Adam Smith Adam Smith portraituré en 1787. Signature La plupart des économistes le considèrent comme « le père de l’économie politique » ; pourtant, certains, comme Joseph Schumpeter ou Murray Rothbard, l'ont défini comme un auteur mineur, considérant que son œuvre comportait peu d'idées originales et que ces dernières étaient pour beaucoup fausses[1],[2]. Il choisit lui-même ses lectures, un choix qui lui vaut d’être menacé d’expulsion de l’université lorsqu’on découvre dans sa chambre le Traité de la nature humaine du philosophe David Hume, lecture jugée inconvenante à l’époque[9]. Choisissant une carrière universitaire, Smith obtient à l’âge de vingt-sept ans la chaire de logique à l’université de Glasgow et plus tard celle de philosophie morale. Au-delà de son excentricité, la célébrité d’Adam Smith provient aussi de son travail et de la parution en 1759 de la Théorie des sentiments moraux, œuvre de philosophie qui le fait connaître en Grande-Bretagne et même en Europe. Publiées à titre posthume
Bernard Friot (sociologue) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Il anime l'Institut européen du salariat et l'association d'éducation populaire Réseau Salariat, qui promeut l'idée d'un « salaire à vie » pour tous, une proposition alternative au revenu de base[3], idée que Friot dénonce comme étant « la roue de secours du capitalisme »[4]. Ses recherches portent sur la sociologie du salariat et la comparaison des systèmes de protection sociale en Europe. Ses travaux ont également porté sur les retraites, allant à l'encontre des réformes proposées par le gouvernement en 2010. Il a plusieurs fois contredit des idées communément admises, comme en 2010 quand il explique que le « chômage des jeunes » est un « mensonge d'état », et qu'en réalité « un taux de chômage de 25 %, cela veut dire que le quart de 30 % des jeunes est au chômage.
Liste d'agrégateurs de contenu (non exhaustive) Agrégateurs en ligne (accessible de n'importe quel ordinateur) Agrégateurs Intégrés dans un navigateur ou dans un gestionnaire de courrier Extension Sage pour Firefox, tout système d'exploitationAkregator (Linux, bureaux KDE) peut être relié à Kmail, le logiciel courrier via "Personal Information Manager" ou KontactMozilla Thunderbird ( Apple - Linux - Windows ) : permet la création d'un compte spécifique pour les fils RSS et l'archivage des fils d'information. Guide d'utilisation : s'intégre aussi à Outlook (logiciel courrier Windows) Safari (sur Apple Mac OS 10.4 Panther) Opera : les fils RSS sont signalés par une petite icône bleu dans la barre de navigation. En cliquant sur cette icône, vous pouvez vous abonner au fil, qui apparait alors dans l'onglet "Feed" du navigateur. Linux, Windows, Apple. Agrégateurs multi-plateforme, s'installant sur l'ordinateur Agrégateurs pour Linux Agrégateurs pour Windows Agrégateurs pour Mac
Paul Jorion - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Paul Jorion[1], né le 22 juillet 1946[2] à Bruxelles, est un chercheur en sciences sociales, de nationalité belge, ayant fait usage des mathématiques dans de nombreux champs disciplinaires : anthropologie, sciences cognitives, et économie[3]. Anthropologie[modifier | modifier le code] Modélisation algébrique des systèmes de parenté[modifier | modifier le code] Élève de Claude Lévi-Strauss et du mathématicien Georges-Théodule Guilbaud, Paul Jorion a fait progresser la modélisation algébrique de systèmes de parenté, résolvant en particulier le système matrimonial des Pendé du Congo (en collaboration avec Gisèle de Meur et Trudeke Vuyk), et réconciliant plusieurs interprétations contradictoires du système de parenté des Murngin d'Australie (à partir d’une recherche menée en commun avec Edmund Leach, son professeur à l’université de Cambridge[réf. nécessaire]). Il est coauteur avec Douglas R. Sciences cognitives[modifier | modifier le code]
Keynésianisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le keynésianisme est une école de pensée économique fondée par l'économiste britannique John Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. En outre, l'État a un rôle à jouer dans le domaine économique notamment dans le cadre de politique de relance. Toutefois, l'importance de ce rôle varie avec les courants keynésiens et avec les traditions étatiques des différents pays. Pour Alan Blinder[1] le keynésianisme s'articule autour de six principaux traits dont trois concernent le fonctionnement de l'économie et trois les politiques économiques. (1) la demande agrégée est erratique ;(2) les inflexions de la demande ont une plus grande influence sur la production et l'emploi que sur les prix ;(3) les prix et spécialement les salaires réagissent lentement au changement de l'offre et de la demande. Les grands traits du keynésianisme[modifier | modifier le code] C : consommation
