Gilgamesh Gilgamesh Palais de Sargon Gilgamesh est un roi à demi légendaire de la cité d'Ourouk (Uruk), qui aurait régné vers 2600 avant notre ère. D'origine sumérienne, ce récit s'est transmis d'abord de manière orale, puis il fut écrit vers 2000 avant notre ère à Babylone. La version la plus achevée, écrite sur douze tablettes, a été retrouvée à Ninive, dans la bibliothèque du roi syrien Assourbanipal (668-627 avant notre ère). Celui qui a tout vu, [Sha nagba imuru]. Monarque semi-légendaire Gilgamesh, "celui qui a tout vu" , est le héros à la fois despotique et humain d'une longue épopée mainte fois remaniée qui est la base de la littérature antique. « La courtisane Shamhat enlève ses vêtements dévoile ses seins, dévoile sa nudité et Enkidu se réjouit des charmes de son corps. Enkidu sous la forme semi animale combat Gilgamesh. Aussitôt entré dans la ville, il est accueilli par une foule en liesse, on lui offre à boire et à manger, on l'oint avec des huiles précieuses.
Religion mésopotamienne Au cours de cette histoire longue et complexe, les Mésopotamiens n'ont jamais recherché l'abstraction ni établi de cloison entre les cultes et les différents aspects de leur vie sociale. Ils n'ont pas plus que les autres peuples de la Haute Antiquité élaboré un concept de « religion » : la religion de la Mésopotamie antique a donc été reconstruite par les travaux des historiens modernes à partir du XIXe siècle et la redécouverte de cette civilisation dont la plupart des traits avaient été oubliés. La redécouverte de la religion de l'ancienne Mésopotamie a longtemps été marquée par la recherche des parallèles et informations que celle-ci pouvait fournir sur la Bible, notamment sur ses origines. Les anciens Mésopotamiens vénéraient de nombreux dieux, conçus comme créateurs et ordonnateurs de l'univers et de l'humanité. Conditions d'étude[modifier | modifier le code] Les sources[modifier | modifier le code] Redécouverte et étude de la religion en Mésopotamie[modifier | modifier le code]
Gilgamesh, 2800 ans av.JC s’en prend au gardien des cèdres, Humbaba « ART – LITTÉRATURE ET SPIRITUALITÉ Giglamesh – tablette Tradition : Les scientifiques : En 1872, l’assyriologue anglais George Smith déchiffra sur un fragment de tablette d’argile, l’épopée de Gilgamesh ; avec d’autres archéologues, il se mit à chercher dans les archives du Bristish Museum d’autres fragments de tablettes susceptibles d’appartenir au poème épique ; en 1891, une première édition des douze tablettes de 300 vers chacune fut publiée. Représentation possible de Enlil Préalables : Dans la mythologie mésopotamienne, Humbaba est un démon protecteur, il est le démon gardien de la forêt des cèdres où vivent les dieux. Historique : L’épopée de Gilgamesh fait partie des oeuvres littéraires les plus anciennes de l’humanité, elle a son origine en Mésopotamie (irak actuelle). Ci dessous, en cliquant sur « lire la suite« L’épopée de GilgameshEpisode du combat contre Humbaba, le gardien des Cèdres Cliquer ci-dessous pour Humbaba gardien de la forêt de Cèdre du Liban L’épopée de Gilgamesh Les suites de leurs méfaits sur Houmbaba :
