10 raisons de ne PAS gérer l’e-réputation de son organisation Un certains « darwinisme 2.0 » voudrait que chaque organisation gère son e-réputation… Au-delà du fait que toute organisation est différente, et n’a donc pas les mêmes besoins, il apparait aussi des raisons amenant à dire que, non, il n’y a pas nécessité ou alors il ne vaudrait mieux pas se lancer dans une stratégie de gestion de l’e-réputation. L’e-réputation ne se résume pas au comptage des avis positifs/négatifs et à des actions de CRM. La (e)réputation peut être vue par les organisations comme une manière d’évaluer ses actions et discours par le prisme des opinions de ses publics (internautes ou non). S’il parait alors nécessaire d’analyser cette réputation, voire de la « gérer » sur les systèmes web qui la produise, pour autant, plutôt que de se lancer dans des actions vides de sens, ou qui ne vont pas marcher par non prise en compte de certains aspects (temps, moyens, budgets), autant ne pas agir… Voyons alors quelques raisons de ne pas gérer l’e-réputation de votre organisation.
GULF STREAM ÉDITEUR Internet, cette galaxie virtuelle peuplée de presque deux milliards d’individus dont quelques centaines de millions de geeks et d’innombrables avatars... tu en fais partie ! Comme eux, tu twitt, tu chat, tu poke, tu add – ou pas, tu surf, tu post des photos stylées, tu engloutis des heures de vidéos, tu te dandines devant une fl ash mob, tu t’aides un tout petit peu de Wikipédia pour ton devoir d’histoire, et tu te moques parfois des autres. Tes réseaux sociaux comptent 722,5 amis, et sans le web, la vie est nulle. Rendez-vous sur le site dédié à la collection "Et toc !" Lire une critique de la collection "Et toc !" "Un livre intelligent qui fait réfléchir sur l’utilisation d’un outil qui, ne l’oublions pas, ne concerne encore qu’un quart de l’humanité." Parents d’ado Magazine
Exercer son jugement critique sur Internet (partie 1) Patrick Giroux, publié le 28 mars 2011 Un dossier conjoint de l’Infobourg et de Carrefour éducation Des chercheurs de l’Université du Québec à Chicoutimi s’intéressent actuellement à l’exercice de la pensée critique lorsque l’on navigue sur Internet. Dans le cadre de leur recherche, ils ont exploré les compétences critiques de futurs enseignants. Nous vous proposons un dossier en lien avec leur recherche. Introduction L’utilisation d’Internet pour les loisirs et les études est de plus en plus généralisée chez les jeunes. Voilà ce qui a motivé les professeurs Patrick Giroux et Mathieu Gagnon, en collaboration avec leurs étudiantes Stéphanie Lessard et Josiane Cornut, de l’Université du Québec à Chicoutimi, à réaliser une recherche sur les compétences critiques de futurs enseignants. Pour lire la suite : Internet dans la vie des jeunes Mettre sa pensée critique en pratique Pour être un chercheur critique : 1. Pour en savoir plus :
Internet : comment "Tout a changé en moins de dix ans" « Sud Ouest Dimanche ». On a limpression quun siècle sest écoulé entre « La Condition numérique » et votre précédent ouvrage intitulé « Une presse sans Gutenberg », paru en 2005, qui décrivait les premiers bouleversements de la presse face à la révolution numérique. Jean-François Fogel. Tout a changé en moins de dix ans. Internet était perçu comme un nouveau média ; on voit désormais que cest en fait un espace social. Logiquement, vous allez bien au-delà du monde des médias que vous décriviez dans « Une presse sans Gutenberg ». Que le réel a changé. Le titre de votre essai qui fait allusion à « La Condition humaine » dAndré Malraux nest quune référence littéraire parmi toutes celles qui sont dans votre livre. Sûrement pas, en tout cas nous nen savions rien. Ces technologies sont très simples, mais quand des milliards dinternautes sen saisissent, il y a pour le coup un effet de masse qui mérite dêtre examiné. Ce nest pas une conviction, mais un constat.
La recommandation sociale est-elle efficace ? Le cas de l’open graph Facebook Jeudi 14 février, j’assistais à la conférence d’up 2 social qu’est-ce que l’open graph de Facebook ? Une bonne occasion de revenir sur ce dispositif connu mais pas toujours bien compris, mais aussi de se poser la question-clé sur le sujet : les utilisateurs des réseaux sociaux sont-ils sensibles à la recommandation communautaire ? Commençons par la base : qu’est-ce que l’open graph ? L’ensemble des données que possède Facebook (connexions entre personnes, pages likées, interactions, contenus likés sur le web…) constitue l’open graph. Autrement dit, si vous vous êtes connectés à vos sites préférés via Facebook (grâce au bouton « Facebook connect« ), Facebook enregistre tout ce que vous y faites : ce que vous lisez sur un site de presse, ce que vous achetez sur un site d’e-commerce, ce que vous regardez sur un site de vidéos, etc. A quoi sert l’open graph ? Quelles applications possibles ? Comment faire pour utiliser l’open graph ? L’utilisation de l’open graph nécessite du développement.