Histoire de la pensée économique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'histoire de la pensée économique appartient à la fois au domaine de l'Histoire et à celui de l'économie. Elle s'attache à présenter et à comprendre l'évolution des formes et des contenus de la pensée économique. Jusqu'au XVIe siècle, la pensée économique n'est pas formulée en tant que telle. Qu'est-ce que l'histoire de la pensée économique ? Il n'existe pas réellement de définition précise, mais quelques traits majeurs ressortent de l'étude des écrits des économistes : L'histoire de la pensée économique examine les grandes théories économiques de manière rétrospective. De la Préhistoire jusqu'aux débuts de l'Antiquité Grecque[modifier | modifier le code] Les prémices de la pensée économique peuvent être détectées dans toutes les civilisations : Chinoise (voir Qin Shi Huang), Grecque, Indienne, Mésopotamienne, Perse, Romaine, etc. En Mésopotamie[modifier | modifier le code] En Chine[modifier | modifier le code] En 81 av. Socrate (470-399 av.
Prométhée - Wikipédia Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Généalogie[modifier | modifier le code] Mythe de Prométhée[modifier | modifier le code] D'après le pseudo-Apollodore, Prométhée aurait créé les hommes à partir d'eau et de terre[5]. Pausanias place la scène à Panopée en Phocide[6]. (Athéna, née en jaillissant de la tête de Zeus, introduit le souffle de la vie dans ces corps d'argile). Ayant découvert sa ruse, Zeus le punit pour avoir volé les Dieux. Il est puni, non pas pour avoir donné le Savoir aux Hommes mais pour avoir volé les Dieux: En effet, la tâche confiée à Prométhée était de donner un souffle de vie à chaque créature, celle de son frère de les armer (griffes, défenses, crocs…) afin qu'elles se défendent face aux autres créatures. Épiméthée ayant failli, le don du "Feu" corrige son erreur. Dans la version d'Hésiode, c'est à la suite du choix imposé par Prose et les os et dans l'autre, plus petite et moins bien agencée, les meilleurs morceaux. Interprétations[modifier | modifier le code]
La croissance, est-elle une réussite en soi Elle est certainement un élément de preuve de réussite, mais elle n’est pas la preuve de la réussite. Car elle recèle également en son sein un véritable danger qui guette l’entreprise sur au moins trois dimensions : la culture d’entreprise, le stress, la gouvernance. Au début de la vie d’une entreprise, sa réussite repose beaucoup sur la réactivité et la capacité des équipes à s’affranchir de règles implicites ou explicites. La culture de la remise à plat y est souvent considérée comme une perte de temps : on n’aime pas les règles, les procédures, on est dans le règne de la débrouille, seul le résultat compte. Par ailleurs, au fur et à mesure qu’elle grandit, l’entreprise voit son univers se complexifier et devenir plus difficile à maîtriser. À cela, s’ajoute le sentiment pour les autres, notamment les nouveaux entrants, que les "anciens" ne jouent pas le jeu que l’on attend d’eux; ce qui mine l’état d’esprit. Par Stéphane Lescure - Proconseil
Libéralisme économique Les partisans du libéralisme économique se rangent en deux grandes familles. Pour les libéraux classiques (John Locke, Anne Robert Jacques Turgot, Adam Smith ou Étienne Bonnot de Condillac), le libéralisme économique est l'application au domaine économique des principes fondateurs du libéralisme : liberté, responsabilité, propriété. Ils contestent à la fois la légitimité et l’efficacité de l’action étendue de l’État, et, selon les doctrines, demandent la limitation plus ou moins grande voire totale de ses actions dans le champ de l'économie. Ils considèrent notamment que la puissance publique n'a ni la légitimité, ni l'information nécessaire pour prétendre savoir mieux que les consommateurs ce qu'ils peuvent ou doivent consommer ou pour prétendre savoir mieux que les producteurs ce qu'ils peuvent ou doivent produire. Histoire de la liberté économique[modifier | modifier le code] Révolution française[modifier | modifier le code] Royaume-Uni[modifier | modifier le code]
