Chris Anderson : « L’imprimante 3D aura plus d’impact que le Web » Chris Anderson lors d’une conférence en Corée du Sud (Lee Yong-ho/EyePres/NEWSCOM/SIPA) Journaliste et écrivain à succès, Chris Anderson est l’une des voix les plus écoutées aux Etats-Unis pour qui s’intéresse aux révolutions numériques en cours. Il est notamment connu pour sa théorie de la « longue traine » : vendre peu d’unités d’une grande quantité de produits, modèle économique adopté par des sites de e-commerce comme Amazon ou Netflix. Dans « Free ! Chris Anderson vient de quitter son poste à la tête de Wired, magazine de référence sur tous ces sujets, pour se consacrer à 3D Robotics, fabricant de drones grand public. Vous venez d’annoncer votre départ de l’un des postes les plus recherchés dans les médias... J’ai surtout besoin de ce nouveau défi. Et les drones, c’est une passion ? Disons que c’est un hobby qui devient une nouvelle opportunité de carrière. La croissance est au rendez-vous. Couverture de « Makers », de Chris Anderson Pas vraiment. Via @rob_gordonn Je ne le pense pas.
Gemmyo invente la création en 3 D de bijoux de luxe en ligne Gemmyo.com lance sur Facebook 3 affiches décalées et provocatrices pour jouer sur les susceptibilités... C'est une belle histoire d'innovation née, le 1erjuin 2011, de la demande en mariage du couple fondateur de Gemmyo, qui aura lieu... samedi prochain. Ne trouvant pas chaussure à leur pied Place Vendôme, Pauline Laigneau (en photo), fille d'entrepreneurs diplômée de HEC et Charif Debs, conseiller en stratégie revenu des Etats-Unis avec un MBA (Harvard), décident de créer leur maison de joaillerie en ligne. Trois comparses les rejoignent dont son frère, Malek Debs. Ils bricolent un site pour tester l'idée de créer soi-même un bijou unique en mariant, grâce à un logiciel en 3D, son métal fétiche à ses pierres précieuses préférées. Pauline Laigneau C'est un coup de coeur pour quelques business angels VIP : David Maruani (l'ex-DG de Gérard Darel), Justin Ziegler et François Rousseau (PriceMinister)... La start-up a lancé une campagne dans le métro Gemmyo
L'impression en 3D bientôt dans votre salon Le procédé devrait rapidement se démocratiser avec l'arrivée sur le marché d'imprimantes 3D très performantes à moins de 2000 dollars (1600 euros environ) d'ici à 2016, selon le cabinet Gartner. L'impression 3D a le vent en poupe. Elle est même présentée par certains comme la prochaine révolution industrielle. Grâce à cette technologie, il est possible de réaliser des objets en très petite série, voire à l'unité. Déjà utilisée dans le domaine de l'industrie pour faire des prototypes depuis plus de dix ans, l'impression 3D se diffuse plus largement pour gagner les PME et même le grand public. Elle envahit tous les domaines. Le principe de l'impression 3D peut être comparé à celui de l'impression jet d'encre. L'impression 3D «va permettre de relocaliser» «L'impression 3D va rapidement être disponible dans des kiosques ou des boutiques, créant de nouvelles opportunités pour les détaillants et d'autres business», prédit Pete Basiliere, analyste chez Gartner.
Meet the DIY Makers Taking on the 3D Printing Revolution | Creativity on GOOD Though it’s been used by industrial designers to create prototypes for decades, the process of rapid prototyping has only recently begun to benefit the masses, and Shapeways has been leading the way since 2007. As a platform for designing and actualizing 3D printed items, Shapeways has facilitated access to 3D printing technology so that anyone can develop and print their own designs. In the video above, Shapeways CEO Peter Weijmarshausen describes how the concept of 3D printing is revolutionizing the market for custom-designed products, and we meet creatives who are applying the technology to their various disciplines. Gil Akos of creative coding group Modelab describes the potential for printing using a wide variety of materials, even biological ones that can be applied to medical science. Designer Mary Huang of Continuum Fashion shows us her N12 bikini, and 3D-printed strvct shoe collection.