Les mythes mésopotamiens undefined Cosmogonies, anthropogonies, et mythes sur l'ordre du monde La cosmogonie sumérienne L'anthropogonie sumérienne L'Atra-hasis L'Epopée de la création (Enuma Elish) Les Sept Sages Le Déluge Enki et l'ordre du Monde Mythes sur les dieux La descente d'Inanna aux Enfers Ninurta et Azag/Anzû Inanna et Enki Enki et Ninhursag Ereshkigal et Nergal L'Epopée d'Erra L'ordalie de Marduk Récits héroïques, épopées Enmerkar et le seigneur d'Aratta Gilgamesh et Agga L'Epopée de Gilgamesh Le mythe d'Etana Le mythe d'Adapa Oeuvres de pensée Le Monologue du Juste souffrant La Théodicée Le Dialogue du Pessimiste Autres Gimil-Ninurta et le maire de Nippur Dès que l'écriture mésopotamienne a atteint un stade lui permettant de mettre par écrit de véritables oeuvres littéraires, de nombreux mythes, issus jusqu'alors de la tradition orale, on put être mis par écrit (entre autres, car la littérature mésopotamienne ne se limite pas à cela). Les Sumériens sont les initiateurs de la civilisation mésopotamienne. Le Déluge
Épopée de Gilgamesh Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La XIe tablette de la version de Ninive de l’Épopée de Gilgamesh, relatant le Déluge. Selon l’opinion commune des assyriologues, le récit du Déluge, inspiré par l’Épopée babylonienne d’Atrahasis ou « Poème du Supersage », a été ajouté vers 1200 av. De récents travaux rapprochent l’épopée de Gilgamesh des douze travaux d’Héraclès (l’homologue grec du héros romain Hercule), la légende babylonienne étant antérieure de près d'un millénaire aux écrits d’Homère[2]. Résumé[modifier | modifier le code] Gilgamesh, roi de la ville d'Uruk, est dur et intransigeant envers ses sujets. Le récit (version ninivite)[modifier | modifier le code] Tablette I : Les deux héros[modifier | modifier le code] Rappel de son œuvre (les murailles d’Uruk), ses aventures qu’il a consignées par écrit.Hommage rendu à ses vertus et à ses hauts faits.Sa personne : Dès sa naissance il était prestigieux ! Décision des dieux de lui préparer un rival : Enkidu.
Mathématiques en Mésopotamie.pdf Gilgamesh "Au commencement était Uruk, première cité des hommes. Noires comme la nuit, plus hérissées que des nids d'oiseaux, ses énormes murailles inspiraient le respect ou l'effroi. Au coeur de la cité s'élevait la Maison du Ciel. Le fondateur de cette cité, en des temps très reculés, avait bâti de ses mains les murailles aux pierres colossales. "Celui que vous nommez Gilgamesh, c'est moi, pèlerin de toutes les routes du pays et d'ailleurs. Ainsi je devins le roi de la première cité des hommes. Les hommes se désespéraient quand Enki ajouta ceci : "Je ne vois qu'une façon de détourner sa violence. J'étais Gilgamesh l'invincible, je n'en ferais qu'une bouchée, fut-il plus grand que les monts. Ce qui fut fait. Son haleine est ardente, ses crocs sont la mort même. ...Gilgamesh bascule dans l'arcane XII Le Pendu : "Enkidu veillait sur moi comme un frère. A man gets tied up to the ground Gives the world Its saddest soundPaul Simon La victoire était mon sort, mais la mort le serait aussi.
Sciences mésopotamiennes et babyloniennes Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les sciences mésopotamiennes et babyloniennes témoignent des premiers fondements des disciplines scientifiques, correspondant aux premières civilisations de la région. Premières traces[modifier | modifier le code] Les premières traces d'activités scientifiques datent des premières grandes civilisations humaines du Néolithiques. Pour André Pichot, dans La Naissance de la science[1], la science naît en Mésopotamie, vers -3500, principalement dans les villes de Sumer et d'Élam. Un préalable : l'écriture cunéiforme[modifier | modifier le code] Mais l'innovation la plus importante provient de l'invention de l'écriture cunéiforme (en forme de clous), qui, par les pictogrammes, permet la reproduction de textes, la manipulation abstraite de concepts également. Une tablette d'argile en écriture cunéiforme Les sciences mésopotamiennes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ André Pichot, La Naissance de la science.