Environnement : Les animaux rapetissent avec le réchauffement climatique Certaines espèces animales et végétales ont diminué de taille avec l'augmentation de la température et du C02 dans l'atmosphère. Lors d'un fort réchauffement de la planète il y a 55 millions d'années, certaines espèces avaient perdu jusqu'à 75% de leur taille. Le réchauffement climatique aurait une conséquence inattendue : le rapetissement des plantes et des animaux. Les biologistes David Bickford et Jennifer Sheridan, de l'université de Singapour, s'appuient notamment sur des études menées sur une précédente période exceptionnelle de réchauffement climatique. Dès lors, puisque le réchauffement que connaît actuellement la planète se déroule à un rythme plus important encore qu'au cours du passage Paléocène-Eocène, il faut s'attendre à ce que les espèces vivantes de notre époque soient également en train de rapetisser. Moins de nourriture pour les humains ? Comment expliquer ce phénomène ? (avec agences)
Le climat dans tous ses états Le titre et le sous-titre du livre annoncent d’emblée la couleur : «Le populisme climatique. Claude Allègre et Cie, enquête sur les ennemis de la science». Oser s’attaquer ainsi à un ancien ministre, qui plus est scientifique bardé de distinctions, relevait d’un certain courage. Ne cédant pas à la facilité, l’auteur n’a pas opté pour un plaidoyer pro domo à «sauver la planète» ni à un appel vibrant à la mobilisation. Stéphane Foucart considère qu’attribuer le prix Nobel de la Paix au Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec/Ipcc) a été une formidable erreur, car cela a «accrédité l’idée que la science et l’activisme écologique procédaient du même projet» et que la climatologie relevait du militantisme comparable à celui des ONG environnementalistes. Dans un chapitre intitulé «De qui les climatosceptiques français sont-ils le nom ?» Fouillé, argumenté, ce livre est le fruit d’une enquête solide, celle d’un des journalistes les mieux informés sur le sujet.
Breathingearth - CO2, birth &death rates by country, simulated real-time - StumbleUpon Green business A l’occasion de son déplacement à Cherbourg le 30 septembre 2013, François Hollande a officiellement donné le coup d’envoi du développement d’une filière française de l’énergie hydrolienne. Le Président de la République a notamment annoncé un appel à manifestation d’intérêt (AMI) pour quatre fermes pilotes, de 4 à 10 hydroliennes, situées sur deux zones à fort potentiel, le Raz Blanchard (Basse-Normandie) et au Fromveur (Bretagne). L’Etat subventionnera chacune des fermes à hauteur de 30 millions d’euros et le tarif d’achat de l’électricité sera fixé à 173 euros par MGW/h, a précisé le Président. Le chef de l’Etat souhaite ainsi promouvoir une filière française de l’énergie hydrolienne laquelle permettra de participer à la transition énergétique. L’annonce de l’AMI par François Hollande s’est concrétisée par la publication au Journal Officiel de l’arrêté du 30 septembre 2013 relatif à l’approbation du cahier des charges « Fermes pilote hydroliennes ».
Map shows stark divide between who caused climate change and who's being hit | Damian Carrington | Environment Greater risk from increased extreme weather combined with limited social and financial ability to cope means the global south has the greatest vulnerability. Photograph: Maplecroft When the world's nations convene in Durban in November in the latest attempt to inch towards a global deal to tackle climate change, one fundamental principle will, as ever, underlie the negotiations. Is is the contention that while rich, industrialised nations caused climate change through past carbon emissions, it is the developing world that is bearing the brunt. It follows from that, developing nations say, that the rich nations must therefore pay to enable the developing nations to both develop cleanly and adapt to the impacts of global warming. The point is starkly illustrated in a new map of climate vulnerability (above): the rich global north has low vulnerability, the poor global south has high vulnerability.
Six pieds sur Terre Notre société mécaniste, fragmentée, inégalitaire, prédatrice pour les êtres humains et les ressources naturelles et toxique pour tous n’est pas celle que nous souhaitons pour nos enfants, pour nos familles, pour tous ceux qui en subissent les conséquences, ici comme ailleurs dans le monde, car elle est déconnectée des stratégies élémentaires de la vie : coopération, interdépendance, unité et stabilité, créativité et adaptation. Le modèle économique qui la sous-tend, envahi par une finance toxique, est un broyeur déchiqueteur pour le monde vivant, à commencer par les hommes et les femmes. Aujourd’hui les copeaux s’enflamment et le monde prend feu de toute part. Nous pensons que les candidats de la campagne aux présidentielles 2012 sont irresponsables lorsqu’ils n’abordent pas l’écologie ni dans leurs discours, ni dans leurs actes. L’écologie n’est pas seulement une «discipline» politique et scientifique : il s’agit de préserver les conditions élémentaires de la vie !
Recently on Streetfilms Observatoire des questions sexuelles et raciales Lundi, au nom de la nation australienne, le Premier ministre, Kevin Rudd, a présenté ses excuses aux enfants d’origine britannique qui, entre 1930 et 1970, ont été victimes de violences et d’abus dans les orphelinats et foyers d’accueil du pays (Cf. article de Liberation.fr). Ces «forgotten Australians» se comptent par centaines de milliers. Parmi eux figurent «les générations volées», ces enfants aborigènes, arrachés à leur famille d’origine à des fins d’assimilation –l’Australie leur a présenté ses excuses l’an dernier. Mais il s’y trouve aussi des milliers d’enfants pauvres issus de Grande-Bretagne, qui ont été envoyés en Australie pour y trouver une vie meilleure. Or, cette affaire n’est pas sans faire écho à un problème similaire, qui concerne cette fois la France. - Louis-Georges Tin: Dans quelles circonstances ces enfants réunionnais ont-ils été expédiés vers la métropole? - Ivan Jablonka: En 1963, Michel Debré devient député de la Réunion. L’État français est pourtant en cause.
Climate Change, White Roofs, and Common Sense White roofs may not be so green. Sometimes It Gets Complicated Recently I’ve argued on TheGreenGrok.com that in some cases, as in discerning the long-term global temperature trend (or employing smart regulation when it comes to deepwater drilling) a little common sense will suffice. But sometimes the climate system can surprise you — what seems like common sense may prove to be not so commonsensical. Be a Painter, Paint It White When faced with a tough problem, it’s often a good idea to start with the low-hanging fruit — the simple, easy stuff that gets the ball rolling. In the case of global warming, white roofs looked to be the low-hanging no-brainer. Cool idea, right? I thought so, and so did our very own Nobel prize-winning secretary of energy, Steve Chu, who has publicly urged a grassroots paint-roofs-white movement. Chu cites estimates that painting roofs (specifically flat roofs) white would be the equivalent of reducing carbon emissions from all cars on the road for 11 years.