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La phagocytose (0'28)

La phagocytose (0'28)
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Visqueux, rampant et presque immortel : pourquoi le blob fascine les scientifiques (2'59) Le système cardio-vasculaire en détail Le système cardio-vasculaire est un ensemble constitué du cœur qui a le rôle de pompe, et de vaisseaux sanguins, sortes de tuyaux qui vont faire circuler le sang partout dans le corps. Le schéma ci-dessous t’aidera à comprendre la suite de l’article, je te conseille de le regarder en même temps que tu lis l’article pour t’aider à comprendre. Schéma général du système cardio-vasculaire Il existe trois grandes sortes de vaisseaux sanguins : Les capillaires sanguins, qui sont de très petits vaisseaux qui irriguent tous les organes,les artères, qui partent du cœur pour aller jusqu’aux capillaires des organes,les veines, qui partent des capillaires pour retourner au cœur. On peut également citer les artérioles, qui sont de petites artères reliant les artères aux capillaires, et les veinules, reliant les capillaires aux veines. Le cœur, qui sera le sujet d’un prochain article, est « la pompe » de tout ce système, c’est lui qui propulse le sang dans tout le réseau de vaisseaux sanguins. Préfixes:

1780, Spallanzani et les spermatozoïdes - Corpus - réseau Canopé (2'50) Jusqu’au milieu du XVIIIe siècle, les théories de la reproduction sont encore très influencées par celles de Galien (IIe siècle apr. J.-C.) et Aristote (IVe siècle av. J.-C.). Le plus souvent, il est admis que la femme contient dans son utérus les semences mâle et femelle qui produisent les différents organes de l’embryon.La découverte des spermatozoïdes au XVIIe siècle, grâce au tout récent microscope, introduit l’idée que le sperme contient un individu microscopique mais complet qui se développe au sein de la femme.

L'immunité adaptative - Corpus - réseau Canopé (6'29) L’immunité innée constitue une première ligne de défense naturelle contre des éléments menaçant l’intégrité de l’organisme. Cette immunité peut être complétée, chez les vertébrés, par l’immunité adaptative dont l’assise repose sur la mobilisation spécifique de cellules immunocompétentes : les lymphocytes T et les lymphocytes B. La lutte contre un antigène endocellulaire (virus de la grippe par exemple) recrute ainsi des lymphocytes particuliers : les lymphocytes T8 et les lymphocytes cytotoxiques. Ces derniers sont capables, après avoir été activés, de reconnaître puis lyser spécifiquement une cellule infectée affichant à sa surface un peptide antigénique. La lutte contre un antigène circulant ou extra-cellulaire (toxine tétanique par exemple) recrute, quant à elle, une autre catégorie de lymphocytes : les lymphocytes B dont la différenciation correspond au plasmocyte.

La digestion, un vrai parcours d'aventurier Que deviennent les aliments après leur passage dans la bouche ? Comment une partie peut-elle servir à alimenter toutes les parties de notre corps et l’autre partie être rejetée sous forme d’excréments ? Tu es devant ton assiette et tu déposes un aliment dans ta bouche. A ce moment tu secrètes involontairement de la salive qui facilite la descente dans l’estomac de ce que l’on appelle le bol alimentaire. Par la même occasion, tes dents hachent ce bol alimentaire pour former une bouillie facile à avaler. Le bol descend dans l’estomac en passant par l’œsophage, un long tube vertical. Dans l’estomac, de l’acide chlorhydrique va réduire en purée tout ce qui s’y trouve. Puis vient le passage dans l’intestin grêle, dans lequel le foie sécrète de la bile qui va s’occuper des graisses. Sans elle, les selles (excréments) seraient blancs/gris. Certaines parties des aliments ne sont pas utiles au corps humain. Tout ce qui reste (de l’eau ,quelques bactérie, des cellules mortes,…) forme l’excrément.

La réaction inflammatoire - Corpus - réseau Canopé (3'40) L'inflammation est une réaction innée de l'organisme, déclenchée en réponse à un traumatisme (brûlure, piqûre) et/ou à une agression par un pathogène (bactéries, par exemple). Cette réaction de défense, caractérisée, au niveau de la zone lésée, par l’existence couplée d’une rougeur, douleur, chaleur, d’un gonflement, repose essentiellement sur l’intervention de cellules différenciées du système immunitaire (les macrophages, les cellules dendritiques, les mastocytes…).Par leurs actions coordonnées, ces cellules sont capables d’interagir avec les éléments à neutraliser.

La mucoviscidose - Corpus - réseau Canopé (2'54) Cette vidéo illustre la transversalité des programmes des sections technologiques et peut servir de supports à différents points de programme (et à des recherches documentaires). Notamment, dans la série STL, les barrières naturelles qui limitent l’entrée d’agents étrangers, la relation entre génotype et phénotype, l’existence de pathologies ayant une origine génétique et les recherches en thérapie génique qui explorent des pistes pour soigner les maladies génétiques.

