Morts pour la France de la Première Guerre mondiale Plus de 1,3 million de militaires décédés au cours de la Grande Guerre et ayant obtenu la mention "Mort pour la France" figurent dans cette base de données. A l’occasion du 11 novembre 2014 et dans le cadre du centenaire du conflit, la direction des Patrimoines, de la Mémoire et des Archives met également à disposition les 95 000 fiches des soldats n’ayant pas obtenu la mention et composant le reste du fichier général. Ces fiches correspondent en partie à des cas non instruits pour l’obtention de la mention. Cette base a été constituée par la numérisation et l’indexation des fiches élaborées au lendemain de la Première Guerre mondiale par l’administration des anciens combattants et aujourd’hui conservées par le ministère de la Défense. La mention "Mort pour la France" est accordée, suivant certaines conditions, en vertu des articles L488 à L492bis du code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de la guerre.
Journaux des marches et opérations Conservés par le département de l'armée de Terre du SHD à Vincennes, où ils sont librement communicables, les journaux des marches et opérations (JMO) de la Première Guerre mondiale constituent la mémoire de toutes les unités formant corps et des états-majors ayant pris part à la Grande Guerre. Véritable monument de papier, cet ensemble de 1370 cartons d'archives rassemble près de 18 000 journaux sous forme de registres, de cahiers ou de dossiers, qui totalisent environ 1 500 000 pages détaillant, jour après jour, avec précision et concision, les événements vécus par tous les corps de troupe engagés dans le conflit. Dépourvus de tout commentaire ou appréciation personnelle, en conformité avec l'instruction du 5 décembre 1874 qui les a institués, les JMO devaient servir à la rédaction d'un historique d'ensemble, destiné à maintenir la valeur morale de l'armée. Chaque jour sont notifiés les faits, combats, man? Que trouve-t-on dans un JMO ? Comment effectuer une recherche ?
Le parcours du combattant de la guerre 1914-1918 MémorialGenWeb - Accueil portail C'est une question qui revient quotidiennement, mais ou est donc passé Mémorial, comment je fais pour accéder à ceci ou cela, mais qu'est-ce qui se passe, Mémorial n'est plus en ligne ? Mémorial n'est plus en ligne ? Et bien si, le site Mémorial est toujours en ligne, il a juste changé d'adresse. Mini rappel historique Le projet Memorial-FranceGenWeb est né en mai 2000 sous l'impulsion d'Éric Blanchais et a grandi au sein de l'association FranceGenWeb jusqu'en 2015. Ben alors qu'est-ce qu'il se passe ? Une majorité de l'équipe du projet Mémorial ne reconnaît plus l'orientation généalogique du projet et a estimé que son avantage était de prendre son indépendance dans une structure associative propre. Et ? Le Conseil d'Administration de l'association FranceGenWeb ne peut que constater que le projet Mémorial est devenu de facto une structure autonome sans lien direct avec l'association dans laquelle il est né. En pratique La suite ?
