Cours en ligne ouvert et massif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l’article homophone, voir Mook. Un cours en ligne ouvert et massif[1],[2] (CLOM[3]), également appelé cours en ligne ouvert à tous ou simplement cours en ligne (termes officiels recommandés par la Commission générale de terminologie[3]) ou encore cours en ligne ouvert aux masses[4] ; en anglais : massive open online course, dont le sigle MOOC est également utilisé dans les sources francophones), constitue un exemple de formation ouverte et à distance en télé-enseignement. Les participants aux cours, enseignants et élèves, sont dispersés géographiquement et communiquent uniquement par Internet. Des ressources éducatives libres sont souvent utilisées. Le qualificatif « massif » quant à lui, est lié au grand nombre de participants: dans le monde anglophone, il peut arriver que plus de 100 000 personnes soient réunies pour un cours[5]. Logo MOOC (Massive Open Online Course) Éléments de définition[modifier | modifier le code]
Bientôt des cours filmés de l’École Polytechnique gratuitement sur Internet : l’enseignement supérieur de demain se fera-t-il à distance Avec le développement des massively open online courses (MOOC), ces cours en ligne gratuits dispensés aux États-Unis par les plus grandes universités, le e-learning est devenu le sujet d’intérêt majeur des acteurs de l’enseignement supérieur. En annonçant qu’elle rejoint Coursera, l’École polytechnique ouvre bien grandes les portes des MOOC à la française. On doit cette terrifiante allégorie d'un MOOC transformant tout sur son passage dans l'enseignement supérieur à Michael Branson Smith, un professeur assistant de communication du York College de New York. Aux États-Unis ils s’appellent Coursera, Udacity ou edX, au Royaume-Uni FutureLearn s’apprête à se lancer, tous mettent en ligne des centaines de cours gratuits pouvant ensuite déboucher sur l'obtention de certificats. Auparavant, la Khan Academy mettait bien des cours en ligne mais ne se prenait pas pour une grande université pour autant. La page de l'Ecole Polytechnique sur Coursera. Former ceux qui ne se forment pas Share and Enjoy
Coursera Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le 16 août 2012, 1 080 000 étudiants de 196 pays s'étaient inscrits à au moins un cours[3]. Coursera a été lancée peu après Udacity, entreprise par l'ancien professeur de Stanford Sebastian Thrun, et peu avant edX, une initiative à but non lucratif de formation en ligne par le MIT et Harvard. Partenaires[modifier | modifier le code] Coursera a déclaré que de nouveaux partenariats et cours continueront d'être ajoutés à la plateforme. Plan d'affaires[modifier | modifier le code] Coursera et les universités participantes prennent en charge chacune leurs dépenses, qui sont substantielles de chaque côté. Cours[modifier | modifier le code] Coursera fournit des cours sur l'informatique, la médecine et la biologie, les sciences sociales et humaines, les mathématiques et les statistiques, l'économie et la finance. Rencontres (meetups)[modifier | modifier le code] Universités participantes[modifier | modifier le code] Allemagne : Australie : Canada : Danemark :
MOOC Research Mooc : une étape vers la privatisation des cours Cette année, l’Ecole normale supérieure (ENS) se lance dans l’aventure des Mooc («cours en ligne ouverts et massifs» en anglais). Trois nouveaux cours en mathématiques, physique et philosophie ont été enregistrés et mis en ligne sur la plateforme privée américaine Coursera. Une révolution du système universitaire qui nous semble devoir être publiquement débattue. L’apparition des Mooc aux Etats-Unis dans les années 2010 relève de choix économiques de pure rentabilité. Le modèle économique des Mooc tente de répondre à ces problèmes grâce aux gains permis par l’enseignement virtuel. A terme, la mise en ligne des enseignements permet de passer outre les barrières géographiques et d’unifier un marché jusque-là limité par des contraintes spatiales en mettant en concurrence les établissements du monde entier. Le développement des Mooc ne découle donc pas de raisons philanthropiques liées à la démocratisation des savoirs, dont on peut douter de la réalité.
