au Monde-Économie et fait partie du Groupe de réflexion sur l’économie positive dirigé par Jacques Attali. Il est diplômé en sociologie et en anthropologie sociale (Docteur en Sciences Sociales de l’Université Libre de Bruxelles). Paul Jorion a travaillé de 1998 à 2007 dans le milieu bancaire américain en tant que spécialiste de la formation des prix. Ses ouvrages les plus récents sont Misère de la pensée économique (Fayard 2012) et La survie de l’espèce (Futuropolis/Arte 2012) avec Grégory Maklès. Contact : pauljorion@gmail.com Paul Jorion sur Wikipedia. Sur Horschamp.org . Sur YellowCultureClub.com. N.B.
Le mythe de l'Islande anticapitaliste et révolutionnaire : les faitsNo Comment Parce que je suis fatigué que vous répandiez des contre-vérités Puisque les gens continuent de répandre les allégations douteuses que l’Islande « a dit aux créanciers et au FMI d’aller se faire voir, a nationalisé les banques, a arrêté les fraudeurs, a réalisé des allègements de dette et est maintenant en très forte croissance, merci », il m’apparaît que je dois écrire cet article. (Cet exemple précis vient de Twitter, mais est presque identique, mot pour mot, au classique mantra « l’Islande est une utopie économique » qui se répète ad nauseam.) Parce que, pour quelque raison, les gens ne croient pas les Islandais lorsqu’ils disent que ce qui précède n’est pas tout à fait la réalité dont la plupart des Islandais font l’expérience. L’Islande donne une leçon de démocratie au reste du monde en affrontant le système bancaire.L’exemple typique de message que l’on retrouve sur les réseaux, totalement démenti par l’auteur. 1. Non, ce n’est pas le cas. 2.
La décroissance, un point de vue parfaitement réactionnaire | Union Communiste Internationaliste Si les années quatre-vingt-dix ont vu émerger et se développer les idées de l'altermondialisme, ce courant est aujourd'hui concurrencé, chez un certain nombre de jeunes et moins jeunes plus ou moins contestataires, par un courant qui s'est baptisé : la décroissance. Refus de la croissance économique, « antiproductivisme », lutte contre la consommation, volonté de revenir à une économie locale, rejet du progrès technique, démarche de « sobriété » ou de « simplicité volontaire », sont les piliers de ce nouvel évangile. Il est difficile de savoir si le relatif succès de ce courant sera un phénomène durable. Mais il est incontestable qu'il est, pour l'instant, à la mode. L'intérêt pour la décroissance d'une partie de la petite bourgeoisie intellectuelle, d'une frange de la jeunesse étudiante, paraît indéniable. Il est clair que le glissement vers la décroissance d'une partie des partisans de l'altermondialisme serait un recul, du point de vue des idées. Le décor est planté.
Dans le dos du pouvoir Après avoir longtemps travaillé, de manière empirique, sur les sociétés paysannes, vous changez radicalement d’échelle pour proposer, avec La Domination et les arts de la résistance, un livre de portée générale, transhistorique, sur les pratiques de résistance à la domination. Comment caractériser cette inflexion ? Mon premier livre portait sur la rébellion [1]. Ainsi Weapons of the Weak [2], qui précède La Domination et les arts de la résistance, était fondé sur deux ans de travail de terrain en Malaisie. Or j’ai découvert pendant mon travail de terrain en Malaisie que lorsque je parlais à des paysans pauvres en situation de face à face, ils me donnaient une version particulière d’une histoire, de quelque chose qui se passait dans le village. Pour appuyer cette ambition, vous avez recours à une très grande diversité de sources, de références, de textes, relatifs à des périodes et des contextes très variés. De fait, le livre a connu un très grand succès… Je vois. Oui, tout à fait.
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