Evaluation d'un site Un document Internet reste un document, même si son support est particulier. A ce titre, il semble judicieux de lui appliquer les règles normales de la critique externe du document, qui s'appliquent d'abord au contexte, c'est-à-dire au site qui présente les informations. Ces règles reposent sur les questions suivantes : Ces questions doivent être prises ensemble, et la décision de considérer comme fiables les informations doit venir de la convergence des réponses qu'on obtient. L'auteur d'une information est le premier responsable de celle-ci. Questions: Quelles sont les compétences de l'auteur ou des auteurs? Lors de la recherche d'une information ciblée à l'aide d'un moteur de recherche, le nombre de sites référencés peut être énorme, c'est pourquoi il est parfois éprouvant de lire toutes les pages qui sont fournies. Question lors de la lecture des résumés: Quel est le sujet ou thème général annoncé dans le résumé? Questions à propos d'un site: L'information fournie est-elle unique?
«La connexion permanente? Nous adorons cela!» Le Nouvel Observateur Pour Jean-François Fogel et vous, nous vivons le temps de la connexion permanente, et la condition humaine s'en trouve changée. Bruno Patino On commence à mesurer ce qu'entraîne le fait de vivre connecté en permanence à un réseau. Je dis on commence, car internet vient juste de changer. Le réseau n'est plus ce qu'il était il y a encore dix ans. On voit aujourd'hui que le média a connu une mutation: internet est devenu un espace social. Dire que le trafic croît sur internet est fondé, mais c'est ignorer l'essentiel: internet a changé. Qu'est-ce qui a provoqué la mutation d'internet? Tout s'est amorcé en une vingtaine de mois, entre 2005 et 2007, quand émergent YouTube, Facebook, Twitter et les applications des smartphones. En l'occurrence, un ensemble d'usages apparaissent en même temps et créent un espace social. "No more words", série du photographe Alessandro Rampazzo (Sipa) La vie sociale n'a pas attendu le numérique pour exister. Le monde virtuel envahit tout...
Viralité : Schémas de propagation des contenus sur les différents réseaux sociaux Y’a-t-il des mécanismes et des schémas clefs pour la diffusion et la propagation de contenus sur les réseaux sociaux ? Une forme de recette magique qui garantit la viralité d’une opération ? La réponse n’est pas si évidente ! Gnip, une société d’analyse et de traitement de données en provenance des réseaux sociaux a tenté d’apporter plus de lumière à ce sujet, en procédant à quelques analyses, dont je vous partage les principaux résultats. Il s’avère que les résultats de diffusion diffèrent considérablement selon la nature de l’évènement : attendu/prévisible comme les élections, les shows TV, les matchs de football, etc ou inattendu/imprévisible comme les catastrophes naturelles, les décès, etc. Pour les évènements inattendus, c’est un autre phénomène qui est alors observé : une croissance brusque, rapide et importante lors de l’annonce de l’évènement avec des volumes générés par milliers voire des dizaines de milliers, et ce sur une très courte durée de quelques minutes.
Les jeunes et internet : Deux enquêtes instructives Viennent de paraître deux enquêtes qui étudient les pratiques des adolescents sur internet : l’une porte sur les usages de Facebook par les collégiens et lycéens ; l’autre analyse le rapport des jeunes à la culture à l’ère du numérique. Les résultats de ces enquêtes s’avèrent particulièrement intéressants et édifiants dans la mesure où ils permettent de confronter le discours dominant et la réalité des pratiques. Ils peuvent ainsi éduquer notre regard sur les élèves en combattant certaines idées reçues. Ils constituent aussi une invitation à faire d’internet à l’école un véritable espace éducatif. Le Dictionnaire des Idées reçues version 2012 Jeune : individu décérébré, c’est-à-dire illettré (il n’aime pas lire, il ne s’intéresse pas à la culture…) et irresponsable (sur internet, il se met en danger et met en danger autrui). Réseaux sociaux : lieu de dérives diverses, de vains échanges et de mauvaises rencontres (à filtrer en priorité dans tous les établissements scolaires).
L'influence est-elle une farce?
Ce site présente un dossier très intéressant sur la manière de s'assurer de la crédibilité d'une source web. Plusieurs critères de crédibilité y sont présentés afin d'aider des élèves à bien choisir leurs sources. Aussi, le site donne de nombreux exemples de questions que nous pourrions poser à nos élèves pour qu'ils s'assurent de la crédibilité de leurs sources web. by marieevefrechet Oct 17