L'impression 3D menacée par des brevets Il existe une crainte croissante chez les bidouilleurs qui s'enthousiasment pour les possibilités offertes par l'impression 3D : qu'elles soient un jour minées par des brevets qui freinent la mise à disposition des imprimantes 3D et/ou qui les mettent sous le contrôle de quelques entités commerciales qui chercheront à imposer des formats propriétaires (notamment de consommables) rendant l'impression plus ruineuse. Pour s'assurer que l'impression 3D reste aux mains des hackers qui ont largement contribué à la populariser, à base de ressources libres et open-source (en particulier le projet RepRap), l'Electronic Frontier Foundation (EFF) a décidé de tirer intelligemment partie d'une nouvelle procédure offerte aux Etats-Unis lors de l'examen des brevets, avec l'aide des internautes. Pour le moment, l'EFF a identifié trois brevets déposés entre 2010 et 2012 pour laquelle elle demande au public de soumettre des antériorités :
A 3-D Printing Pen Wows Kickstarter Really all I want to say is in this video: But if you’re not a video-friendly environment, at the moment, that’s the Kickstarter pitch from a couple of guys at a Boston company called Wobble Works, and they’ve made what they say is the world’s first “3-D printing pen,” 3Doodler. It’s around the 20-second mark of that video where the magic of such a device becomes apparent. A hand draws a square on a piece of paper–the standard first step for drawing a representation of a cube. But then, instead of drawing a second square on the paper, and connecting the edges with ink, the hand rises up. Drawing has entered the third dimension. 3-D printing has always been about empowering smaller artisans, about taking what is traditionally the realm of major manufacturers, and bringing some of that power closer to the creators. As a result, many people may be introduced to a “3-D printing pen” before they even know what a 3-D printer is to begin with.
L’impression 3D est-elle le moteur de la fabrication de demain ? - Blogs InternetActu.net markerbot-278x300 “Il y a une sorte de pensée magique chez les geeks aujourd’hui autour de l’impression 3D”, s’énerve Christopher Mims pour la Technology Review. Alors que les imprimantes 3D deviennent accessibles aux amateurs – la Thing-o-Matic de MarkerBot ne coûte que 1 100 dollars – et que Pirate Bay estime que les “physibles” – les plans d’objets qu’on peut réaliser via des machines 3D et qui s’échangent dès à présent sur The Pirate Bay – sont la nouvelle frontière du piratage, des penseurs comme Tim Maly pensent que nous approchons de la fin de “l’expédition”. C’est-à-dire qu’il sera bientôt plus coûteux d’expédier une pièce depuis la Chine ou de n’importe quel endroit où elle est fabriquée, que de la fabriquer soi-même. Les promesses de l’impression 3D “Ce n’est pas seulement prématuré, c’est absurde”, rétorque Christopher Mims. Pourtant, Christopher Mems ne porte pas un regard hautain sur l’impression 3D. Et Christopher Mims de détailler les progrès qu’il y a encore à accomplir.
Le Fablab, un laboratoire numérique qui cherche un public populaire - Journal Numérique - Articles locaux Par la rédaction pour La Voix du Nord, Publié le 28/03/2013 - Mis à jour le 28/03/2013 à 02:17 La caverne d'Ali Baba version XXIe siècle, à quoi peut-elle ressembler ? Avec le Fablab, il devient possible de l'imaginer. Imprimante 3D, fraiseuse numérique, découpe vinyle... Des machines au service de l'art numérique que ses utilisateurs du Fablab de Roubaix veulent voir entre toutes les mains. Explications. roubaix@lavoixdunord.fr PHOTO « LA VOIX » Le Fablab, un laboratoire où l'art côtoie l'utile et la création taquine le numérique, a un objectif principal : démocratiser les machines telles que découpe-laser, fraiseuse numérique, découpe vinyle et imprimante 3D, trop peu connues du grand public. « Il faut sortir les machines, les amener vers l'extérieur et non les garder ici, au sein des locaux à la QSP », insiste Thierry Mbaye. Pour faire connaître le Fablab, quoi de plus simple que de penser à organiser des ateliers dans les centres sociaux ou les établissements scolaires ?
Article de télérama sur l’impression 3d Voici l’article de Télérama sur l’impression 3d en général et Impression-3d.com en particulier: Frédéric Stucin pour Télérama En 1964, Arthur C. En fait, le principe ne relève plus de la science-fiction depuis un moment. A Paris, dans le 18e arrondissement, Guy de Saint Just, gérant de la société Impression-3d.com, s’est lancé il y a quelques mois dans l’impression 3D. Mais au-delà de ce marché de l’impression à la demande, encore à développer, la vraie révolution est encore à venir. "On ira dans un fablab comme chez un commerçant" LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Propos recueillis par Frédéric Joignot Le "labmanageur" Jean-Michel Molenaar, 30 ans, a monté deux fablabs ("laboratoires de fabrication") aux Pays-Bas. Il a participé au lancement du fablab de Grenoble, avec l'aide du Centre de culture scientifique technique et industrielle de la ville. Comment créer un fablab ? Sur le site du Massachusetts Institute of Technology (MIT), à Cambridge, on trouve une charte qui précise la mission des ateliers ainsi que la liste des machines indispensables. Combien coûte un fablab ? Il faut 60 000 euros, ce qui explique qu'ils s'adossent souvent à des mairies, des associations ou des institutions.
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