Histoire des sciences Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'histoire des sciences est l’étude de l'évolution de la connaissance scientifique. L'histoire des sciences n'est pas la chronique d'une série de découvertes scientifiques. C'est l'histoire de l'évolution d'une pensée, mais aussi d'institutions qui offrent à cette pensée les moyens de se déployer, et de traditions qui viennent l'enrichir. L'histoire des sciences n'est pas l'histoire des techniques. Les unes et les autres sont bien sûr liées, mais ne peuvent être identifiées les unes avec les autres. Préhistoire[modifier | modifier le code] Historiquement, la technique précède la science. Le développement de l'agriculture et de l'élevage ne sont pas non plus sans rapport avec l'émergence de certaines protosciences, le calcul et l'astronomie en particulier[réf. nécessaire]. Antiquité[modifier | modifier le code] L'homme pense à son environnement depuis la nuit des temps, comme en témoignent les fresques préhistoriques. Aristote
ENTREPRISES : Stratégies & Cultures numériques | CIGREF – réseau de grandes entreprises Karl Polanyi Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Polanyi. Dans le nom hongroisPolányiKároly, le nom de famille précède le prénom, mais cet article utilise l’ordre habituel en français KárolyPolányi où le prénom précède le nom. Son livre majeur « La Grande Transformation »[1] souligne l'absence de naturalité et d'universalité de concepts comme « l'homo oeconomicus » ou « le marché » souvent présentés à ses yeux comme évidents ou ayant valeur ou signification uniques et/ou intemporelles. Son idéal -d'après son traducteur B. Biographie[modifier | modifier le code] Le Cercle Galilée[modifier | modifier le code] Alors qu'il est étudiant à l'université de Budapest (Budapesti Tudományegyetem), il fonde en 1908 le Cercle Galilée, dont il est le premier président, et qui rassemble des étudiants progressistes de cette Université. La Liberté d'esprit : « Par liberté d'esprit nous n'entendons ni déni de la vérité, ni déni de l'éthique, de la loi ou de l'autorité. K.
Théorie économique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Selon l'Économiste français Raymond Barre[1], la théorie économique est l'une des composantes de la Science Économique. Elle correspond à la seconde étape de la mise en œuvre de cette discipline. La science économique implique en effet une démarche rigoureuse qui s'organise en 4 stades successifs : « L'observation économique se propose en premier lieu de décrire les faits et les méthodes relatifs à l'administration des ressources rares et qui se manifestent dans le temps et dans l'espace: il s'agit là d'observer et de classer les enseignements de l'expérience . »« En second lieu, il s'agit d'organiser les faits de manière à faire paraitre les uniformités et les régularités qui caractérisent les comportements humains. Définition de la Théorie économique[modifier | modifier le code] Théorie et «Loi économique»[modifier | modifier le code] La controverse à propos des «Lois économiques»[modifier | modifier le code] Portail de l’économie
Les ecoles de la théorie des organisations - Samir CHAQRI 1) L'Ecole classique Parmi les principaux précurseurs de la théorie des organisations, apparaissent le français FAYOL et l'américain TAYLOR, et l'allemand WEBER. Tous trois sont considérés comme les fondateurs de ce qu'on a coutume d'appeler "l'Ecole classique du management" et leurs idées ont été largement mises en pratique dans les entreprises. FAYOL s'est principalement intéressé aux problèmes de direction de l'entreprise et a jeté les bases de la théorie administrative. Or, on remarque que l'Ecole classique regroupe en son sein des courants de pensée aux préoccupations differentes mais marqués par une même approche de l'organisation, à savoir la recherche de la rationalité. 1-1) Le Taylorisme et le management scientifique v Frederick Winslow Taylor : F.W.Taylor (Etats-Unis, 1856-1917) est considéré comme l'un des membres fondateurs de la théorie des organisations. v Principes du management scientifique du travail : 1. 2. 3. 4. 1. 2. 3. 4. 1-2) Le courant administratif de Fayol 1. 2. 3.