Retrouver l’histoire d'un soldat de la Grande Guerre Retrouver les documents qui concernent un soldat Vous pouvez consulter notre tutoriel en vidéo ci-dessous ou suivre les étapes décrites dans cette page. 1ere étape : chercher dans ses archives familiales Correspondance d'un militaire au front La Première Guerre mondiale est un événement suffisamment récent pour que l'on ait conservé des papiers de famille qui permettent de trouver les premiers éléments d’information concernant le parcours d’un soldat. des actes d’état civil (naissance, de mariage, de décès) contenant des informations précises sur soldat. 2ème étape : consulter le site Mémoire des Hommes Pour retrouver un combattant décédé au cours de la Première Guerre mondiale, la recherche doit commencer par la consultation des bases de données du site « Mémoire des hommes ». Cette base contient les fiches de plus de 1,3 millions de militaires décédés au cours de la Grande Guerre et ayant obtenu la mention « Mort pour la France ». 3ème étape : retrouver le registre matricule Bibliographie
Actes notariés < Retour au Lexique lettre A Présentation Les Archives notariales étaient tenues en double exemplaire : L'original (la minute) : il peut se trouver soit entre les mains du successeur du notaire soit aux Archives départementales si celui-ci a été déposé. Pour rechercher le successeur d'un notaire adressez-vous : à la Chambre des notaires du département concerné qui vous indiquera alors les coordonnées de l'office à contacter. Les actes notariés les plus connus des généalogistes Le contrat de mariage (1) Les contrats de mariages sont des sources importantes pour déterminer avec certitude la filiation des époux et l'étendue des richesses des deux parties avec en particulier la dot de la future épouse. Il fut beaucoup plus utilisé en pays de droit écrit où l'on pouvait de la sorte avantager un enfant au détriment des autres qu'en pays coutumiers plus égalitaires. La date et le lieu d'un contrat de mariage sont parfois indiqués dans l'acte ce qui est systématique depuis le 19ème siècle. « (...)
Mémoire familiale des deux guerres Le Struthof Le Struthof est un ancien camp d’extermination et de concentration situé dans le département du Bas-Rhin. Le Struthof est le seul camp d’extermination et de concentration nazi installé durant la seconde guerre mondiale qui se trouve encore de nos jours sur le territoire français. Celui-ci fut aussi le premier camp nazi découvert par les alliés. Il était constitué de 17 Baraquements en bois, qui étaient entourés de barbelés et de huit miradors. Le Struthof. Himmler (un des hommes les plus puissants du Troisième Reich, créateur et dirigeant du Struthof) est à l’ origine de la création de ce camp, il voulait le créer près d’une carrière de granit afin d’avoir toutes les pierres nécessaires à la reconstruction de toutes les villes allemandes endommagées par la guerre. Arrivée au camp, les prisonniers recevaient une étoile selon leurs nationalités (juives, polonaises, françaises, hongroise, …). Four crématoire. – aux recherches de traitement des gazés du docteur Bickenbach.
Identifier des prisonniers de guerre sur une photo grâce aux archives du CICR Nous avons déjà consacré un article sur ce blog aux photographies de prisonniers de guerre français en Allemagne (Chtimis prisonniers de guerre : photos de groupe). Ces photographies me laissaient sur ma faim car le lieu et l’origine du groupe étaient connus, j’avais le sentiment de passer à côté de l’identification des hommes. Et puis, le hasard m’a donné un coup de pouce ! En effectuant des recherches dans les archives du Comité international de la Croix-Rouge sur un prisonnier de guerre breton dont je connaissais le nom, j’ai compris que je pouvais essayer de mettre « mes » photographies en regard des archives du CICR, pour les dater et identifier les soldats photographiés. J’expose ci-dessous ma démarche et les conclusions que j’ai tirées. J’ai plusieurs photographies de groupe de ce type, mais celle des prisonniers d’Avesnes-les-Aubert (Nord) est la plus nette et donc la plus exploitable. Je me suis alors mis en quête de tous les Avesnois dans cette liste.
Les frères CABOT dans la grande guerre Myrthile, Lucifer, Vercingetorix… … nous fait-il rencontrer Proudhon? En numérisant les fiches de « poilus » de Besançon sur Mémoire des Hommes, on fait d’étonnantes rencontres : MYRTHILE, LUCIFER, VERCINGETORIX, de tels prénoms ne peuvent laisser indifférent et stimulent l’imagination. Quels parents ont pu affubler leur fils de pareille manière? Cette fiche (ci-dessus) donne la date de naissance, à Besançon, le 5 février 1885.On peut alors préciser les origines de Myrthile à la lecture de la déclaration de naissance, sur l’état civil de Besançon pour l’année 1885. On suppose aisément que le choix des prénoms incomba au père, un homme instruit, aux idées progressistes, en tous cas anticléricales, pour avoir donné de tels prénoms à son rejeton ; sa signature, d’une belle écriture assurée (cf. cadre jaune), confirme son aisance avec l’écrit. et conduit à penser à une manifestation de rébellion envers l’État, une volonté de liberté et de fédération des opprimés contre l’autorité imposée.