Les Mooc, une révolution pédagogique...au service d'une cause plus grande ? - APCE, agence pour la création d'entreprises, création d'entreprise, créer sa société,l'auto-entrepreneur, autoentrepreneur, auto-entrepreneur, auto entrepreneur, lautoentreprene Les Mooc, une révolution pédagogique...au service d'une cause plus grande ? - 16/10/2013 Parmi les enjeux de ce millénaire figure celui du droit au savoir pour tous. Le numérique sera-t-il le levier de cette démocratisation ? La montée en puissance du numérique éducatif en France Si l'on en croit les récentes annonces de l'Union européenne et du ministère français de l'Education, la place du numérique au sein de l'école est amenée à grandir. En France, des expérimentations en milieu éducatif sont à l'œuvre sous l'impulsion du ministre de l'Éducation nationale, Vincent Peillon, qui a lancé le plan « Faire entrer l'école dans l'ère du numérique » fin 2012. Autre lancement majeur début octobre 2013 : celui de la plate-forme de cours en ligne (Mooc, voir dernier paragraphe) du programme France Université Numérique (FUN) annoncé par Geneviève Fioraso, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. L'enjeu du numérique concerne aussi l'accompagnement à la création d'entreprise.
Les MOOCS : Cours massifs ou armes de destruction massive ? par Pascal Engel | Qualité de la Science Française Un nombre croissant d’universités, principalement aux Etats Unis – mais peu encore en Europe (EPFL, Genève, Munich, Edinburgh, Amsterdam) – se sont lancées dans les MOOCs (massive online open courses, en français cours massifs en ligne libres « CMELL », mais à ce jour, seuls trois établissements francophones ont des MOOCscs[1]). Comme on sait,il s’agit de cours en ligne sous la forme de séries de podcasts, « gratuits et accessibles à tous », promettant, au lieu du cours ex cathedra en « présentiel » une « pédagogie participative » en « virtuel » autorisant « des exercices, des quizz en ligne, l’auto -évaluation par les pairs, et des forums ». Depuis que ces cours ont été proposés par diverses universités américaines pionnières (Stanford, Harvard, MIT, etc.), puis se sont étendus aux autres, ils ont connu un immense succès, attirant sur la toile des centaines de milliers d’étudiants du monde entier et, du même coup, l’appétit des investisseurs.
Reinventing higher education – MOOCs, SPOCs and hubs Massive open online courses, SPOCs – self-paced open courses that may become MOOCs – and university hubs generated most interest at the fourth annual international conference on “Reinventing Higher Education”, which took place in Spain from 7-8 October. The conference, which had the theme “Time for New Frontiers and Cross-collaboration in Higher Education”, was organised by Madrid-based IE University, a private non-profit institution owned by the Instituto de Empresa SL. Jean-Claude Burgelman, head of unit in the European Commission’s directorate-general for research and innovation, kicked off a panel discussion on “The Production of Learning Experiences: Hubs, technologies and new players” with provocative questions about the future of research. “Which professor would you hire if you had to choose between one who had published two articles in Nature and another who ran a blog that was read by the top 500 people in their field?” he asked. MOOCs and SPOCs Transformation and hubs
Le boom des MOOC, les cours en ligne à la fac Depuis jeudi, les étudiants peuvent suivre des cours hébergés sur la première plate-forme française de cours en ligne ouverts à tous. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Nathalie Brafman Plus de quatorze mille inscrits au Conservatoire national des arts et métiers, six mille à l'université Paris X Nanterre et plus de cinq mille à Sciences Po Paris. Depuis jeudi 16 janvier, il est possible de suivre l'un des cours hébergés sur la première plate-forme numérique française – FUN, pour France université numérique – de MOOC. Cet acronyme peu séduisant signifie en anglais Massive Open Online Courses (« cours en ligne ouverts et massifs (CLOM) » ou « cours en ligne ouverts à tous », en français). Créée en octobre 2013, FUN a déjà lancé huit MOOC. Dans les trois prochaines semaines, dix autres CLOM seront mis en ligne. Les premiers cours sont axés autour de six thématiques, comme le management, les sciences ou encore la philosophie. Il était temps que la France se lance.
HEC, première business school française à se lancer dans les MOOC Recevez nos newsletters : La plus prestigieuse école de commerce de France lancera deux enseignements en ligne accessibles à tous début 2014 sur la plateforme américaine Coursera, avant d’en proposer environ quatre autres sur la nouvelle plateforme nationale France Université Numérique. Elle sera la première «business school» à se convertir au MOOC, ces cours en ligne gratuits de plusieurs semaines ,accessibles à tous et parfois assortis de certificats. HEC Paris se rallie à la révolution de l’enseignement en ligne, quelques jours après la création d’une plate-forme nationale de distribution de cours par le ministère de l’Enseignement supérieur, opérationnelle dès janvier 2014. HEC Paris rejoint Stanford, Yale et Polytechnique au banc des avant-gardistes Pour lancer ses MOOC, HEC Paris a choisi la plateforme américaine Coursera, qui regroupe déjà près de 400 cours de 90 universités à travers le monde. Aussi présente sur France Université Numérique