WikiInfoDoc | Accueil / Presentation browse Liste des notions [afficher] B (base de données, bruit...) D (document, droit de l'information...) I (identité numérique, indexation...) O (opérateur, outils de recherche...) P (pertinence, publication...) R (référence, réseaux sociaux...) T (thésaurus, type de document...) V (veille, vocabulaire contrôlé...) Ce Wikinotions InfoDoc est un projet collaboratif piloté par l'APDEN (ex-FADBEN), Association des professeurs documentalistes de l’Éducation Nationale, destiné à préciser le contenu d'un enseignement en information documentation. Il s'agit, depuis novembre 2013, d'une nouvelle version du Wikinotions développé en 2010, avec un changement d'outil, une plus grande ouverture aux contributions, la volonté de compléter le travail effectué autour des notions. Cet outil cherche à associer acteurs de terrain et chercheurs dans la définition de notions essentielles et la mutualisation de pistes pédagogiques sur ces mêmes notions.
Internet, une histoire pas tellement virtuelle | Usbek & Rica Le monde des données est composé de câbles, data centers et d’unités de refroidissement dans lesquels les géants du web investissent massivement. L’univers digital, constitué par vos posts Facebook, vos tweets et mails, n’est pas aussi virtuel que l’on pourrait croire et génère 2% des émissions de CO2 dans le monde. Le mythe de la dématérialisation a laissé imaginer que l’espace digital était infini et gratuit. Pourtant, le monde virtuel n’a jamais été aussi réel : Internet est polluant, coûte cher et fait beaucoup trop de bruit. Pourquoi ça pollue d’envoyer un email ? 215 milliards d’emails sont envoyés chaque jour dans le monde (source : Radicati Group, mars 2016). Pourquoi les data-centers sont-ils toujours dans des endroits absurdes ? Ashburn en Virginie, Luleå en Suède, Quilicura au Chili : les data-centers sont souvent situés dans des endroits dont personne n’a jamais entendu parler. Pourquoi Facebook et Microsoft fabriquent-ils des câbles sous l’Atlantique ?
Culture numérique dans l'éducation - FADBEN - Fédération des enseignants documentalistes de l’Éducation nationale Culture numérique dans l'éducation Le terme de « culture numérique » vise à rendre compte d'un basculement dans les modes de production et de diffusion des connaissances. L'école est confrontée à une double responsabilité : d'une part intégrer les règles techniques et organisationnelles du numérique dans les programmes, afin de permettre aux élèves de mieux maîtriser leur environnement ; d'autre part proposer un enseignement qui tire partie de nouvelles opportunités (formation à distance, travail collectif, accès aux documents,...) La formule usagée du remplacement des savoirs par la capacité « d'apprendre à apprendre » va de pair avec la juxtaposition des documents sans hiérarchisation qui est le sous-produit des moteurs de recherche.
Comment évaluer les notions info-documentaires : une démarche en 7 étapes Guide à l’usage du professeur documentaliste Aujourd’hui, il apparaît de plus en plus nettement que le cœur des apprentissages info-documentaires est conceptuel : il est plus utile, en effet, de connaître et de comprendre les principes essentiels relatifs aux outils, aux processus, aux usages et aux problèmes d’ordre informationnel tels qu’ils irriguent notre « société de l’information » que de courir sans cesse après les éternelles évolutions des outils et les incessantes adaptations procédurales que ceux-ci génèrent. Par ailleurs, et depuis quelques années maintenant, les acteurs de l’éducation, professeurs-documentalistes en première ligne, prennent conscience que les expériences spontanées des élèves ne suffisent pas à les rendre maîtres ni des outils ni des stratégies basiques de la recherche documentaire, sans même parler d’asseoir une culture de l’information ! 1. Les 7 étapes de l’évaluation des concepts info-documentaires 1.1. Exemples : 2. 1.2. Consignes : 1. 1.3. 1. 1. 2. 3. 1.
Living Books About History « Il existe une demi-douzaine de livres sur Internet, écrits par des gens qui n’étaient pas là quand il a été développé. On est tenté de commencer un ouvrage sur le sujet par la vieille remarque : “Tout ce que vous savez est faux !” » (Jacques Vallée, Au cœur d’Internet, Balland, 2004, p. 20). Il y a tout juste cinquante ans, en 1966, Charles Herzfeld débloquait à l’Advanced Research Projects Agency les financements qui permettront au département de l’IPTO (Information Processing Techniques Office) de lancer le projet Arpanet ; il y a vingt-cinq ans, en 1991, le Britannique Tim Berners-Lee annonçait en ligne, dans les Newsgroups, espaces de discussion de la communauté Usenet1, l’invention du Web ; il y a vingt ans, en 1996, Brewster Kahle créait Internet Archive, fondation qui se donnait alors pour mission d’archiver le Web mondial... L’histoire du World Wide Web, à laquelle est largement consacrée la troisième partie, rencontre bien sûr celle d’Internet. Pourquoi s’y intéresser ?