Les défenses de l’organisme Le corps connaît tous les jours de multiples agressions venant du milieu extérieur. Parmi celles-ci, il y a les agressions provenant des micro-organismes. Le corps met en place différents mécanismes de défense pour éliminer tout ce qui est étranger à notre organisme : le « non-soi ». L’ensemble de ces mécanismes est appelé l’immunité. Les acteurs de l’immunité constituent le système immunitaire. Le corps met en place une réaction localisée (immunité immédiate) dans un premier temps qui sera suivie après 6 à 7 jours d’une réaction généralisée (immunité spécifique). Pour mieux comprendre cet article nous te conseillons de lire nos articles sur le sang et sur la contamination par les micro-organismes. Au niveau d’une blessure très locale, on observe une réaction inflammatoire : la blessure devient rouge, chaude et gonflée à cause de l’arrivée d’une grande quantité de sang. Une réponse immédiate de l’organisme se met en place. Prenons comme exemple la phagocytose d’une bactérie :

La mémoire immunitaire - Corpus - réseau Canopé (3'49) L'immunité adaptative permet de lutter contre les antigènes en mobilisant les lymphocytes immunocompétents. Lors de la mise en place de la réponse immune, une partie des lymphocytes sélectionnés et activés ne se différencie pas en cellules lutteuses mais forme un réservoir de cellules mémoires dont la durée de vie est importante. Ces cellules gardent en mémoire le premier contact établi avec l'antigène. Ces lymphocytes B et T mémoires, spécifiques d'un antigène, peuvent être mobilisés lors d'un contact ultérieur avec le même antigène ou son peptide antigénique. Par leur haute réactivité, ils permettent la mise en place d'une réponse immune plus rapide et plus ample, en bref, plus efficace pour neutraliser l'agresseur.

La respiration cellulaire - Corpus - réseau Canopé (4'40) Pour réaliser la plupart de ses activités, une cellule a constamment besoin de consommer et de produire de l’énergie. Dans nos cellules, cette énergie « directement utilisable » est représentée par un intermédiaire énergétique nommé adénosine triphosphate ou ATP. Sa présence est indispensable pour permettre à certaines réactions non spontanées et nécessitant de l’énergie (réactions dites endoénergétiques) de s’effectuer.La consommation massive et continue d’ATP, sans que son stockage intracellulaire ne soit possible, impose à la cellule une production tout aussi massive et continue. L’ATP doit être constamment régénérée.Cette régénération est permise par la dégradation de substrats organiques tels que, par exemple, le glucose.

La microbiologie en quelques dates Pourlascience.fr Cerveauetpsycho.fr Blogs Archives Mon compte Je m'abonne Panier (0) Article : La microbiologie en quelques dates La microbiologie, l'étude des microorganismes et de leurs relations avec l'environnement, a vécu de profondes transformations au fur et à mesure que les outils des biologistes progressaient. Au départ, ces analyses ne concernaient qu'une molécule à la fois, mais à partir des années 1970 et avec l'avènement de l'ère génomique dans les années 2000, les outils se sont améliorés et ont permis d'effectuer l'analyse exhaustive des molécules d'échantillons bien plus diversifiés que ceux produits en laboratoire. Cliquez sur l'image ci-dessous pour l'afficher en grand format, ou téléchargez gratuitement le pdf de l'article. Cet article a bien été ajouté à votre panier. Continuer ma visite Voir mon panier Article intégral en PDF Téléchargez cet article 2 pages - 332.8 Ko Télécharger Abonnez-vous ! Je m'abonne Achetez ce numéro Pour la Science n° 469 novembre 2016 Voir le sommaire

La peau - Corpus - réseau Canopé (3'55) D’une surface d’environ 2 mètres carrés et d’un poids proche de 5 kilos chez l’adulte humain, la peau est une structure corporelle dynamique à la fois souple, résistante, extensible et imperméable. Elle assure avant tout, en tant qu’enveloppe corporelle, une fonction de protection de l’organisme. Les trois tissus qui la constituent (l’épiderme, le derme et l’hypoderme) présentent chacun leur propre organisation histologique, leurs propres constituants cellulaires et moléculaires. Les fonctions ainsi dévolues à la peau sont multiples. D’une surface d’environ 2 mètres carrés et d’un poids proche de 5 kilos chez l’adulte humain, la peau est une structure corporelle dynamique à la fois souple, résistante, extensible et imperméable.

1882, Metchnikoff et la phagocytose - Corpus - réseau Canopé (2'44) Dans les dernières années du XIXe siècle, un débat virulent oppose les tenants de l’immunité cellulaire (France) et ceux de l’immunité humorale (Allemagne). Pour se défendre des agressions extérieures, un organisme ferait intervenir soit des cellules spécialisées, soit des substances solubles dans le sang. C’est le zoologiste russe Elie Metchnikoff (1845-1916) qui tranche, temporairement en 1882, la controverse en découvrant la phagocytose.

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