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L'Argent Dette 3 (version longue: 2h28) de Paul Grignon 2013

L'Argent Dette 3 (version longue: 2h28) de Paul Grignon 2013
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On nous a appris à ne pas voir Entretien avec Olivier Berruyer : La fin d'un monde Nous ne sommes pas la génération « perdue » Dans ce pays européen voisin dans lequel ils se retrouvent pendant une courte période, personne ne connaît véritablement la valeur de leurs diplômes, ni de leurs qualifications. Les employeurs hésitent à confier des responsabilités à un jeune qui s’exprime avec encore peu d’assurance dans une langue qui n’est pas la sienne. L’administration reste désespérément hermétique malgré la législation européenne protégeant nos droits. Sans soutien financier, sans travail, il semble impossible de rester. L’expérience européenne ne devient alors plus qu’un lointain souvenir, comme un beau rêve qui ne survit que sur les photos des réseaux sociaux. Il existe un gouffre entre l’envie de découvrir, de se découvrir en tant que citoyen européen dans un autre pays, et la réalité. Les difficultés de la jeunesse 99% de la jeunesse européenne vit dans des sociétés qui se côtoient sans échanger, comme les voisins d’un immeuble où l’on ne parle pas. Nous sommes la génération de la reconstruction

THRIVE – Que faut-il sur Terre pour prospérer ? (en français) Film sorti le aux Etats-Unis Gamble suggère que le tore est la forme la plus importante dans l’Univers. Par ailleurs le film couvre : les théories du complot relatifs à la censure de l’énergie libre , les ovnis, le système de réserve fractionnaire , et les crop circles . Ce documentaire non-conventionnel de plus de 2 heures lève le voile sur ce qui se passe « réellement » dans ce Monde ; en suivant notamment l’argent qui nous gouverne actuellement et en remontant à sa source – la découverte de la consolidation mondiale du Pouvoir dans presque chaque aspect de nos vies. Les remèdes à ces conditionnements contre-nature ? THRIVE est essentiellement décrit comme un

Pourquoi la fondation Gates finance Total, Coca et McDo Où les bons samaritains placent-ils leur argent ? Chez McDo, BP, Coca-Cola, Exxon Mobil et même dans une société de prisons privées. C’est ce qu’ont découvert les journalistes du magazine américain Mother Jones en épluchant la déclaration fiscale 2012 (en pdf) de la fondation Bill et Melinda Gates. Officiellement, les 36 milliards de dollars (26,24 milliards d’euros) de cet empire aussi riche que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sont censés « lutter contre la faim et l’extrême pauvreté ». Sylvain Lefèvre est chercheur à la chaire de responsabilité sociale et de développement durable de l’université du Québec à Montréal (UQAM). Terra eco : Pour une fondation qui dit œuvrer pour la santé, investir 2,2 milliards de dollars (1,5 milliard d’euros) dans l’entreprise McDonald’s, c’est normal ? Sylvain Lefèvre : Ce n’est pas vraiment surprenant. Une fondation américaine a donc deux visages ? Ce système n’est-il pas schizophrène ? C’est déjà arrivé. Pour aller plus loin :

Yanick Barrette: Monsanto: l'ennemi public n°1 Fondée il y a plus de 100 ans, Monsanto est une multinationale de biotechnologies végétales et d'agrochimie alimentaire, notamment reconnue pour la fabrication de l'agent orange - utilisée durant la guerre du Viêtnam - et de diverses formes de PCB. Mais Monsanto est aussi le leader mondial en matière de semences génétiquement modifiées (OGM). Pour les néophytes, les OGM sont des organismes qui ont subi, grâce à l'intervention de l'homme, une modification de leur patrimoine génétique dans le but de lui conférer de nouvelles propriétés. Autrement dit, l'entreprise, dans ce cas-ci Monsanto, travaille à transformer les caractéristiques génétiques (par ajout, suppression ou remplacement d'au moins un gêne), donnant naissance à un nouvel organisme, qui n'existe pas intrinsèquement dans la nature. Depuis des années, Monsanto est mise en cause dans plusieurs procès sur la toxicité de ses produits pour le domaine agricole. Le billet se poursuit après la galerie Loading Slideshow 657 Points

TSCG - Une playlist sur Dailymotion Dailymotion Sign in Playlist created by Mediapart | 11 videos Le débat TSCG: Pierre Laurent - Karine Berger (Bonus finances publiques) Create a Videozap Create a Videowall Create a Jukebox Grid List now playing Le débat TSCG: Pierre Laurent - Karine Berger (Bonus finances publiques) By Mediapart Le débat du TSCG: Pierre Laurent - Karine Berger (3/3) TSCG-Debat Trautmann Romagnan 3 TSCG-Debat Trautmann Romagnan 2 TSCG-Debat Trautmann Romagnan 1 TSCG : Cazeneuve - Joly, leurs désaccords sur le pacte budgétaire Bernard Cazeneuve sur les 3% de déficit Bernard Cazeneuve pour un "nouveau traité" européen Joly-Cazeneuve : la majorité et le TSCG Le débat du TSCG: Pierre Laurent - Karine Berger (2/3) Le débat TSCG: Pierre Laurent - Karine Berger (1/3) Added by Mediapart last year 625 views 564 views Débat entre deux socialistes en désaccord sur le TSCG : l'eurodéputée Catherine Trautmann le défend tandis que la députée nationale Barbara Romagnan s'y oppose. 355 views 361 views 887 views 554 views 250 views 224 views