9 mai 1915-2015. De retour d'Artois Faire un séjour en Artois, pour le passionné que je suis, c’est toujours un plaisir, et comme j’étais déjà venu en 2006 avec ma petite famille, je savais déjà ce qui m’attendait, mais il y a tant à découvrir. L’Artois fut une terre de souffrance pour nos soldats du 9e Corps d'Armée, ceux-ci y séjournèrent pendant de longs mois, d’avril 1915 à mars 1916.Certes, je ne m’y rendais que pour une journée et le départ fut bien matinal, mais j’avais hâte de faire le voyage pour rendre hommage aux gars de la 17e Division d’Infanterie. Tout d’abord, entreprendre ce voyage, c'est partir de la région Centre, passer par la gare du Nord et tout d'abord profiter de l’attente du départ pour faire un petit tour par la rue des Vinaigriers (zone de départ des taxis) pour rendre hommages aux cheminots de 14. Les plaques 14-18 et 39-45 de la Gare du Nord Ensuite prenons le TGV pour Arras. La cérémonie d'inauguration de la plaque en l'honneur aux soldats de la 17e Division
Trésors d'archives 7 - Lettre de dénonciation Représenter et se représenter la Première Guerre mondiale par l'écritRevenir à la page précédente La présence de prisonniers de guerre allemands fut diversement acceptée par la population. Si leur travail fut une aide précieuse dans de nombreuses circonstances, leur venue fut vue d'un mauvais œil comme en témoigne cette lettre. Prisonnier de guerre, une sinécure ! L’orthographe originale a été respectée. Le 6.12.16 Commune de Beauche. Mr Le Préfet d'Eure-et-Loi à Chartres, Monsieur le Préfet Je viens solliciter de votre haute compétance de bien vouloir faire cesser l'Etat de chose régnant dans cette commune sous les yeux d'un maire sans énergie au sujet des prisonnier allemands qu en ce moment voyage en voiture avec de jeunes filles et femmes comme s'il était chez eux. Cela ne peut durer et je ne le durerais pas que c'est boches, bois dans les champs ou en voitures à ne rien faire. Ce qui ce passe est ignoble. P.S. Agréez Monsieur le Préfet l'assurance de mon Profond respect Poilu PO le Préfet
Biographie du soldat BOURSIER Jules Henri - Histoires de Poilus Jules Henri BOURSIER est né à Onnaing (Nord) le 7 décembre 1879, fils légitime de Edmond François BOURSIER, cultivateur, et de Julia JUDES. En 1906, il est chaudronnier et vit chez ses parents à Onnaing (Rue De La Chevauchoire), avec son frère Edmond. Le 19 novembre de la même année, il épouse Suzanne Hyacinthe GODIN (1879-1939). Jules Henri BOURSIER est le poilu avec lequel ma parenté est la plus éloignée car il était marié avec Suzanne GODIN, descendante de quatre de mes ancêtres ayant vécu à la fin du XVIIe et au début du XVIIIe siècle. La mobilisation d'août 1914 Jules est âgé de 35 ans lors de mobilisation. Pas moins de 3 780 000 hommes sont mobilisés en août 1914. La chute de Maubeuge Jules Henri BOURSIER est fait prisonnier de guerre à Maubeuge le 7 septembre 1914. La fin du calvaire Durant son "séjour", Jules Henri BOURSIER est hospitalisé en Suisse avant d'être rapatrié le 3 novembre 1918, date à laquelle il obtient une permission de 30 jours qu'il passe à Manneville dans l'Eure.
Histoire Gustave et Cyrille FORTIER 1914 - 1918