Commons, commun, communauté 1re séance du webinaire « Biens communs numériques », organisé par le Master recherche Infocom de l’université Paris Ouest et coordonné par Louise Merzeau, en partenariat avec SavoirsCOM1, le Pôle Métiers du Livre de Saint-Cloud et le Master « Architecture de l’information » de l’ENS de Lyon dirigé par Jean-Michel Salaün. Avec Hervé Le Crosnier (@hervelc) et Lionel Maurel (@calimaq). jeudi 23 janvier de 14h à 17h Vous pouvez participer aux séances du webinaire : en vous rendant sur place (Université Paris Ouest Nanterre La Défense, RER A gare « Nanterre Université », 3e étage du bâtiment E) ;en le suivant à distance depuis le blog du Master, en direct et/ou en différé ;en participant à la conversation vidéo pour échanger en direct avec les intervenants (dans la limite de 10 participants simultanés). Vous devrez pour cela accepter l’invitation à rejoindre le hangout depuis votre compte Google+. Mot-dièse du webinaire : #M2Communs. → Visiter le blog du Master Recherche Infocom
Les humanités digitales : un renouveau pédagogique ? – Le guide des égarés. Je publie ici ce travail initialement destiné à une revue de vulgarisation de la recherche, mais qui a finalement été refusé pour des motifs inconnus. Je préfère le mettre ici en ligne : il s’adresse à un public élargi car les initiés des humanités digitales n’y apprendront rien de particulier. J’espère néanmoins que l’année 2016 verra davantage de publications et de manifestations sur cette thématique (d’après mes infos, cela devrait être davantage le cas !) Le contexte des humanités est d’abord celui d’une interrogation des processus et méthodes de recherche avec l’utilisation de plus en plus fréquente d’outils issus de l’informatique. « 1. Pour nous, les digital humanities concernent l’ensemble des Sciences humaines et sociales, des Arts et des Lettres. Le choix d’évoquer des humanités digitales permet également de mieux prendre en considérant des aspects matériels que les discours simplistes de la matérialisation ont pu minimiser. La participation à la transcription. L’annotation
Où la révolution numérique mène t-elle ? – Mondes Sociaux CC Pixabay OpenClipart-Vectors La révolution numérique s’est imposée à la fin des années 2000 quand des milliards de personnes ont pu se connecter à Internet. Cette révolution technique n’obéit à aucune volonté politique de transformation sociale et personne ne connaît la direction qu’elle nous fait prendre. « Quand on ne sait pas où l’on va, dit le proverbe, il vaut mieux savoir d’où l’on vient ». Revisiter et expliciter ces problématiques est indispensable si on veut comprendre la dynamique de l’incertaine révolution numérique en cours. Au début des années 1970, l’automatisation des fichiers de personnes fait naître des craintes pour les libertés individuelles dans la mesure où l’Etat a désormais les moyens de rendre totalement transparents ses administrés. En 1978, le Rapport Nora-Minc sur L’informatisation de la société considère que l’on a surestimé les dangers de l’informatique pour les libertés. Black E., 2001, IBM et l’holocauste, Paris : Robert Laffont. CC Wikimedia Commons
sic-et-doc Culture numérique : un concept récent Culture numérique et culture informationnelle Milad Doueihi introduit et consacre l’expression "culture numérique" dans son ouvrage "La grande conversion numérique", en 2008. : «Le numérique s’est imposé comme une nouvelle culture qui modifie notre rapport à l’espace, à la politique, aux choses et à nous-mêmes » Le concept introduit l'idée que le numérique génère sa propre culture, notamment à travers l'évolution des rapports entre les outils et la pensée, ainsi qu'à travers les pratiques. L'approche de Marcello Vitali Rosati à tavers son blog.sens-public La réflexion de Bernard Stiegler autour de l'organologie Alain Giffard, Manifeste pour la culture numérique
Conférence de Carol Collier Kuhlthau : Repenser l’Information Literacy au 21ème siècle Compte-rendu de la conférence de Carol Collier Kuhlthau donnée à l’université de Tallinn, le mercredi 19 octobre 2015 dans le cadre de la conférence européenne sur l’Information Literacy ( ECIL 2015) par Karine Aillerie. Carol Collier Kuhlthau , Professeur émérite, Département Science de l’information et des bibliothèques, Université Rutgers . Centre de recherché pour la scolarité internationale dans les bibliothèques scolaires . Princeton, New JerseyKarine Aillerie Chargée d'études [Direction R&D usages du numérique éducatif – réseau Canopé] . Source : @jesuslau Préambule Carol Collier Kuhlthau est à l’origine d’un modèle cognitif de la recherche d’information parmi les plus mondialement connus et appliqués. Depuis les premières réflexions à propos de l’information literacy, énormément de changements sociaux, culturels et techniques se sont produits. Si l’on reprend la définition première de l’information literacy donnée par L’ALA (American Library Association) : Voir le diaporama
« Tout le foisonnement que permet Internet est fortement menacé » Percée de l'intelligence artificielle, développement des objets connectés, fin du Web tel que nous le connaissons... Sébastien Soriano, patron de l'autorité de régulation des télécoms en France (l'Arcep) se prête au jeu de la prospective avec Usbek & Rica en nous donnant sa vision de l'avenir d'Internet. Sébastien Soriano est un homme occupé. Patron de l'Autorité de régulation des communications et des postes (Arcep) depuis 2015, ce haut fonctionnaire issu de Polytechnique et passé par le cabinet de Fleur Pellerin du temps où elle était secrétaire d'État au numérique, a du pain sur la planche. Régulation des opérateurs français, déploiement de la fibre en France, contrôle de la neutralité du Net... les sujets brûlants ne manquent pas. Dans son bureau parisien avec vue sur la Tour Eiffel, pas de piles de dossiers mais un portrait de François Hollande encore accroché au mur. En tant que patron de l’Arcep, vous êtes plongés dans des dossiers très technique au quotidien.