La vérité sur les prix en grandes surfaces | Ancien Blog des Brindherbes Engagés L’édition 2012 de ce rapport intègre ainsi pour la première fois une approche analytique des charges, et donc des marges nettes, rayon par rayon, alors que seules les marges brutes étaient recensées jusqu’à présent. Cette instance, qui a publié son premier rapport l’an dernier, a été créée en 2008 pour faire la lumière sur la répartition de la valeur ajoutée dans la filière agroalimentaire, sur fond de tensions récurrentes entre les producteurs et la grande distribution. Les sept grandes enseignes françaises ont été interrogées pour cette étude, à savoir Auchan, Carrefour, Casino, Cora, Leclerc, Intermarché et Système U. Pour cent euros de chiffre d’affaires, leurs achats vont de 70 euros pour la charcuterie à 75 euros pour produits laitiers, d’où une marge brute allant de 25 à 30 euros. Les coûts salariaux Entre 15 et 18 % de frais de fonctionnement Des rayons +/- rentables Au final, la marge nette s’élève à 1,9 € en moyenne avec de fortes disparités selon les rayons. Like this:

Vandana Shiva : « Le libre-échange, c’est la dictature des entreprises » Basta ! : Les combats que vous menez sont liés à la souveraineté – alimentaire, sur les terres, l’eau, les semences. Qu’est-ce que la souveraineté ? En quoi est-ce un enjeu majeur du 21e siècle ? Vandana Shiva : La redéfinition de la notion de « souveraineté » sera le grand défi de l’ère post-globalisation. Pour garantir cette souveraineté, faut-il fermer davantage les frontières ? Aucune frontière n’est jamais totalement fermée. Nous ne disons pas « non au commerce », mais « non au commerce dérégulé ». Le protectionnisme peut-il être une solution face à cette exploitation du vivant, en empêchant les multinationales d’avoir accès à ces ressources qu’elles exploitent ? Tout comme nous devons redéfinir la notion de souveraineté, nous devons repenser la notion de protectionnisme. La protection de nos paysans est un « protectionnisme vital ». Vous écrivez que « le libre-échange est un protectionnisme pour les puissants ». Il y a deux types de biens communs. Vidéo : Nadia Djabali

USA : Monsanto fait payer des amendes aux agriculteurs bio Le jugement est tombé, le géant de la biochimie Monsanto conserve le droit de poursuivre en justice les agriculteurs biologiques dont la production a été malencontreusement contaminée par les OGM sorti de ses laboratoires. C’est un paradoxe qui soulève l’indignation et l’incompréhension au sein de la population américaine. Monsanto, qui détient le fameux brevet pour l’herbicide Roundup et pour les semences génétiquement modifiées capables de résister à ce même désherbant, conserve le droit de poursuivre en justice n’importe quel agriculteur dont la production de maïs contiendrait plus d’1% d’OGM. Belle ironie, sachant que ce sont les organismes génétiquement modifiés eux-mêmes qui contaminent les productions biologiques avoisinantes. Comme si cela ne suffisait pas de rendre les productions de ces agriculteurs invendables car non conformes aux exigences de l’agriculture biologique, Monsanto compte aussi s’enrichir sur la contamination dont elle est à l’origine.

L’économie décolle sur ARTE › Temps forts Du 7 octobre au 4 novembre, ARTE explore toutes les facettes de l’économie moderne : mainmise du capitalisme financier sur la production, évolution des modèles économiques, blanchiment d’argent, alternatives à la croissance… Des patrons et des hommes « Fortunes et bijoux de famille » - Mardi 7 octobre à 20h50.Les belles années du capitalisme productiviste et glorieux. « Capitalistes sans entreprises » - Mardi 7 octobre à 22h05. Le capitalisme « Adam Smith : à l’origine du libre marché ? « La richesse des Nations, nouvel évangile ? « Ricardo et Malthus, vous avez dit liberté ? « Et si Marx avait raison ? « Keynes / Hayek, un combat truqué ? « Karl Polanyi, le facteur humain » - Mardi 28 octobre à 23h35 L’économiste hongrois Karl Polanyi était en avance sur son temps. l’économie collaborative « Echange, troc et partage, bien plus qu’une mode ? « Echange, troc et partage, un business comme les autres ? « Sacrée croissance !

Le régime chinois face à la fronde des nouvelles élites LE MONDE GEO ET POLITIQUE | • Mis à jour le | Par Brice Pedroletti (Pékin, correspondant) Des taux de croissance fléchissants, une frénésie d'investissement générant une montagne de dettes fantômes et une démographie menaçant de voir la Chine devenir "vieille avant d'être riche"… Pékin semble en avoir bel et bien fini avec ses "trente glorieuses". Le Brésil ou la Turquie ont fait l'expérience, récemment, de l'agitation induite par ce genre de tournants historiques. Les risques sont davantage anticipés et neutralisés en Chine, mais les difficultés restent à la mesure – gigantesque – du plus hybride des régimes communistes à avoir jamais été conçu, tiraillé par les contradictions et ses déséquilibres. Une nouvelle catégorie de population, jusqu'alors relativement docile, manifeste aujourd'hui des signes de mécontentement : les entrepreneurs du privé. >> Lire aussi : "Davantage de dettes pour moins de croissance"

Pourquoi la France s'éloigne de plus en plus du coeur de l'Europe

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